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Israël : Défense au Moyen-OrientHumour noir ? Assad nie toute responsabilité dans la répression syrienne !Le dictateur syrien Bachar al Assad a déclaré à la chaîne de télévision américaine ABC mercredi qu'il n'est pas directement responsable des actes de violence commis par ses forces de sécurité depuis le début des manifestations pro démocratie commencées il y a huit mois, et a nié les allégations de torture par l'armée syrienne.
Parlant a la présentatrice Barbara Walters, Assad a déclaré : "il y a une différence entre une politique délibérée de répression, et la présence de quelques erreurs commises par certains fonctionnaires. Il y a une grande différence," a déclaré Assad, ajoutant que les actes de violence ont été réalisés par des "individus" et non ordonnés par le gouvernement syrien.
La situation en Syrie est devenue de plus en plus chaotique au cours des derniers mois, les forces de sécurité tirant à balles réelles sur les manifestants pacifiques, des agents du renseignement et des soldats syriens faisant défection, certains contribuant à former "l'armée syrienne libre" pour soutenir l'opposition.
Le bilan des morts, le résultat, selon Assad de "quelques erreurs", a dépassé le nombre de 4 000, selon les Nations Unies, probablement bien plus encore sur le terrain. Assad, s'exprimant pour la première fois sur un media américain, a rejeté ce chiffre, remettant en question la crédibilité de l'ONU.
Il a également affirmé que la plupart des personnes tuées lors des violences étaient des partisans du gouvernement, et non l'inverse, comme cela est défendu par les témoins, les groupes des droits de l'homme et l'ONU.
Assad a dit ne pas avoir ordonné le meurtre de civils, disant que "aucun gouvernement au monde ne tue son peuple, a moins qu'il soit dirigé par un fou," selon ABC News. Assad en plein déni. Les dirigeants occidentaux, la Turquie et la Ligue Arabe ont ordonné au dictateur syrien d'arrêter la brutale répression qui a fait des milliers de morts, et entreprendre les réformes politiques qu'il a promises presque immédiatement après le début du soulèvement.
La Jordanie, la Turquie, l'UE et les Etats-Unis ont appelé Assad à démissionner.
Le haut commissaire de l'ONU pour les droits de l'homme, Navi Pillay, a déclaré que la Syrie est maintenant en guerre civile, et l'on craint que les différences sectaires entre les diverses ethnies de la Syrie ne mènent à un conflit similaire à celui de l'Irak voisin.
Les syriens ont prétendu qu'ils avaient arrêtés au moins "35 terroristes" en les empêchant de s'infiltrer dans le pays depuis la Turquie, qui héberge des milliers de réfugiés syriens et d'opposants au régime d'Assad.
En plus des accusations portées par les groupes de droits de l'homme sur les tortures, les assassinats et les arrestations de militants et autres blogueurs par les forces armées syriennes, des rapports récents parlent d'un nouveau phénomène d'assaillants inconnus et de morts dans les rangs des anti-Assad, mais aussi des pro Assad.
Au cours des deux derniers jours, plusieurs autres personnes ont été tuées dans des circonstances mystérieuses, selon les militants et des témoins.
Très peu est cependant connu sur ces faits, sur qui est derrière ces assassinats, qui visent aussi bien les partisans du gouvernement que ceux de l'opposition.
La Syrie a déclaré qu'elle pourrait souscrire à un plan de paix de la Ligue Arabe qui appelle les forces armées à se retirer dans les casernes et au déploiement d'observateurs arabes dans le pays.
La Syrie a mis une condition préalable, que la Ligue Arabe annule les sanctions économiques imposées plus tôt ce mois, et débloque la révocation du statut de membre de la Ligue.
Le secrétaire général de la Ligue Arabe, Nabil Elaraby, a suggéré mardi la tenue d'une réunion d'urgence au niveau ministériel pour évaluer la position de la Syrie.
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47 commentaires
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AM ISRAEL HAY
Am Israël Hay !
... et je n'aurai garde d'oublier Viviane qui nous en remontrerait à tous !
