Israël : Défense au Moyen-Orient

LIRAN VA UNE FOIS DE PLUS FAIRE PROFIL BAS QUELQUES JOURS OU SEMAINES ET C EST COMME CELA DEPUIS LA MONTEE EN PUISSANCE DE SON PROGRAMME NUCLEAIRE la strategie est la meme ne nous y trompons pas aujourdh ui l iran fait des demonstrations de forces terrestres maritimes et zériens elle montre les crocs mais c est tout pendant ce temps la son programme avance a grands pas et un jour elle l annoncera au monde comme de facto Cest ce fait accompli que redoute l occident sans intervenir autrement que par des sanctions SAUF que la l iran qui veux bloquer ORMUZ joue gros ce serait un bras de fer un peux gros pour elle quoique elle se sent prete a l affrontement en sa faveurL EFFET serait un prix du petrole qui exploserait une tension internationale sans precedents avec a la clé de nouveaux acteurs qui pourraient surprendre CHINE RUSSIE AMERIQUE LATINE TURQUIE VOIR IRAK si quelque chose devait se passer il faudrait que ce soit court et foudroyant mais cela parrait difficile l iran est un tres vaste pays avec des frontieres strategiques LES ANGLAIS ont envoye le fleuron de leur batiment naval pour s essayer les uisa croisent déja aux abord le moi de fevrier s annonce chaud des la troisiemme décade de janvier la pression devrait monter crechendo et que fera l UE ????

" jamais l ' amérique n ' attaquera l ' islam " , voilà la déclaration canon , faite par obama au lendemain de son invstiture à la maison blanche ...alors faut pas rêver ...obama ds 'est retiré de l ' irak , veut se retirer de l afganistan , veut se voir attribruer un " sou neuf " et prouver au monde arabo-musulman que sa promesse il la tiendrait coûte que coûte et ce , même si moubarak n 'est plus là pour le confondre .... et pour cela obama fait peuve de laxisme aussi bien vis à vis de l ' iran , que vis à vis de tous les pays arabo-musulmans ... obama veut arracher le leadership du monde arabo-musulman ... et l ' iran sait qu 'elle a en obama un allié sûr ... obama va altermoyer ...refaire le coup de la main tendue ... jouer les sanctions économiques...mais jamais obama n ' attaquera l ' iran... il préfère laisser ce travail à d 'autres pigeons ... mais ce qu ' oublie obama : israël n 'est pas et ne sera jamais le gendarme du monde ... que l ' union européenne s ' implique ...face à la ligue arao-musulmane , l ' union eropéenne joue à la langue de bois ...mais a une langue de vipère face à israël ...les calomnies européenne à l ' encontre d 'israël vont bon train --en TGV -- s v p !

quel homme politique aurait le courage de dénoncer les calomnies virulentes à l ' encontre d 'israël ?

qui ?

et quand ?

peut-être après les élections ?

qui sait !

et il ne faut pas l ' oublier ...en iran il y a les russes ...tout comme en syrie...personne n ' ose intervenir , parce que les russes sont bel et bien installés en syrie ... et ce n 'est pas la lybie ... la coallition a eu la partie facile , toutcomme comme le kosovo avec la capfort , le bombardement de belgrade , et l ' indépendance ipso-facto décidée par la coallition envers et contre tous ...

le résultat est connu...tout comme les printemps arabes et ce qui s 'en est suivi , demain le kosovo sera avalé par l ' albanie ...et que vont devenir les serbes vivant au kosovo ?

je parle des russes , car les russes et les iraniens ainsi que les riverains de la mer caspienne sont liés par un accord de défense commune ... qui s 'attaque à l ' iran s 'attaque à la russie et la coallition le sait ... la finalité de ce grave problème sera réglé avec des médiateurs russes seulement , car les russes ne quitteront jamais la mer chaude méditerrannéenne ... le détroit d ' ormuz restera la propriété exclusive des iraniens , tout comme le canal de suez , pour traverser le détroit d 'ormuz il faut payer cash ... un arrangement serait possible moyennant finances , et le pétrôle va coûter plus cher aux consommateurs !

un choix pour la coallition :

un droit de passage , ou bien une guerre mondiale ...la 3 ème guerre ... la pire de toutes !

et ce , même si des sanctions économiques viennent à ruiner l ' iran : elle a des alliés ... qui VEULENT L ' AIDER !

Intéressant bras de fer entre un fou (qui se promène en ce moment en Amérique du Sud chez son copain CHAVEZ (pas bien tranquille non plus...) et le reste du monde. Les USA et les Israéliens n'attendent que la fermeture du détroit d'Ormuz pour le rouvrir aux forceps, semble-t-il aidés d'ores et déjà par l'Arabie Saoudite qui leur permet d(atterrir et d'établir une base logistique pratique.
Ré-ouvrir le détroit d'Ormuz ET fermer DEFINITIVEMENT les installations nucléaires du nabot!
Wait and see...

