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Israël : Défense au Moyen-Orient

Assad dément avoir ordonné la répression meurtrière du mouvement de contestation

BEIRUT - Le président syrien Bachar el-Assad dément avoir donné l'ordre de réprimer le mouvement de contestation en cours depuis la mi-mars contre son régime.
47 commentaires
Avec plaisir, Julia, et tant mieux si j'apporte ici un peu de gaieté , vu qu'à cause de ces abrutis enturbannés qui ne savent rire que lorsqu' ils se brûlent, on mène une vie de + en + difficile et maussade (Mossad qui leur règlera leur compte, amen!!).

AM ISRAEL HAY Sourire Rigole Clin d'oeil Star
Envoyé par Viviane_005 - le Jeudi 8 Décembre 2011 à 21:12
Amen !
Am Israël Hay ! Sourire Choqué Embarrassé Clin d'oeil
Envoyé par Julia - le Jeudi 8 Décembre 2011 à 21:24
Julia, Simon, David : on pète tous le feu !! Rigole Rigole Rigole
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 8 Décembre 2011 à 22:34
(suite)


... et je n'aurai garde d'oublier Viviane qui nous en remontrerait à tous ! Rigole Rigole Rigole
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 8 Décembre 2011 à 22:36
Bonjour a toutes et tous, abosument Edmond, bon je veux lire les dernierf infos, Rigole Clin d'oeil
Envoyé par Julia - le Vendredi 9 Décembre 2011 à 08:54
Israël et la Syrie s’arment pour une guerre régionale entre la mi-décembre 2011 et la mi-janvier 2012.

Les actes et les paroles du Premier ministre israélien Binyamin Netanyahu et du chef d’État syrien Bachar Al-Assad, ces derniers jours, indiquent qu’ils sont prêts à un conflit régional, à partir de la mi-décembre 2011 ou à la mi-janvier 2012, incluant une attaque contre l’Iran.

Chacun à sa façon, ils ont posé les jalons d’un conflit imminent comme le révèlent les sources au Proche-Orient de Debka File :

Samedi 3 décembre, la Syrie a organisé des manœuvres militaires de grande ampleur dans la ville de Palmyre, à l’Est du pays. Elles ont été interprétées par les autorités occidentales et israéliennes comme un avertissement à ses voisins, principalement la Turquie et Israël, et que le soulèvement contre le régime d’Assad n’avait pas entamé ses capacités de frappes sophistiquées.

Les sources militaires de Debka File conseillent de donner plus de crédibilité au communiqué de Damas du dimanche 4 décembre : « L’armée syrienne a organisé un exercice de tir « grandeur nature » dans la partie Est du pays dans un contexte de conflit armé, afin de tester ses missiles en cas d’attaque. »

Les vidéos de cet exercice, brièvement disponibles sur internet lundi matin, qui ont été retirées par une main invisible, étayent ce communiqué. Elles montrent un exercice en 4 étapes, dans lequel les tirs de missiles ne sont qu’un aspect mineur.

L’attention était concentrée sur des tirs massifs d’un canon d’un mètre vingt, auto-propulsée, de l’entraînement des effectifs d’une brigade aux systèmes de lances rockets multiples de 6 et 3 km de portée (MLRS), des mouvements offensifs des brigades armées syriennes secondées par des missiles sol-sol d’une courte portée de 150 à 200 km. Ils se sont exercés à des tactiques pour repousser les renforts ennemis arrivant sur le champ de bataille.

Tout cela additionné donne une impressionnante démonstration syrienne, de son habileté à écarter une attaque sur son sol en transformant des rangs défensifs en une poussée offensive qui dominerait le combat sur le territoire de l’agresseur, bien que les armées turques et israéliennes ou une force combinée de la Ligue arabe même épaulée par l’OTAN.

Israël a répliqué au message de guerre syrien, 24 h après.

Dans un discours, lors de la cérémonie à la mémoire du père fondateur d’Israël, David Ben Gourion ; Netanyahu a rappelé comment 63 ans auparavant, Ben Gourion avait déclaré la création de l’Etat d’Israël contrairement aux pressions de la plupart des dirigeants occidentaux et de la majorité des membres de son propre parti.

Ces derniers l’avaient prévenu que les Arabes pouvaient déclencher une attaque combinée qui détruirait le nouvel État Juif, trois ans seulement après la fin de la Seconde Guerre mondiale. « Mais heureusement pour nous, a dit le Premier ministre, Ben Gourion a résisté à cette pression et est allé au bout de sa décision, autrement Israël ne serait pas là aujourd’hui » .« Il y a des moments, a déclaré Netanyahu, où une décision est lourde à prendre, mais le prix en ne la prenant pas serait plus lourd encore. »

« Je veux croire, a-t-il dit, que nous aurons toujours du courage et que nous nous résoudrons aux bonnes décisions pour la sauvegarde de notre avenir et de notre sécurité. »

Bien qu’il n’ait pas mentionné l’Iran, il n’est pas difficile de déduire que le Premier ministre faisait référence à la décision de recourir à l’option militaire israélienne contre le programme nucléaire iranien, en affrontant une très forte pression de Washington et les conseils insistants de certains vétérans de la sécurité israélienne (Meir Dagan ).