Les actes et les paroles du Premier ministre israélien Binyamin Netanyahu et du chef d’État syrien Bachar Al-Assad, ces derniers jours, indiquent qu’ils sont prêts à un conflit régional, à partir de la mi-décembre 2011 ou à la mi-janvier 2012, incluant une attaque contre l’Iran.
Chacun à sa façon, ils ont posé les jalons d’un conflit imminent comme le révèlent les sources au Proche-Orient de Debka File :
Samedi 3 décembre, la Syrie a organisé des manœuvres militaires de grande ampleur dans la ville de Palmyre, à l’Est du pays. Elles ont été interprétées par les autorités occidentales et israéliennes comme un avertissement à ses voisins, principalement la Turquie et Israël, et que le soulèvement contre le régime d’Assad n’avait pas entamé ses capacités de frappes sophistiquées.
Les sources militaires de Debka File conseillent de donner plus de crédibilité au communiqué de Damas du dimanche 4 décembre : « L’armée syrienne a organisé un exercice de tir « grandeur nature » dans la partie Est du pays dans un contexte de conflit armé, afin de tester ses missiles en cas d’attaque. »
Les vidéos de cet exercice, brièvement disponibles sur internet lundi matin, qui ont été retirées par une main invisible, étayent ce communiqué. Elles montrent un exercice en 4 étapes, dans lequel les tirs de missiles ne sont qu’un aspect mineur.
L’attention était concentrée sur des tirs massifs d’un canon d’un mètre vingt, auto-propulsée, de l’entraînement des effectifs d’une brigade aux systèmes de lances rockets multiples de 6 et 3 km de portée (MLRS), des mouvements offensifs des brigades armées syriennes secondées par des missiles sol-sol d’une courte portée de 150 à 200 km. Ils se sont exercés à des tactiques pour repousser les renforts ennemis arrivant sur le champ de bataille.
Tout cela additionné donne une impressionnante démonstration syrienne, de son habileté à écarter une attaque sur son sol en transformant des rangs défensifs en une poussée offensive qui dominerait le combat sur le territoire de l’agresseur, bien que les armées turques et israéliennes ou une force combinée de la Ligue arabe même épaulée par l’OTAN.
Israël a répliqué au message de guerre syrien, 24 h après.
Dans un discours, lors de la cérémonie à la mémoire du père fondateur d’Israël, David Ben Gourion ; Netanyahu a rappelé comment 63 ans auparavant, Ben Gourion avait déclaré la création de l’Etat d’Israël contrairement aux pressions de la plupart des dirigeants occidentaux et de la majorité des membres de son propre parti.
Ces derniers l’avaient prévenu que les Arabes pouvaient déclencher une attaque combinée qui détruirait le nouvel État Juif, trois ans seulement après la fin de la Seconde Guerre mondiale. « Mais heureusement pour nous, a dit le Premier ministre, Ben Gourion a résisté à cette pression et est allé au bout de sa décision, autrement Israël ne serait pas là aujourd’hui » .« Il y a des moments, a déclaré Netanyahu, où une décision est lourde à prendre, mais le prix en ne la prenant pas serait plus lourd encore. »
« Je veux croire, a-t-il dit, que nous aurons toujours du courage et que nous nous résoudrons aux bonnes décisions pour la sauvegarde de notre avenir et de notre sécurité. »
Bien qu’il n’ait pas mentionné l’Iran, il n’est pas difficile de déduire que le Premier ministre faisait référence à la décision de recourir à l’option militaire israélienne contre le programme nucléaire iranien, en affrontant une très forte pression de Washington et les conseils insistants de certains vétérans de la sécurité israélienne (Meir Dagan ).
Le ministre de la Défense, Ehud Barack, qui se tenait derrière le Premier ministre, était lui aussi très tendu.
Six heures plus tard, Netanyahu lâchait une bombe sur la scène politique intérieure. Il annonçait que son parti, le Likoud, organiserait les primaires de son parti avant le 31 janvier 2012 soit un an avant le calendrier prévu et deux ans avant les prochaines élections législatives israéliennes. En tant que leader d’un des plus stables et des plus durables gouvernements de coalition n’ayant jamais dirigé Israël, il n’est pas soumis à des pressions intérieures pour démontrer de son leadership en ce moment.