BAROUH HACHEM, ENCORE UNE VICTOIRE POUR ISRAEL.
La campagne de boycott d’Israël en échec: L’Inde et les Etats-Unis développent leur coopération avec Israël
21/12/2011 à 16h18 | 619 vues | 1 réactions




Malgré les efforts des islamo-gauchistes boycotteurs d’Israël, le Technion de Haïfa a remporté un appel d’offres pour la construction d’un gigantesque centre de recherche sur l’île de Roosevelt, près de Manhattan. L’Inde va acheter du gaz à Israël…

L’université Cornell et le Technion de Haïfa ont remporté un appel d’offres pour la construction d’un gigantesque centre de recherche sur l’île de Roosevelt, près de Manhattan.

Lors d’une conférence de presse où il est apparu ému, le maire de New York Michael Bloomberg a salué »la force internationale » apportée par le Technion à sa ville. Il a estimé que c’est à cette institution que l’Etat d’Israël doit sa réputation de « nation start-ups ».

Michael Bloomberg a notamment rappelé que les 120 entreprises israéliennes cotées au Nasdaq étaient pour la moitié d’entre elle fondées ou dirigées par des diplômés du Technion.

En 2010, le maire de New York avait lancé un concours pour la construction de ce nouveau campus supposer attirer des « cerveaux » venus d’autres grands centres universitaires américains tels que Stanford ou le MIT. Son objectif : donner un essor au développement de New York sur le plan du high-tech. Pour le Technion, il s’agit évidemment d’un incontestable succès qui devrait considérablement augmenter sa collaboration avec le monde scientifique américain.

Israël aurait proposé à l’Inde de lui exporter du gaz naturel. C’est ce que rapporte ce lundi le journal Economic Times. Preuve que l’affaire est en bonne voie, des négociations en vue d’un accord gazier auraient même été fixées entre Jérusalem et New Delhi.

En janvier, le ministre indien des Affaires étrangères effectuera une visite en Israël afin de finaliser les modalités de ce qui est d’ores et déjà présenté comme un partenariat stratégique. A l’origine de ce contrat, le ministre israélien des finances Youval Steinitz, très favorable à la création d’alliances avec les pays émergents, notamment sur le continent asiatique.

Autre élément décisif : la découverte du Leviathan, un immense gisement de gaz au large des cotes israéliennes. Au total, ce sont près de 16 milliards de mètres cubes qu’abriterait ce trésor sous-marin. Son exploration offshore, prévue pour 2013, devrait rapporter quelques 160 milliards de dollars aux autorités israéliennes.

Les Emirats arabes unis prévoient d'achever d'ici juin la construction d'un oléoduc leur permettant d'exporter leur pétrole sans passer par le détroit stratégique d'Ormuz, que l'Iran menace de fermer.

"L'oléoduc est presque terminé, il sera opérationnel dans six mois, en mai ou en juin", a déclaré lundi le ministre émirati de l'Energie Mohamed ben Dhaen al-Hamili à la presse, en marge d'une conférence sur le pétrole à Abou Dhabi.

L'Iran a menacé de fermer le détroit d'Ormuz, par lequel transite 35% du pétrole brut transporté par voie maritime dans le monde, en cas de sanctions contre ses exportations pétrolières, une éventualité envisagée par les Etats-Unis et certains pays européens.

L'oléoduc en chantier permettra d'acheminer le pétrole depuis les champs de Habshan dans l'émirat d'Abou Dhabi (ouest, sur le Golfe) au port de Foujeirah (est, sur le Golfe d'Oman), sans avoir à transiter par le détroit d'Ormuz. "Dans six mois, en juin ou en mai, il sera possible de commencer les exportations", a ajouté M. Hamili, précisant que la capacité de l'oléoduc est de "1,5 million de barils par jour et peut atteindre 1,8 mbj", soit 70% de la production des Emirats, pays membre de l'Opep produisant environ 2,5 mbj. La construction de cet oléoduc de 360 km de long a commencé en 2008 pour contourner le détroit d'Ormuz qui relie le Golfe bordé de riches Etats pétroliers comme l'Arabie saoudite et le Koweït, à la mer d'Oman.

Outre les Emirats et l'Iran lui-même, toutes les exportations de pétrole de Bahreïn, du Koweït et du Qatar passent par le détroit d'Ormuz. La plus grande partie des exportations de l'Irak emprunte aussi ce détroit, ainsi que celles de l'Arabie saoudite, qui possède cependant des terminaux sur la Mer Rouge.

La tension est montée entre Téhéran et Washington après des manoeuvres militaires iraniennes et des mises en garde de l'Iran contre la présence de la marine américaine dans le Golfe.

