|
Israël : Défense au Moyen-OrientNucléaire iranien: des diplomates étudient des sanctions à RomeROME - L'Italie accueillait vendredi à Rome une réunion des Etats-Unis et de leurs alliés pour étudier le renforcement des sanctions destinées à contraindre l'Iran de renoncer à ses activités nucléaires potentiellement militaires.
Articles connexes
81 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 6 heures - Le Figaro
Il y a 6 heures - Le Figaro
Il y a 7 heures - i24 News
Il y a 7 heures - Juif.org
25 Juillet 2025 - Le Monde diplomatique
27 Juillet 2025 par Blaise_001
27 Juillet 2025 par Jcl
27 Juillet 2025 par Claude_107
19 Juillet 2025 par Rafael_003
17 Juillet 2025 par Rafael_003
Il y a 21 minutes - Torah-Box
Il y a 23 minutes - Torah-Box
28 Juillet 2025 - Le Monde Libre
27 Juillet 2025 - Le Monde Libre
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 29 minutes
Il est intéressant de noter que ce positionnement est exactement, mutatis mutandis, celui qui avait été adopté en 1991 vis-à-vis de Saddam Hussein. Et de se rappeler qu'il avait à terme débouché sur un échec et sur la nécessité d'une deuxième intervention en 2003. Là encore, la dimension idéologique fanatico -irrationnelle des mollahs n'est nullement prise en compte.
Matthew Kroenig envisage de faire ce qui avait été fait par George Bush en 1991 : casser une éventuelle explosion des prix du pétrole en jetant sur le marché les réserves stratégiques américaines de pétrole ; exercer des pressions sur Israël pour l'empêcher de répliquer aux attaques terroristes téléguidées par Téhéran ... [ sur ce dernier point, il faut se demander dans quelle mesure et jusqu'où une telle stratégie serait cette fois possible : en 1991, Israël recevait des " Scuds " - et craignait qu'ils ne pussent être équipés de charges chimiques - ; en 2012, seraient à craindre l'action des " proxies " iraniens : 'Hamas et Hezbollah ainsi que celle de groupes d'Arabes israéliens ].
Matthew Kroenig récuse l'argument selon lequel une attaque contre l'Iran radicaliserait celui-ci : les durs, dit-il, sont déjà solidement au pouvoir ( " The hard-liners are already firmly in control " ).
L'un des arguments finaux de Kroenig pour une intervention est qu'elle permettrait de parer l'éventualité d'une opération israélienne ...