Les deux dernières semaines, le gouvernement de Netanyahu a été le sujet de critiques acerbes de la part des bureaucrates de l’administration Obama. Les uns après les autres, ils ont présenté Israël comme tombé aux mains des extrémistes de droite, engagés dans une course folle pour réprimer la magistrature , diminuer les droits civils des femmes et des enfants, sans parler des Palestiniens.
La Secrétaire d’État, Hillary Clinton s’est lancée dans des discours inimaginables lorsqu’elle a comparé Israël à l’Iran parce que la frange d’un groupe ultra-orthodoxe de Jérusalem et de Bnei Brak se battait pour une séparation entre hommes et femmes dans les transports publics contre le gouvernement et la justice. Elle tentait ainsi clairement de saper les valeurs démocratiques du gouvernement Netanyahu, et, par conséquent, sa légitimité morale à partir en guerre pour arrêter l’obtention d’une arme nucléaire par l’Iran.
Nous assistons à un déploiement inhabituel des forces navales américaines et russes autour de la Syrie et de l’Iran. Washington à la fin novembre, a fait mine que le groupe aéronaval George H. W. Bush mouillerait à Marseille, alors qu’il a été repéré à l’Est de la Méditerranée en face de la Syrie.
Moscou s’est alors précipité à défendre la Syrie au travers d’un pont aérien vers Damas, avec la livraison de 72 missiles Yakhont antinavire (SSN-26). Ces armes, qui volent au ras de l’eau, peuvent atteindre des cibles navales à une distance de 300 km.
Après cela, le George H. W. Bush, moins hardi à s’approcher des côtes syriennes ou libanaises face au nouvel armement arrivé en Syrie, est parti pour une destination inconnue, alors que le groupe aéronaval USS Carl Vinson se positionnait face à l’Iran.
Moscou joue également à cache-cache avec son seul porte-avions, l’Amiral Kuznetsov.
Il a été annoncé que le bâtiment devait prendre la mer pour la Méditerranée le 6 décembre. Mais le 25 novembre, il a été vu à proximité de Malte et 4 jours plus tard, il battait pavillon au-delà de Chypre pour rejoindre une flottille de 3 destroyers russes chargés de missiles guidés, déjà ancrés en Syrie.
Ni les États-Unis, ni la Russie, n’auraient jamais concentré deux puissantes flottes à proximité de la Syrie et de l’Iran sans être certain qu’un affrontement militaire n’était pas imminent.
Si chacun des principaux intéressés, Washington, Moscou, Téhéran, Israël ou Bachar Al-Assad, peut au dernier moment faire machine arrière, à deux doigts d’une guerre régionale, aucun signe ne permet actuellement de privilégier cette option.
Sources : Debka File’s
Il faudrait dire même plus: il est déconnecte ET fou"....comme tous ses potes dictateurs ou terroristes émanant du "beau" monde arabo/muzz, comme par hasard:
"sadam/rakham le roug"e qui a brûlé tous ses puits de pétrole pour se venger de l'action des E.U. et de l'arabie saoudite contre lui qui attaquait le koweit, khadafi/fou et son peuple "qui l'aimait tant" et qui a fini comme un vulgaire malfrat une balle -ou plus- dans la tête , le mou-du-genou-barak, grand comédien devant l'éternel qui se rend en civière au tribunal, ali ben basculante, soi-disant moribond, mais dont on ne sait pas où est sa cagnotte, benladen/pédophoque qui voulait terroriser le monde entier et ne terrorisait que des fillettes pré-pubères, abbas père noel/bouel", précurseur du terrorisme anti-israélien, etc..etc....
Et dire que notre avenir est entre les mains de tous ces "pieds nickelés" auxquels font face nos "pantalons à quartz".... Ca fait quand même froid dans le dos.
AM ISRAEL HAY