Le ministre de la Défense, Ehud Barack, qui se tenait derrière le Premier ministre, était lui aussi très tendu.

Six heures plus tard, Netanyahu lâchait une bombe sur la scène politique intérieure. Il annonçait que son parti, le Likoud, organiserait les primaires de son parti avant le 31 janvier 2012 soit un an avant le calendrier prévu et deux ans avant les prochaines élections législatives israéliennes. En tant que leader d’un des plus stables et des plus durables gouvernements de coalition n’ayant jamais dirigé Israël, il n’est pas soumis à des pressions intérieures pour démontrer de son leadership en ce moment.

Les deux dernières semaines, le gouvernement de Netanyahu a été le sujet de critiques acerbes de la part des bureaucrates de l’administration Obama. Les uns après les autres, ils ont présenté Israël comme tombé aux mains des extrémistes de droite, engagés dans une course folle pour réprimer la magistrature , diminuer les droits civils des femmes et des enfants, sans parler des Palestiniens.

La Secrétaire d’État, Hillary Clinton s’est lancée dans des discours inimaginables lorsqu’elle a comparé Israël à l’Iran parce que la frange d’un groupe ultra-orthodoxe de Jérusalem et de Bnei Brak se battait pour une séparation entre hommes et femmes dans les transports publics contre le gouvernement et la justice. Elle tentait ainsi clairement de saper les valeurs démocratiques du gouvernement Netanyahu, et, par conséquent, sa légitimité morale à partir en guerre pour arrêter l’obtention d’une arme nucléaire par l’Iran.

Nous assistons à un déploiement inhabituel des forces navales américaines et russes autour de la Syrie et de l’Iran. Washington à la fin novembre, a fait mine que le groupe aéronaval George H. W. Bush mouillerait à Marseille, alors qu’il a été repéré à l’Est de la Méditerranée en face de la Syrie.

Moscou s’est alors précipité à défendre la Syrie au travers d’un pont aérien vers Damas, avec la livraison de 72 missiles Yakhont antinavire (SSN-26). Ces armes, qui volent au ras de l’eau, peuvent atteindre des cibles navales à une distance de 300 km.

Après cela, le George H. W. Bush, moins hardi à s’approcher des côtes syriennes ou libanaises face au nouvel armement arrivé en Syrie, est parti pour une destination inconnue, alors que le groupe aéronaval USS Carl Vinson se positionnait face à l’Iran.

Moscou joue également à cache-cache avec son seul porte-avions, l’Amiral Kuznetsov.

Il a été annoncé que le bâtiment devait prendre la mer pour la Méditerranée le 6 décembre. Mais le 25 novembre, il a été vu à proximité de Malte et 4 jours plus tard, il battait pavillon au-delà de Chypre pour rejoindre une flottille de 3 destroyers russes chargés de missiles guidés, déjà ancrés en Syrie.

Ni les États-Unis, ni la Russie, n’auraient jamais concentré deux puissantes flottes à proximité de la Syrie et de l’Iran sans être certain qu’un affrontement militaire n’était pas imminent.

Si chacun des principaux intéressés, Washington, Moscou, Téhéran, Israël ou Bachar Al-Assad, peut au dernier moment faire machine arrière, à deux doigts d’une guerre régionale, aucun signe ne permet actuellement de privilégier cette option.

Sources : Debka File’s
Envoyé par Roland_017 - le Vendredi 9 Décembre 2011 à 12:57
"Etats-Unis: assad est déconnecté ou fou":

Il faudrait dire même plus: il est déconnecte ET fou"....comme tous ses potes dictateurs ou terroristes émanant du "beau" monde arabo/muzz, comme par hasard:

"sadam/rakham le roug"e qui a brûlé tous ses puits de pétrole pour se venger de l'action des E.U. et de l'arabie saoudite contre lui qui attaquait le koweit, khadafi/fou et son peuple "qui l'aimait tant" et qui a fini comme un vulgaire malfrat une balle -ou plus- dans la tête , le mou-du-genou-barak, grand comédien devant l'éternel qui se rend en civière au tribunal, ali ben basculante, soi-disant moribond, mais dont on ne sait pas où est sa cagnotte, benladen/pédophoque qui voulait terroriser le monde entier et ne terrorisait que des fillettes pré-pubères, abbas père noel/bouel", précurseur du terrorisme anti-israélien, etc..etc....

Et dire que notre avenir est entre les mains de tous ces "pieds nickelés" auxquels font face nos "pantalons à quartz".... Ca fait quand même froid dans le dos.

AM ISRAEL HAY Sourire Rigole Choqué Clin d'oeil En colère ! Embarrassé Tire la langue Star Triste
Envoyé par Viviane_005 - le Vendredi 9 Décembre 2011 à 18:54
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 15 minutes