Israël : Défense au Moyen-Orient

ces bastardes arab's encore-et-encore!!!!
Shot em All in place!!!!

bah y'a qu'a leur jeter des pierres aussi.d'ailleurs visiblement c'est sans raison apparente qu'ils ont fait ça. on pourrait donc "riposter" sans raison.....

et si des émeutes juives avaient lieu sur la tombe des patriarches , sur la tombe de rachel , sur le mont du temple , sur la tombe de rachel , et pourquoi ne pas interdire aux arabo-musulmans de fouler ces lieux saints juifs ?

mais qu ' attendent les chrétiens , ou le grand vatican pour se manifester et exiger que les lieux saints chrétiens resteront chrétiens , et que les musulmans n ' ont aucun droit de regards sur les lieux saints chrétiens !

oh, ces Arabes n'ont pas l'amour de leur prochains,

Honte à ces arabes ! ils ne connaissent pas le respect de toutes ses formes !

Rachel une des quatre mères, était la femme de Jacob et la mère de Joseph et de Benjamin.
Elle ne fut pas enterrée dans la grotte de Ma’hpéla comme les autres patriarches car Jacob avait entrevu par une vision prophétique, que le peuple juif sortant en exil passerait par cet endroit. C’est pour cela qu’il y enterra Rachel, afin qu’à ce moment-là, elle implore pour eux la miséricorde divine. La tombe de Rachel servira de signe de reconnaissance aux enfants d’Israël au retour de l’exil. Ils passeront alors à nouveau par le chemin d’Efra et ils pleurerons sur la tombe, tel qu’elle le fit elle-même par le passé. Elle partagera alors leurs joies et celle de la Chéhinah (Zohar).

Bien que Léa donna a Jacob de nombreux enfants, Rachel qui était stérile était malgré tout sa femme préférée. Elle tomba tout de même enceinte et mit au monde joseph. Quelque années plus tard, alors que sa famille de retour en Israël, se retrouve entre Bethel et Efrat, Rachel accouche de benjamin, mais meurt en couche à l’age de 36 ans. Jacob l’enterre alors à Bethléem et édifie une stèle sur sa tombe.

Un bouquet de louanges

Notre mère Rachel est une des premières prophétesses. Son principal signe distinctif était sa beauté. Par sa conduite pudique elle mérita d’avoir parmi ses descendants le roi Saul. La beauté de Rachel se retrouva chez son fils Joseph. Dans la Genèse (29,11), il est raconté que Jacob embrassa Rachel… et pleura. Jacob sentit son âme intensément attirée par celle de Rachel, il ne put alors retenir ses larmes car par prophétie, il vit qu’elle ne serait pas enterré près de lui.

Les deux aspects de la Présence divine

Nos mères, Rachel et Léa, ont accédé à des niveaux si élevés de sainteté que leurs noms dépeignent certains aspect de la Présence divine. Léa représente l’aspect de qui diffuse un flux constant de bénédiction divine pour faire subsister la création dans on ensemble, indépendamment de la conduite des êtres humains. En revanche, Rachel reflète cet aspect de la Présence divine qui influence le cours du monde conformément à l’action des hommes. Quand les hommes suivent les commandements de D., ils peuvent aider à révéler la Divinité. Dans le cas contraire, la Divinité se retire et la Présence divine va en « exil ».

La prière de Rachel

Paix sur toi, ô notre illustre mère Rachel, que ton âme soit réunie au faisceau de la vie éternelle auprès de l’Eternel ton D. et que tu repose en paix ! heureuse sois-tu dans le monde futur ! pour avoir suivi le chemins de ton Créateur, tu es promises à la vie éternelle dans l’habitation suprême des femmes pieuses, auprès des anges et des êtres inférieurs. Que le D. de miséricorde hâte ta résurrection et que nous ayons le mérite de contempler ta face resplendissante, semblable à la clarté éblouissante du ciel ! Que ton mérite nous protège, et que toi et tes saintes compagnes, reposiez en paix ! »

AMEN

Concours de beauté

Dimanche soir a eu lieu le grand banquet couronnant le Congrès International des Émissaires féminines du Rabbi de Loubavitch qui a rassemblé quelque 3000 femmes parmi les 4500 émissaires qui œuvrent dans le monde entier.

L'invitée d'honneur en fut Ilana Skolnik qui raconta l'émouvante histoire de sa vie. En résumé, Mme Skolnik raconta comment la jeune reine de beauté noire sud-africaine qu'elle était fit la rencontre du Judaïsme et d'un mari juif et fit progressivement progresser sa famille vers un modèle de foyer 'hassidique. Elle conclut en soulignant qu'après son élection comme Miss Africa South 1973, elle partit pour New York pour concourir à l'élection de Miss Monde, et que pour elle, jeune Sud-Africaine noire de 17 ans vivant en plein Apartheid, c'était l'occasion de rencontrer des femmes du monde entier. Et voici que, quelque 40 ans plus tard, elle se trouvait de nouveau à New York, parmi des femmes du monde entier. Des femmes, dit-elle, « possédant le pouvoir de transformer et d'élever ».

On pourrait en effet qualifier une telle réunion de « concours de beauté », mais avec une grande différence. Certes, « concours », car il s'agit de vaincre, et « beauté », car l'enjeu en est bien la beauté. Toutefois, l'analogie diverge ici, car il ne s'agit pas qu'une personne individuelle gagne au détriment des autres sur le plan de la beauté superficielle.

Aux antipodes de l'individualisme, du matérialisme et de la superficialité, il s'agit pour ces milliers de femmes de forger ensemble une victoire collective, une victoire universelle, pour révéler la beauté divine intrinsèque présente en chaque personne et en chaque créature de D.ieu, de faire jaillir la beauté de l'essence pour en imprégner la réalité extérieure.

Une couronne ? Bien sûr. Car le but final de cette mission est d'amener à la révélation de la royauté divine, à travers la venue du Machia'h et la délivrance pour toute l'humanité, qui inaugurera une ère ou chaque être humain pourra naturellement, sans entraves de quelque sorte que ce soit, révéler la beauté de son âme et contribuer à la beauté de l'humanité et de la création tout entière.

Il y a 20 ans, Miri Goldfarb, Miss Israël 1991, se rendit chez le Rabbi, lors de la « distribution des dollars pour la charité » qui avait lieu chaque dimanche matin. Lorsqu'elle fut devant le Rabbi, elle se présenta et demanda une bénédiction pour sa famille et pour qu'elle se marie prochainement. Le Rabbi lui répondit :

« De bonnes nouvelles, beaucoup de réussite. Il est écrit dans la Torah que "la beauté est mensonge", mais le verset continue : "une femme qui craint D.ieu est digne de louanges", et les commentateurs expliquent qu'une femme craignant D.ieu utilise sa beauté pour accomplir de belles choses dans la Torah et les mitsvot. Transmettez ce message à vos amies, à vos dauphines et à toutes les participantes. »

Chalom Roland, belle histoire mais vous nous laissez sur notre fin avec Ilana Skolnik il manque la fin.... quel est votre lien avec le titre de l'article?

CHALOM, RUBEN, helas, moi aussi, j attend la suite, c est des amis loubavitch, qui m ont fait parvenir cette histoire, et je l affiche tel quelle, ne peut t en dire plus, patience, je vais aux renseignements, salut,