Israël : Défense au Moyen-Orient

du cinéma américain obamien ...toujours le même cinéma , en attendant les élections ... je conseille à obama de devenir réalisateur de film à holiwood !

et toujours , dans la tête de obama , comme un let motiv : " jamais l ' amérique n ' attaquera l ' islam " ... je remplacerai l ' islam par l ' iran ... jamais l ' amérique n ' attaquera l ' iran !

cete farce-comédie de obama , va permettre à l ' iran de poursuivre impunément son programme militaire du nucléaire ... obama continue à jouer les marionettes ...il excelle dans ce rôle ...le champion du mensonge !

Peut être une commande l'Amérique pour nous, Un cadeau!!!!!!!!

L AMERIQUE NE RELEVERA AUCUN DEFI SOUS OBAMA
CET HOMME GOUVERNE EN POLITIQUE EXTERIEURE COMME LES AYATOLAH IRANIENS
IL GESTICULE IL MENACE IL SE DEGONFLE
L AMERIQUE C EST PAS CELA ET ENCORE MOINS LE PENTAGUONE QU IL A MUSELE ET TIENS AU PIED

Imaginons ceci : les Iraniens ont réussi, d'Istambul en Bagdad, de Bagdad en Moscou, de Moscou en ... , à gagner le temps qui leur était nécessaire pour achever leurs préparatifs nucléaires. Au 15 octobre ( dans trois mois et demi ), ils détiennent un stock d'uranium hautement enrichi en quantités suffisantes pour fabriquer plusieurs bombes nucléaires. Des missiles capables de toucher Israël, tout le Proche-Orient, le Sud de l'Europe, etc. Les répits successifs qui leur ont été donnés leur ont permis de mettre au point les procédés de mise à feu, la miniaturisation éventuellement nécessaire pour pouvoir fixer les têtes nucléaires sur les vecteurs, etc. Et, en outre; de mettre au point des procédures rapides permettant de réduire considérablement le temps nécessaire entre le moment où est prise la décision d'assembler les constituants des bombes et celui où cet assemblage est terminé : au lieu de deux à trois mois ( comme on le croit ou affecte de le croire, à Washington, et ailleurs ), trois semaines, environ.

A partir de là, l'Iran peut décider du moment le plus opportun où annoncer qu'il est devenu puissance nucléaire militaire : le 5 novembre, au lendemain de l'élection présidentielle américaine ? le 21 janvier, au lendemain de l'entrée en fonction officielle du nouveau président ? entre les deux, à l'époque où les fêtes de fin d'année paralysent toujours considérablement l'Occident ( c'était le moment choisi par les Soviétiques pour envahir l'Afghanistan, en 1978 ) ?

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De toute façon, quelle que soit celle de ces trois dates qui serait jugée la meilleure par Téhéran, le simple fait que l'Iran soit devenu puissance nucléaire militaire suffirait à le placer en situation d'invulnérabilité, comme ce fut le cas, précédemment, pour la Corée du Nord.

Le " deadline " se rapproche donc et peut être fixé, approximativement, fin octobre- début novembre : quatre mois. Les Etats-Unis auront-ils, d'ici là, réussi à constituer l'axe Occident-Islâm sunnite qu'ils cherchent à mettre en place depuis un an et demi ? - Nommément, auront-ils réussi à imposer un compromis et un modus vivendi viable entre militaires égyptiens et Frères Musulmans ? A trouver - et à réussir à imposer - en Syrie une solution ejusdem farinae entre officiers alaouites et cadres baasistes, d'une part, et sunnites de l'autre ? - Ce n'est peut-être pas totalement impensable, dans l'un comme dans l'autre cas, mais ce n'est nullement garanti d'avance. L'idée étant que, à moins de la réussite dans cet objectif ( un axe Occident-Islâm sunnite ), les Etats-Unis n'estimeraient pas possible une confrontation avec l'Iran pré-nucléaire.

Resterait aussi à prendre en compte que le pôle islamique sunnite est probablement d'ores et déjà divisé entre deux têtes : une tête, qui serait américano-Frères musulmans, et l'autre [ qu'on me pardonne mon charabia ... ], américano-séoudienne ... ( ce que je veux dire par là est que l'Arabie séoudite appuie probablement les militaires égyptien

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... égyptiens, plutôt que Les Frères Musulmans ... ).
Le nom du président égyptien devrait être donné incessamment. Si, du moins, un accord de dernière minute a pu être trouvé entre l'Ikhwan et l'armée. Reste évidemment à savoir si un tel accord, à supposer qu'il ait été trouvé sur le papier, pourrait prendre corps sur le terrain ...

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Les voeux ( et les pressions ) du Département d'Etat et de Mme Hillary Clinton sont exaucés. L'armée et les Frères Musulmans sont parvenus à composition. Reste maintenant à installer dans les faits le compromis et à lui donner un contenu politique. Et reste à voir s'il se révélera praticable et dans quelle mesure.
Néanmoins, on doit respirer un grand coup à Washington. D'autant que ce succès des Etats-Unis tombe particulièrement à point nommé, au moment où Vladimir Poutine est en visite dans la région, pour lui faire entendre clairement que les Etats-Unis demeurent " incontournables " dans le coin ...

Bonsoir, Joseph. J'espère beaucoup qu'on verra quelque chose comme ça se produire, oui.