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Israël : Défense au Moyen-OrientNucléaire iranien: des diplomates étudient des sanctions à RomeROME - L'Italie accueillait vendredi à Rome une réunion des Etats-Unis et de leurs alliés pour étudier le renforcement des sanctions destinées à contraindre l'Iran de renoncer à ses activités nucléaires potentiellement militaires.
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81 commentaires
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21 Juillet 2014
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Dernière mise à jour, il y a 11 minutes
Il est intéressant de noter que ce positionnement est exactement, mutatis mutandis, celui qui avait été adopté en 1991 vis-à-vis de Saddam Hussein. Et de se rappeler qu'il avait à terme débouché sur un échec et sur la nécessité d'une deuxième intervention en 2003. Là encore, la dimension idéologique fanatico -irrationnelle des mollahs n'est nullement prise en compte.
Matthew Kroenig envisage de faire ce qui avait été fait par George Bush en 1991 : casser une éventuelle explosion des prix du pétrole en jetant sur le marché les réserves stratégiques américaines de pétrole ; exercer des pressions sur Israël pour l'empêcher de répliquer aux attaques terroristes téléguidées par Téhéran ... [ sur ce dernier point, il faut se demander dans quelle mesure et jusqu'où une telle stratégie serait cette fois possible : en 1991, Israël recevait des " Scuds " - et craignait qu'ils ne pussent être équipés de charges chimiques - ; en 2012, seraient à craindre l'action des " proxies " iraniens : 'Hamas et Hezbollah ainsi que celle de groupes d'Arabes israéliens ].
Matthew Kroenig récuse l'argument selon lequel une attaque contre l'Iran radicaliserait celui-ci : les durs, dit-il, sont déjà solidement au pouvoir ( " The hard-liners are already firmly in control " ).
L'un des arguments finaux de Kroenig pour une intervention est qu'elle permettrait de parer l'éventualité d'une opération israélienne ...