English Version Force de Défense d'Israel sur Internet
Inscription gratuite
AccueilInfos IsraelBlogs Juifs et IsraéliensVidéo IsraelOpinions : monde Juif et IsraelLe MagTOP SitesLa BoutiqueJuif.org TV

Israël : Défense au Moyen-Orient

"Les Etats-Unis ont des plans pour attaquer l'Iran"

"Les Etats-Unis ont des plans pour attaquer l'Iran" - © Juif.org

Le chef d'état-major de l'armée de l'air américaine, le général Norton Schwartz, a déclaré mercredi que l'administration Obama a "préparé des options militaires pour frapper les sites nucléaires iraniens en cas de conflit."

"Au regard de ce que nous pouvons faire, vous ne voudriez pas être dans le coin," a déclaré Schwartz aux journalistes.

Selon l'agence de presse Bloomberg, Washington a commencé à avertir que les Etats-Unis pourraient se joindre a Israël en cas de raid contre les installations nucléaires de la dictature islamique si cela était nécessaire.

Les responsables du Pentagone cités par Bloomberg ont déclaré que parmi les actions militaires se trouvent la possibilité de fournir un ravitaillement en vol pour les avions israélien ainsi que des attaques contre le corps des Gardiens de la Révolution et sa force d'élite Qods, contre des bases militaires régulières et contre le ministère des renseignements et de la sécurité.

"Il n'y a pas de groupe en Amérique plus déterminé à empêcher l'Iran de parvenir a une arme nucléaire que les chefs d'état-major," a déclaré mercredi le chef d'état-major interarmes, le général d'armée Martin Dempsey au comité du budget de la Chambre.

80 commentaires
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Chorom - le Samedi 3 Mars 2012 à 23:49
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Johanan - le Dimanche 4 Mars 2012 à 09:06
Chorom, est un muslim, alors il va s'en prendre plein la poire
Envoyé par Yosef - le Dimanche 4 Mars 2012 à 11:53
Vendredi 2 mars 2012502/03/Mars/201223:01
Obama et les frères musulmans : Drôles d'acolytes?
Publié le : 27 février 2012

Par Ted Belman

http://www.israelnationalnews.com/Articles/Article.aspx/11312

Adapté par Mordeh’aï pour malaassot.com ©2012


L'alliance entre l'administration Obama et les Frères musulmans est la pierre angulaire de la 'politique Obama' du nouveau Moyen Orient. Son amitié avec Erdogan fait partie de la présente tactique.


Dr Essam Abdallah, un intellectuel libéral égyptien, a dans un article publié en octobre dernier sur, un des sites d'information les plus lus du Monde arabe le libéral pan arabe Elaph, il y fait réfèrence à certains rapports venant de Washington :

« Ces rapports révèlent la profondeur de la coordination souterraine entre le Conseil des Relations islamique américain (CAIR), le Hamas, le Hezbollah, le régime iranien et les Frères musulmans en Égypte, en Syrie, en Tunisie, en Libye et en Jordanie.

Ce bloc de régimes et d’organisations devient maintenant le plus grand lobby islamiste radical qui a réussi plus que jamais à pénétrer et à infiltrer la Maison Blanche, le Congrès, le Département d'État et les Centres principaux de prise de décision du Gouvernement Américain. Tout cela se passe à un moment où le gouvernement américain traverse sa période la plus stratégiquement dangereuse des temps modernes en raison de son besoin d'affronter le régime des mollahs iraniens, qui est en expansion au Moyen-Orient, ainsi que de pénétrer aux États-Unis, par l'intermédiaire des alliés puissants et influents. »

« Les révoltes populaires dans le monde arabe – et la position de l'Administration d’Obama à leur égard – ont été déterminées par des luttes politiques entre les divers groupes de pression de Washington. »


Suit un autre article dans lequel il demande,

« Pourquoi l'Occident en général et l'Administration des États-Unis en particulier ne disent pas clairement et avec force soutenir nos sociétés civiles et plus particulièrement les démocrates laïques de la région ? Pourquoi les bureaucraties de Washington et de Bruxelles sont-elles avec les islamistes dans la région et pas en partenariat avec leurs alliés naturels de la promotion des forces politiques de la démocratie? »


Steve Emerson du projet d'enquête sur le terrorisme dit de cet article, « c'est l'un des articles des plus importants, que j'ai lu au cours de ces dernières années. » Il a ensuite fait lui-même ces allégations:

« Il est seulement révélé qu’il y a deux jours Mueller Directeur du FBI a rencontré secrètement le 8 février au siège du FBI une coalition de groupes, y compris divers islamistes et des groupes militants arabes qui, dans le passé, ont défendu le Hamas et le Hezbollah et ont également publié des déclarations ouvertement antisémites. Lors de cette réunion, le FBI a révélé qu'il avait retiré plus de 1000 présentations et programmes d'études sur l'Islam dans les bureaux du FBI dans tout le pays qui ont été jugé « nocifs ». Le FBI n'a pas révélé quels critères ont été utilisé afin de déterminer pourquoi ce matériel avait été considéré comme « offensif », mais les sources compétentes de l'application du droit ont dit l'IPT que c'était ces groupes radicaux qui avaient rendu cette décision. De plus, plusieurs agents du FBI ont confirmé que, désormais, le quartier général du FBI a interdit à tous les bureaux du FBI d'inviter des spécialistes antiterroristes qui sont considérés comme « anti-Islam » par les groupes «des Frères musulmans. »


Ce n’est pas étonnant pour moi. En Août 2011, après avoir réalisé le dossier, j'ai écrit, « À mon sens, l'alliance entre l'administration d’Obama et les Frères musulmans est la pierre angulaire de la nouvelle politique de Moyen-Orient d’Obama. ».


L’aspect de preuve le plus accablant a été signalé par Herb London de l’ Hudson Institute dans son article :

Les Etats-Unis Trahissent l'Opposition de la Syrie, « Dans un effort pour comprendre et apaiser les groupes de l'opposition syrienne, la Secrétaire d'État Hillary Clinton les a invités à une réunion à Washington. La plupart des personnes invitées, avaient cependant, des liens avec les Frères musulmans. Les absents de l'invitation étaient les dirigeants kurdes, les libéraux sunnites, les porte-paroles des Assyriens et Chrétiens. Selon divers rapports du département d'État les représentants de la Turquie ont fait un deal avec les Frères musulmans afin de se partager le pouvoir avec El-Assad pour stabiliser le gouvernement, ou le remplacer si cet effort ne se réalisait pas. Une organisation, le Conseil de la démocratie syrien (DDC), un groupe d'opposition composé de diverses organisations ethniques et religieuses, y compris les alévis, araméen chrétiens, druzes et Assyriens n’était visiblement — pas par coïncidence — évincé de la liste d'invitation. »

Caroline Glick l’a écrit en août de l'année dernière :

« Ce que ces observateurs ne peuvent reconnaître, c'est que les intérêts d'Erdogan dans un post-Assad en Syrie ont peu en commun avec les intérêts américains. Erdogan s'efforcera de s'assurer que l'inaptitude de la minorité kurde continue en Syrie. Et il travaillera vers l’Islamification de la Syrie par l'intermédiaire des Frères musulmans.

« Aujourd'hui c’est une coalition de personnalités de l'opposition syrienne qui incluent tous les groupes ethniques en Syrie. Leurs représentants ont frappé aux portes du pouvoir à Washington et au-delà. Pourtant les mêmes dirigeants occidentaux qui étaient tellement désireux de reconnaître l'opposition libyenne, en dépit de la présence de terroristes Al Qaeda sous la tente de l'opposition a refusé de publiquement de prendre les adversaires de régime syrien qui recherchent une Syrie démocratique, fédérale qui vivra en paix avec Israël et adoptera des politiques libérales.

« Cette semaine, la Secrétaire d'État Hillary Clinton a tenu une réunion privée avec ces courageux démocrates. Pourquoi est-ce qu'elle n'a pas tenir une réunion publique ? Pourquoi Obama ne les a pas accueillis à la maison blanche? »

« En refusant d'adouber les opposants libéraux, au régime multiethnique, l'administration a tout fait pour assurer la réussite de la Turquie d'installer des Frères musulmans au pouvoir, si El-Assad est renversé ».

La Coalition démocratique de Syrie (DSC) ci-dessus mentionné, est décrite comme :

« La Coalition démocratique syrienne (DSC) est une coalition émergente de diverses organisations syriennes réunies pour aider à mettre fin au régime d'Assad et de promouvoir la transformation de la Syrie en une démocratie laïque fondée sur la liberté. La coalition est fondée sur la croyance de la séparation de la religion et de l'État et est dédiée à l'établissement d'une nouvelle constitution d’une République fédérale claire en Syrie, fondée sur la raison qui protège aussi les droits des minorités, fait la promotion de l'égalité des sexes et englobe les droits et libertés de chaque personne, énumérés dans la déclaration des Nations Unies pour les droits de l'homme. Cette coalition grandissante traverse toutes les lignes ethniques, religieuses et tribales afin de représenter tous les Syriens. Elle comprend dès à présent des membres de ‘Syrie maintenant’, les membres de l'Assemblée nationale du Kurdistan Syrien, l'Union syrienne des tribus arabes et le mouvement démocratique chrétien syrien. »

Sherkoh Abbas est Secrétaire général du Conseil de la démocratie de Syrie et président de l'Assemblée nationale du Kurdistan Syrien. Je l'ai d'abord rencontré quand il m'a invité à être directeur de la Ligue d'amitié américaino- kurde il y a 5 ans.