Le chef du Pentagone Leon Panetta a averti que les Etats-Unis "répondront" par la force si l'Iran cherche à bloquer le détroit d'Ormuz, évoquant une "ligne rouge" à ne pas franchir.

Le ministre émirati a refusé de répondre à une question sur les autres mesures prises par les Emirats en cas de fermeture du détroit stratégique, affirmant: "qui a dit que le détroit d'Ormuz allait être fermé?"

L'éventualité de nouvelles sanctions contre les exportations pétrolières qui assurent à l'Iran, deuxième producteur de l'Opep, 80% de ses devises, a été envisagée par les Etats-Unis et certains pays européens pour amener Téhéran à céder sur son programme nucléaire controversé.

La construction de l'oléoduc ne résout cependant pas "le problème chronique" de la dépendance des pays du Golfe au détroit d'Ormuz pour l'exportation de leur brut, a estimé l'expert pétrolier koweïtien Moussa Marafi. "L'oléoduc résout seulement une partie du problème (...) car il ne peut être utilisé que par les Emirats", a-t-il expliqué.

"Ce qui est nécessaire, c'est un oléoduc stratégique reliant le Koweït au Golfe d'Oman, à travers l'Arabie saoudite", faute de quoi les monarchies du Golfe demeureront "à la merci" de l'Iran, a-t-il estimé.

L'expert a cependant estimé qu'il était "très improbable" que l'Iran mette sa menace de fermer le détroit à exécution. "Cela provoquerait la guerre (...) et ce n'est pas dans son intérêt", a-t-il dit.

Un autre expert pétrolier, Kamel al-Harami, a également qualifié de "coup de bluff" les menaces de l'Iran, affirmant qu'elles ne faisaient que provoquer "une flambée des prix du pétrole".

ça y est
VOICI QUE LE VIEUX LOUP SORT DU BOIS son fantoche l ahmadi arrive en vout de course a avoir fait tirer toutes les prolongations
ET MAINTENAN??????
ça va commencer..........
medames et messieurs nous allons assister au bras de fer occident iran
POUR LES ANCIENS CELA VA NOUS RAPPELER L EPOQUE DU COUP DE FORCE KROUTCHEV KENNEDI LA BAIE DES COCHONS..................
LES DURS LES VRAIS PAS LES JEUNEAUX CEUX QUI AURONT DES NERFS D ACIER CEUX QUI SAVE CE QUE C EST QUE JOUER AUX JEU D ECHEC VONT S AFFRONTER
LES IRANIENS NON LES PERSES SONT A L ORIGINE DE CE JEUX
On nest plus en libye en tunisie au maroc ou en afrique ils seront face a l iran soutenu par l amerique du sud la russie la chine et possible la turquie qui tournerait sa veste.......
Les agences médias fausses vraient info vont crépiter tout cela devrait commencer pâr l iran et sa démonstration de puissance sur TERRE MER ET AIR
Alors bluff ou pas on verra esperont que les occidentaux sur d eux meme et de leurs bon droit dans le monde assureront l IRAN SI ELLE N A PAS L ARME NUCLEAIRE SOPHITIQUEE EST CAPABLE DE BALANCER DANS SES VECTEURS DU NUCLEAIRE POURRI

Bonsoir, Jacques. Je ne crois pas que le détroit d'Ormuz puisse être considéré comme la propriété de l'une des puissances riveraines, l'Iran, en l'occurrence. Au regard du droit international, c'est, tout comme le canal de Suez, une voie d'eau internationale dont aucun pays riverain ne peut réclamer la propriété, car les voies d'eau internationales n'appartiennent à aucun pays. Cela n'empêche certes pas qu'un pays ne tente de se l'approprier. mais il le fera alors à ses risques et périls.
On sait que, comme l'Angleterre, les Etats-Unis sont une " île " . Il en résulte pour eux que la liberté de circuler sur les mers est vitale ( dès la seconde moitié du XIXe siècle, l'amiral Mahan insiste sur la priorité à donner à la Marine américaine ). L'un des motifs fondamentaux de leur intervention contre l'Allemagne au cours de la Première Guerre Mondiale est que la guerre sous-marine à outrance menée par l'Allemagne condamne la liberté de circuler sur les mers. A lire les déclarations récentes, par exemple celles de Leon Panetta, on voit que cette attitude demeure.

J'ai pour ma part tendance à penser que, de toute façon, une intervention militaire conjointe des Etats-Unis, d'Israël et du Royaume-Uni est entrée dans l'avant-dernière phase, celle du positionnement de forces à proximité de l'Iran. Qu'Obama n'en ait pas voulu au départ est une chose. Il y a des tas de choses qu'il voulait et qui ne se sont pas concrétisées ( par exemple, le gel ad aeternam des constructions juives