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Israël : Défense au Moyen-OrientQuel rapport entre l'attentat anti-israélien en Bulgarie, l'Iran, le Hezbollah et la Syrie'Sept touristes israéliens sont morts mercredi 18 juillet dans l'explosion d'un bus à Bourgas, en Bulgarie, dont 6 sur le coup et le dernier à l'hôpital. Plusieurs bus attendaient les 154 touristes israéliens qui étaient arrivés à bord d'un charter parti de Tel-Aviv, pour les répartir dans les différents hôtels des plages de la Mer Noire.
Ce bilan officiel a été transmis par le ministre bulgare des Affaires étrangères Nikolaï Mladénov à son homologue israélien Avigdor Lieberman. Le ministre israélien des Affaires étrangères a indiqué qu'en parallèle du traitement aux blessés et à leurs familles, «le gouvernement israélien agira tous azimuts pour que les responsables de l'attentat de façon directe ou indirecte payent le prix». Le raisonnement est le suivant: avec l'évolution maintenant rapide de la situation en Syrie et la fin prévisible du régime de Bachar el-Assad, ses alliés les plus proches dans la région, Iran et Hezbollah, tentent d'élargir le conflit et de l'amener sur un autre terrain: celui de la confrontation avec Israël. Benjamin Netanyahou et Ehud Barak, ministre de la Défense, n'ont attendu que quelques heures après l'attentat pour désigner les coupables. Ils ont accusé l'Iran et le Hezbollah d'avoir perpétré l'attaque contre le bus israélien et ont promis des représailles fortes avec l'objectif d'atteindre les auteurs. Ils n'ont aucun doute sur les commanditaires de l'attaque car, selon eux, ils ont ... Lire la suite Articles connexes
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Il est certes nécessaire d’« historiciser la Shoah » comme nous y invite Georges Bensoussan[1]. A l’heure du négationnisme, il convient d’entrer résolument dans les faits, faire l’étude précise et rigoureuse du génocide, d’analyser l’antisémitisme, de s’intéresser aux victimes, mais aussi aux bourreaux, de s’efforcer de comprendre la société allemande dans laquelle est né le projet exterminationniste et la société française qui a puissamment contribué et à l’arrestation, à la livraison des Juifs, et parfois à leur sauvetage. Cela implique de ne pas se cantonner au « lamento moraliste du "plus jamais ça" », à la leçon de morale inopérante[2] .
Mais plus l’on se penche sur l’extermination des Juifs durant la Seconde guerre mondiale, moins on la comprend, au sens ou « comprendre, c’est presque justifier »[3] . En classe, nous pouvons en décrire le mécanisme, nous savons montrer des enchaînements de faits et d’idées, nous précisons les chiffres, nous localisons mieux. Mais pouvons nous comprendre ce qui s’est passé ? Il me semble qu’aucune école historique, aucun système philosophique, ne parvient à expliquer complètement la Shoah. Les religions paraissent particulièrement démunies sur cette question . Je n’irai pas jusqu’à rejoindre complètement Claude Lanzmann, pour qui chercher à comprendre serait une sorte de profanation, une absolution indécente du crime unique, par la désacralisation de la causalité[4] , mais il faut dire l’insuffisance de la seule démarche historique : travailler sur la Shoah conduit parfois à rester là, les bras ballants, devant l’horreur ordinaire de nos découvertes…
L’Islam court à son malheur terrestre pour son salut éternel
Jamais, si l’on en suit ses propres prophéties, l’Islam ne récupérera Jérusalem. Toute leur foi, leur obstination se concentre sur cette ville : «Elle est terre d’Islam. Nous en chasserons les infidèles. » Voici une preuve de cette détermination. Il s’agit d’une fatwa* (décision religieuse) du Mufti de Jérusalem le Sheikh Ikrama Sabri concernant le Mur Occidental, le dernier vestige du Temple détruit par Titus [24] (Kotel hama’aravi, encore appelé Mur des Lamentations,).[25]
«La question du Mur "Al-Bouraq" a été soulevée. Mais selon le droit international, il s'agit d'un patrimoine islamique consacré, puisque le Mur "Al-Bouraq" fait partie de la muraille de la Mosquée Al-Aqsa. Qui plus est, c'est le Prophète Mohammed lui même qui l'a sanctifié lorsqu'il y attacha (la jument) Al-Bouraq, qui l'avait transporté sur son dos de La Mecque* à Jérusalem, dans la nuit du Mi'raj (ascension au ciel de Mohamed, selon la tradition musulmane). C’est pourquoi nous décrétons que ce Mur appartient à l'Islam et n'a rien à voir avec les Juifs. Concernant ce qui a été publié dernièrement sur la chute de quelques pierres du mur et l'intention qu’ont les Juifs de le réparer, nous affirmons que le ravalement de ce Mur relève de l'autorité de l'Administration des Biens islamiques (Waqf) et qu’il est interdit a