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Israël : Défense au Moyen-OrientVidéo : des membres du Hamas arrêtés dans des bureaux de la croix rougeUne camera de sécurité filme le raid de la police israélienne, lundi, contre le bâtiment de la croix rouge à Jérusalem, où deux terroristes du Hamas étaient cachés depuis 18 mois.
Le bâtiment est situé dans le quartier de Sheikh Jarrah, peuplé en majorité d'arabes, et adjacent au quartier juif d'Armon HaNatziv, proche de Talpiot. La croix rouge a pris connaissance du fait que les deux terroristes ont été arrêtés, mais n'a pas cru bon d'expliquer pourquoi ces deux hommes étaient cachés depuis que les autorités israéliennes aient émis des mandants d'arrêts contre eux il y a un an et demie. 14 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 15 minutes
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) semble avoir joué un rôle pour le moins douteux durant la Seconde Guerre mondiale.
Longtemps après la fin du conflit, la vénérable institution faisait encore valoir que son immobilisme face à la politique d'extermination des juifs avait une raison bien précise : son mandat ne concernait à l'époque que les prisonniers de guerre.
Mais les historiens qui se sont penchés récemment sur le dossier estiment que le CICR cherchait surtout à défendre les intérêts de la Suisse et que certains de ses membres n'auraient pas été exempts d'antisémitisme.
D'autres, enfin, souhaitaient préserver leur bonne entente avec la Croix-Rouge allemande qui, depuis longtemps, avait exclu les juifs de tous les postes de responsabilité pour les remplacer par des sbires à la solde du régime.
Au printemps 1942, ces derniers annonçaient au siège genevois que toute recherche portant sur des prisonniers en camps de concentration et des disparus "non aryens" ne serait plus traitée...
Les puissances alliées, il est vrai, se souciant avant tout du sort de leurs prisonniers de guerre, ne faisaient elles-mêmes guère pression sur la Croix-Rouge pour qu'elle vienne en aide aux juifs.
Les inspections de camps étaient rares et donnaient lieu à des mises en scène de la part des responsables des sites concentrationnaires.
L'exemple le plus frappant est celui de Theresienstadt, où le délégué du CICR se laissera aller à admirer cette "ville offerte aux juifs" par le Führer (titre du film de propagande que les nazis firent tourner).
Le cinéaste Claude Lanzmann (Shoah) a dénoncé cet épisode dans son livre Un vivant qui passe.
Même si l'organisation a compté aussi des hommes et des femmes héroïques qui ont sauvé des juifs au péril de leur vie, la polémique à propos de son rôle a été relancée à l'occasion du débat sur l'ouverture du fonds du SIR - Service international de recherches - à Bad Arolsen, en Allemagne.
Constitué à partir des archives de la Shoah soigneusement compilées par le IIIe Reich (50 millions de dossiers !), il est justement géré par le CICR...