Israël : Défense au Moyen-Orient

Il est impossible, si les iraniens ont réellement abattu un RQ-170 que celui-ci ne se soit pas auto-détruit dans les 5 micros-secondes ayant suivit, admettons encore, SI, la destruction de ce dernier fut réalisée au niveau de l'ordinateur central, autre détail, si le RQ-170 n'atterri pas correctement et n'explose pas avant de toucher le sol, c'est que la chance a tourné pour les mollahs, mais à mon avis, cette annonce peu vraisemblable vient des cerveaux malades des pasdarans, afin de ne pas admettre que les incidents répétés ne soient pas attribués à Tsahal, tellement ils ont honte !!!

Liran commence a sentir le vent du boulet et les mollah en vieux briscards reduisent leurs voilure en faisant preuve d humilité fausse bien sur c est comme cela depuis toute cete affaire n oublions pas que c est la perse qui a inventé le jeu d échec et dans ce sport national les mollah excellent on avance on avance on fait comme si on etait sourd et voila on se découvre la alors on essaye de faire amende honorable jusqu au prochain coup et cela repart de plus belle
ils vont tout s inventer des attentats toutes sortes de miseres que leur veux l occident ils vont se mettre dans une position ou ils vont etres a plaindre
ety le petrole a 250 dol on verra bien ce qu il ne faut pas perdre de vue c est la blocage du detroit d ormouz la la ligne rouge sera franchie et le conflit deviendrai ineluctable avant ce n est que marchandages et targiversations orientales

Je rejoins l'analyse de Moshé. Encore une gesticulation destinée à apeurer nos clowns européens...

je comprend mieux la position des dictateurs arabes, hussein, ben ali, moubarack, kadhafi, assad, les arabes ne meritent pas la democratie, quelle liberte avec la charia??, decidement la connerie arabe est indelebile, les lybiens s entretuent, l egypte manifeste, la tunisie est tres malade, la gauche est baillonner
Salafistes et Frères musulmans demeurent toutefois des rivaux acharnés, et une dure bataille se profile pour le deuxième tour du scrutin dans le tiers des gouvernorats lors de l'attribution, aujourd'hui, des sièges au scrutin uninominal (le résultat d'hier permettait seulement d'attribuer des sièges au scrutin proportionnel). Les deux tiers restants des régions égyptiennes voteront jusqu'en janvier. Un porte-parole des Frères musulmans a appelé « à ne pas mettre tous les islamistes dans le même panier », en référence au parti salafiste Al-Nour, dont un des leaders a déclaré qu'il ne fallait pas permettre « à un homme et à une femme de s'asseoir ensemble dans un lieu public ».
Cette victoire des islamistes en Egypte fait suite à celle, il y a quelques semaines, du parti Ennahda en Tunisie et du Parti de la justice et du développement au Maroc. En Tunisie, un face-à-face tendu a opposé hier des manifestants appelant à autoriser le port du voile à l'université,

Le printemps arabe tourne au triomphe des islamistes, qu'il s'agisse de salafistes radicaux ou de formations au discours plus modéré. Ainsi, les résultats du premier tour des législatives égyptiennes, qui portent sur le tiers des gouvernorats du plus peuplé des pays arabes, ont illustré la victoire des Frères musulmans, crédités de 36,6 % des voix, talonnés par les fondamentalistes (salafistes, 24,3 %), dont ils essaient de se démarquer. Une autre formation islamiste, le Wassat, a obtenu 4,2 % des voix.
Premier scrutin sincère

Le Bloc égyptien, principale coalition libérale, a obtenu 13,3 %. Les libéraux, divisés en six listes, atteignent 29,4 % lors de ce scrutin, le premier véritablement sincère depuis près de vingt-quatre ans en Egypte, marqué par un taux de participation historique (62 %).
Au total, les partis réclamant à divers degrés l'application des dogmes du Coran dans la vie politique et sociale ont obtenu les suffrages de deux électeurs égyptiens sur trois, laminant l'opposition laïque et libérale. Le courant islamiste bénéficie d'une forte popularité pour avoir longtemps incarné l'opposition à un régime militaire corrompu. Ses militants ne constituaient pourtant qu'une minorité des manifestants ayant obtenu la chute d'Hosni Moubarak en février dernier.