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Israël : Défense au Moyen-OrientUn député demande un rapport sur la conduite de l'état face à l'IranSuite à un rapport du contrôleur de l'état publié mercredi qui critique le processus de décision du gouvernement dans sa gestion du raid de 2010 contre le Mavi Marmara, le chef du comité de contrôle de l'état de la Knesset, Uri Ariel (Union Nationale), a déclaré jeudi qu'il avait l'intention de demander un rapport au contrôleur de l'état sur la manière dont le gouvernement gère la menace nucléaire iranienne. Le comité de contrôle de l'état de la Knesset se réunissait jeudi pour débattre des problèmes soulevés par le rapport du contrôleur de l'état, Micha Lindenstrauss sur le traitement de l'incident du Mavi Marmara, et de s'assurer que les leçons sont mises en œuvre. Ariel a déclaré qu'il était inquiet au sujet des conclusions de Lindenstrauss. Il a convoqué le conseiller à la sécurité nationale, Yaakov Amidror, pour expliquer quels problèmes ont déjà été résolus et ce qui peut être fait pour régler les autres. Le rapport critique sévèrement un processus de décision "non systématique" au niveau des plus hauts responsables politiques, en particulier par le premier ministre Benyamin Netanyahou, dans les semaines et les jours qui ont immédiatement précédé l'arrivée de la flottille dans les eaux israéliennes. Ariel a déclaré jeudi que "si nous avons vu ici une telle difficulté dans le processus de prise de décision, il est bien entendu que nous devons vérifier ces menaces bien plus grandes et sérieuses, et nous allons pousser pour une enquête de ce type." Toujours jeudi, l'ancien chef du conseil national de sécurité, Uzi Arad, a répondu au rapport du contrôleur d'état, disant qu'il avait tenté de démissionner de son poste un mois avant l'incident. Arad a dit à la radio de l'armée que le bureau du premier ministre ne permettait pas au conseil national de sécurité d'exercer les pouvoirs que lui confère la loi sur le conseil de sécurité national de 2008. Lindenstrauss a critiqué une série d'échecs dans la mise en œuvre de la loi sur la sécurité nationale de 2008, et a noté que, par la suite, le CNS n'a pas joué le rôle central qu'il aurait du avoir dans le processus décisionnel concernant la flottille turque. Arad a affirmé qu'il avait démissionné parce que le conseiller de Netanyahou de l'époque, le major général Yohanan Locker, a été directement en contact avec l'armée israélienne, passant outre le conseil de sécurité national, et créant une situation de désorganisation. L'enquête du contrôleur de l'état a révélé que le CSN ne remplissait pas le rôle prévu à l'origine, et que le conseil, qu'Amidror administre, n'a toujours pas agi comme un centre névralgique pour les affaires étrangères et de sécurité, qui devrait apporter une valeur ajouté aux décideurs sur les questions sécuritaires vitales. Articles connexes
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On peut comprendre et perdre la tete
on peut saisir la profondeur et mourir d'extase
on peut voir et confondre et tout renier
Et on peut garder l'equilibre tout en progressant sans cesse par petit pas