Récemment, il me confia que, dans toutes ses relations avec le département d'État au cours des deux dernières années, aucun intérêt n’a été montré pour sa coalition et au lieu de cela il était continuellement pressé d'appuyer le Conseil National syrien, composé des Frères musulmans, d'autres islamistes et d'Arabisans. Il croit que les États-Unis travaillent de concert avec les groupes salafistes, et le gouvernement turc, à créer une opposition en Syrie, ce qui est strictement islamiste, et donc ne servira que les intérêts économiques turcs en Syrie et garderont le problème kurde comme en sommeil tant en Turquie qu'en Syrie.

Pour les six derniers mois au moins, Obama a cultivé une relation avec Erdogan Premier Ministre de Turquie.

Le SDC gagne en attractivité parmi les Kurdes, les Druzes, les Sunnites, les Chrétiens et même les Alaouites. C’est ainsi parce que ces diverses minorités commencent à penser à un 'après' Assad en Syrie et qu'ils veulent tous une région bien à eux. Elles ont exprimé leur empressement d'être laïques, démocrates et amies d'Israël et demanderont de le faire par écrit. Elles ne veulent pas d'Islamisme ou d'Arabisme. Elles préfèrent la paix, la liberté et la prospérité. Ainsi pourquoi Obama ne les choisit-il pas ?

L'administration d’Obama est totalement en phase avec les Frères musulmans. Lors de la célèbre Conférence d’Herzliya cette année, j'ai rencontré Salman Shalkh, un des orateurs du Qatar.. Nous avions eu une longue conversation dans laquelle il a continué d'insister pour que le Plan saoudien soit adopté par Israël. C’est le plan qu'Obama a commis, c'est-à-dire, frontières de 67 avec des échanges de terres mutuellement convenus. Il a soutenu qu'Israël devrait parler au Hamas et j’ai répliqué, « que, nous n'avions rien à leur offrir ». Il fut aussi l’apologiste des Frères musulmans. On aurait pu s'attendre à d’autres arguments que ceux-là venant d'une personnalité du Qatar.

Malheureusement, les mêmes arguments sont réalisés par la Maison Blanche. Il est intéressant de noter qu'il est directeur du Centre Brookings Doha, au Qatar, la ramification de l'Institut arabe de Brookings qui a autant d'influence auprès du département d'État. Il m'a dit qu'il était une des personnes qui a rédigé la feuille de route au nom du département d'État. Je lui ai dit qu'il ne m'étonnait pas et j’ai suggéré qu'il avait probablement rédigé le Plan de paix saoudien pour eux, aussi.

Ce qui se passe maintenant dans la politique étrangère américaine n'est pas tant un produit du Lobby islamiste alimenté par les Frères musulmans que par les États du Golfe, comme un produit d'une alliance stratégique qui a existé entre les États-Unis et les États du Golfe menée par l'Arabie saoudite depuis bien avant qu’Israël ne déclare son indépendance.

Le président Obama avec son union manifeste avec l’Islam, les Musulmans et les Frères Musulmans, l'a resserré à un autre niveau.

Il semblerait que les idées exprimées par Mearsheimer et Walt dans leur livre, le Lobby d'Israël, sont adoptées par le département d'État et la Maison Blanche. Ces idées comprennent que le Lobby d'Israël est trop fort pour le bien de l'Amérique, et qu'Israël est une responsabilité pour l'Amérique.

Mais la vérité est ailleurs, comme John R. MacArthur fait remarquer en 2007, dans l'immense pouvoir du Lobby de l’Arabie Saoudite :

" Cependant, d'une certaine manière, je ne peux pas brandir que l'idée du lobby d'Israël, peu importe combien il est puissant, cela concerne le passé, je ne suis pas du tout sûr qu’à présent il ne se soit pas effondré, particulièrement depuis les administrations Bush

En effet, quand je pense aux groupes de pression étrangers pernicieux ayant une emprise disproportionnée sur la politique américaine, je ne peux voir que l'Arabie Saoudite et sa maison royale, menée par le Roi Abdullah."

