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Israël : Défense au Moyen-OrientLe terroriste de Bourgas serait un islamiste suédoisLa Suède a nié les rapports parus dans les medias bulgares jeudi suggérant que Mehdi Ghezali, le kamikaze présumé de l'attaque terroriste contre des touristes israéliens à Bourgas, était un ressortissant suédois. Les medias bulgares ont nommé Ghezali comme étant le terroriste, disant qu'il était un islamiste algérien-suédois qui a passé deux ans à Guantanamo Bay. "Nous n'avons pas ce nom," a répondu le chef des services de sécurité suédois, Claes Ohison, mais n'est pas rentré dans les détails. Plus tôt, la chaîne ABC a publié une photo d'un permis de conduire falsifié du Michigan, qui a appartenu à l'homme identifiée par les autorités bulgares comme le kamikaze. Selon l'image obtenue par ABC, un permis du Michigan avec le nom de "Jacque Felipe Martin" a montré que le suspect comprenait une fausse adresse en Louisiane comme résidence permanente. L'adresse est en fait celle d'un casino à Bâton Rouge, en Louisiane, appelé la "Belle de Bâton Rouge." La véritable identité du suspect n'a pas encore été révélée. Le ministre des affaires étrangères bulgare, Nikolay Mladenov, a déclaré que l'homme, âgé d'environ 35 ans, était dans le pays depuis quatre à sept jours. "D'après ce que nous avons pu voir sur les cameras vidéos, nous pensons que c'est une personne qui était un kamikaze," a déclaré un responsable bulgare à ABC. "L'enquête est toujours en cours en étroite collaboration avec les israéliens et les américains." La télévision bulgare a diffusé les images d'une camera de sécurité montrant le kamikaze présumé errer dans, et en dehors du terminal peu de temps avant l'explosion. Il était lui-même habillé comme un touriste, coiffé d'une casquette de base-ball, d'un tee-shirt, d'un short à carreaux, des baskets et des courtes chaussettes blanches. Il portait un grand sac à dos à roulettes. Des responsables ont déclaré plus tard que la bombe a explosé dans le compartiment à bagages de l'autobus alors que l'attaquant se mêlait à ses victimes. Le corps de l'homme vu dans la vidéo a subi les dommages les plus graves dans l'explosion, ce qui conduit les enquêteurs à croire qu'il était le kamikaze. Un passeport américain du Michigan, apparemment faux, et d'autres documents personnels ont été trouvés dans ses affaires. Des échantillons de son ADN sont utilisés pour tenter d'établir son identité. Le premier ministre bulgare, Boiko Borisov, a déclaré aux journalistes que le permis de conduire du Michigan a été récupéré, mais a dit que des responsables américains ont indiqué qu'il "n'y avait pas une telle personne dans leur base de données." Le Michigan est un état qui comporte une des plus grande communauté arabe des Etats-Unis. Articles connexes
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Il est certes nécessaire d’« historiciser la Shoah » comme nous y invite Georges Bensoussan[1]. A l’heure du négationnisme, il convient d’entrer résolument dans les faits, faire l’étude précise et rigoureuse du génocide, d’analyser l’antisémitisme, de s’intéresser aux victimes, mais aussi aux bourreaux, de s’efforcer de comprendre la société allemande dans laquelle est né le projet exterminationniste et la société française qui a puissamment contribué et à l’arrestation, à la livraison des Juifs, et parfois à leur sauvetage. Cela implique de ne pas se cantonner au « lamento moraliste du "plus jamais ça" », à la leçon de morale inopérante[2] .
Mais plus l’on se penche sur l’extermination des Juifs durant la Seconde guerre mondiale, moins on la comprend, au sens ou « comprendre, c’est presque justifier »[3] . En classe, nous pouvons en décrire le mécanisme, nous savons montrer des enchaînements de faits et d’idées, nous précisons les chiffres, nous localisons mieux. Mais pouvons nous comprendre ce qui s’est passé ? Il me semble qu’aucune école historique, aucun système philosophique, ne parvient à expliquer complètement la Shoah. Les religions paraissent particulièrement démunies sur cette question . Je n’irai pas jusqu’à rejoindre complètement Claude Lanzmann, pour qui chercher à comprendre serait une sorte de profanation, une absolution indécente du crime unique, par la désacralisation de la causalité[4] , mais il faut dire l’insuffisance de la seule démarche historique : travailler sur la Shoah conduit parfois à rester là, les bras ballants, devant l’horreur ordinaire de nos découvertes…
L’Islam court à son malheur terrestre pour son salut éternel
Jamais, si l’on en suit ses propres prophéties, l’Islam ne récupérera Jérusalem. Toute leur foi, leur obstination se concentre sur cette ville : «Elle est terre d’Islam. Nous en chasserons les infidèles. » Voici une preuve de cette détermination. Il s’agit d’une fatwa* (décision religieuse) du Mufti de Jérusalem le Sheikh Ikrama Sabri concernant le Mur Occidental, le dernier vestige du Temple détruit par Titus [24] (Kotel hama’aravi, encore appelé Mur des Lamentations,).[25]
«La question du Mur "Al-Bouraq" a été soulevée. Mais selon le droit international, il s'agit d'un patrimoine islamique consacré, puisque le Mur "Al-Bouraq" fait partie de la muraille de la Mosquée Al-Aqsa. Qui plus est, c'est le Prophète Mohammed lui même qui l'a sanctifié lorsqu'il y attacha (la jument) Al-Bouraq, qui l'avait transporté sur son dos de La Mecque* à Jérusalem, dans la nuit du Mi'raj (ascension au ciel de Mohamed, selon la tradition musulmane). C’est pourquoi nous décrétons que ce Mur appartient à l'Islam et n'a rien à voir avec les Juifs. Concernant ce qui a été publié dernièrement sur la chute de quelques pierres du mur et l'intention qu’ont les Juifs de le réparer, nous affirmons que le ravalement de ce Mur relève de l'autorité de l'Administration des Biens islamiques (Waqf) et qu’il est interdit a