Obama a décidément déplacé l’alliance avec Israël, par une alliance avec les islamistes.


Le Député Aryeh Eldad, dans un discours qu'il a donné à l'automne aux États-Unis, quand Israël avait l'intention d'agir contre l'Iran militairement, a dit un mot qui venait de la Maison Blanche que « si vous agissez seuls, vous resterez seuls ». Parce qu'Israël est donc dépendant des Etats-Unis pour le réapprovisionnement en armes et en munitions dans une guerre prolongée, cette menace a changé immédiatement la donne. Il est vrai que quand Mahmoud Abbas a été menaçant avant d'aller à l'ONU pour une reconnaissance d’un Etat, l'administration d’Obama a fait pression sur le monde entier pour des votes négatifs. Mais en même temps, Obama a menacé Netanyahu qu'il rejeterait son droit de veto si Israël prenait des mesures punitives contre le l’AP en annexant des territoires ou en gelant les fonds. Enfin, il a utilisé la même menace pour amener Israël à informer le lobby de l'AIPAC au Congrès afin de ne pas punir l’AP par le gel des fonds américains.


Au cours des six derniers mois, Israël a été averti par une succession de hauts militaires et fonctionnaires de l'administration Américaine de ne pas à attaquer l'Iran, à cette époque, toutes ces pressions au nom de donner une chance aux sanctions. Mais qui croit que les sanctions arrêteront l'Iran. Et qui croit que les États-Unis vont en fin de compte attaquer l'Iran pour les arrêter.

Si bien qu’Obama soutient les Frères Musulmans, et maintient Israël sous sa houlette.


ISI Leibler rappelle à tous ceux qui: « Cette organisation [les frères musulmans] représente l'un des plus fanatiques et dangereux des groupes islamistes radicaux dans la région, avec un dossier noir de violence et du terrorisme dans son ADN. Il est farouchement antioccidental, antichrétien, antisémite, il s'est engagé à imposer la charia et un califat mondial – et prêt à employer tous moyens pour atteindre ses objectifs. »


Beaucoup de personnes diraient qu’Obama est aussi « antioccidental, antichrétien et antisémite ». À en juger par ses politiques, ils auraient raison. !!.


► Plus de cet écrivain

L'auteur est un ancien procureur et rédacteur en chef du Israpundit. En 2009, il a fait son aliya et réside maintenant à Jérusalem.



malaassot.over-blog.com
Envoyé par Sonia_004 - le Dimanche 4 Mars 2012 à 12:17
Nous sommes pas des enfants pour demander une permission d'attaque sur l'Iran.
Hussein Obama nous raconte n'importe quoi pour que nous allons pas mettre l'Iran en feu.
Il est temps qu'il quitte la maison blanche.
Envoyé par Jérémie_003 - le Dimanche 4 Mars 2012 à 12:27
Le double jeu d'obama est puant, qu'il dise oui ou non, pas de nouvelles excuses inexcusables à chaque fois, maintenant il en est à dire, qu'il ne faut pas transformer les iraniens en victimes ??? Préfère t-il qu'Israël devienne la victime ????
Envoyé par Moshé_007 - le Dimanche 4 Mars 2012 à 13:47
Il serait grand temps pour le lobby juif d'engager une procédure de destitution contre le muslim OBAMA qui compromet la sécurité des Etats Unis d'Amérique en flirtant avec les pays Arabes qui abritent des milliers de terroristes alors que les victimes américaines de l'attentat du 11 septembre sont encore dans toutes les mémoires des Américains; voilà un sujet à mettre au menu de la campagne électorale des présidentielles pour le discréditer aux yeux de l'opinion publique; n'oublions pas qu'OBAMA s'est abaissé devant lui pour prêter allégeance au Roi d'Arabie Saoudite comme le montre la vidéo :

http://www.dailymotion.com/video/x8xrxs_obama-fait-le-baise-main-au-roi-d-a_news
Envoyé par Daniel_097 - le Dimanche 4 Mars 2012 à 13:56
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Chorom - le Dimanche 4 Mars 2012 à 16:31
Merci de cette precision, car au vu du texte, cela semblait etre clair, nous sommes dans un monde ou il y a tellement de gens qui nous veulent du bien, qu'il faut faire attention.
Oui, et quand ce sera l'heure nous apprendrons, l'action d'Israel, comme pour osirak.
AM ISRAEL HAI
Envoyé par Yosef - le Dimanche 4 Mars 2012 à 18:30
http://youtu.be/0wbH5KVPrPo
Envoyé par Sonia_004 - le Dimanche 4 Mars 2012 à 18:59
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 7 minutes