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Israël : Défense au Moyen-OrientLa Bulgarie rejette les revendications de l'attentatLe ministère bulgare des affaires étrangères a rejeté une déclaration publiée par Qaedat al-Jihad, dans lequel le soi-disant groupe terroriste prend la responsabilité de l'attaque terroriste contre des touristes israéliens à Bourgas. La Bulgarie s'aligne donc avec les estimations israéliennes et américaines disant que l'attaque a été menée par le Hezbollah, et non par une filiale du Djihad Mondial. L'attaque a coûté la vie à cinq israéliens et un chauffeur de bus bulgare, et a fait des dizaines de blessés. Le ministère a également confirmé que la police locale est à la recherche d'un second suspect qui pourrait avoir été impliqué dans la planification de l'attaque. Dans un communiqué publié dans les medias occidentaux, Qaedat al-Jihad a menacé de mener d'autres attaques. "Le mois de ramadan est un mois de guerre sainte et de mort pour Allah. Il s'agit d'un mois pour la lutte contre les ennemis d'Allah et son messager, les juifs et leurs amis américains." La déclaration dit : "un de nous groupes aidé par Allah a réussi à exploser un bus plein de touristes juifs, pillards des terres saintes, après un suivi rigoureux." "La guerre sainte ne se limite par a une zone en particulier et nous allons combattre les juifs et les américains jusqu'à ce qu'ils quittent la terre d'Islam." Vendredi, le Pentagone a fait l'écho de la théorie israélienne disant que l'attentat suicide portait la marque du Hezbollah soutenu par l'Iran. "L'attaque contre un bus transportant des israéliens dans un aéroport bulgare porte la marque du Hezbollah," a déclaré George Little, un porte-parole du Pentagone. Le ministre bulgare de l'intérieur, Tsvetan Tsvetanov, a déclaré que le terroriste était un ressortissant étranger qui était en Bulgarie depuis dimanche au moins. Les explosifs ont été placés à l'intérieur de son sac à dos et ont explosé dans le cœur du bus. Samedi, le journal koweitien al-Anbaa a rapporté que des sources diplomatiques ont dit craindre qu'Israël lance une action militaire contre le Hezbollah et l'Iran. Les sources ont indiqué qu'Israël est à la recherche d'un prétexte pour frapper. Toutefois, les responsables du Hezbollah ont exclu cette possibilité en grande partie à cause des conséquences possibles pour l'économie mondiale. Néanmoins, ils ont dit des préparatifs devaient être faits pour faire face à toutes les options. Articles connexes
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Il est certes nécessaire d’« historiciser la Shoah » comme nous y invite Georges Bensoussan[1]. A l’heure du négationnisme, il convient d’entrer résolument dans les faits, faire l’étude précise et rigoureuse du génocide, d’analyser l’antisémitisme, de s’intéresser aux victimes, mais aussi aux bourreaux, de s’efforcer de comprendre la société allemande dans laquelle est né le projet exterminationniste et la société française qui a puissamment contribué et à l’arrestation, à la livraison des Juifs, et parfois à leur sauvetage. Cela implique de ne pas se cantonner au « lamento moraliste du "plus jamais ça" », à la leçon de morale inopérante[2] .
Mais plus l’on se penche sur l’extermination des Juifs durant la Seconde guerre mondiale, moins on la comprend, au sens ou « comprendre, c’est presque justifier »[3] . En classe, nous pouvons en décrire le mécanisme, nous savons montrer des enchaînements de faits et d’idées, nous précisons les chiffres, nous localisons mieux. Mais pouvons nous comprendre ce qui s’est passé ? Il me semble qu’aucune école historique, aucun système philosophique, ne parvient à expliquer complètement la Shoah. Les religions paraissent particulièrement démunies sur cette question . Je n’irai pas jusqu’à rejoindre complètement Claude Lanzmann, pour qui chercher à comprendre serait une sorte de profanation, une absolution indécente du crime unique, par la désacralisation de la causalité[4] , mais il faut dire l’insuffisance de la seule démarche historique : travailler sur la Shoah conduit parfois à rester là, les bras ballants, devant l’horreur ordinaire de nos découvertes…
L’Islam court à son malheur terrestre pour son salut éternel
Jamais, si l’on en suit ses propres prophéties, l’Islam ne récupérera Jérusalem. Toute leur foi, leur obstination se concentre sur cette ville : «Elle est terre d’Islam. Nous en chasserons les infidèles. » Voici une preuve de cette détermination. Il s’agit d’une fatwa* (décision religieuse) du Mufti de Jérusalem le Sheikh Ikrama Sabri concernant le Mur Occidental, le dernier vestige du Temple détruit par Titus [24] (Kotel hama’aravi, encore appelé Mur des Lamentations,).[25]
«La question du Mur "Al-Bouraq" a été soulevée. Mais selon le droit international, il s'agit d'un patrimoine islamique consacré, puisque le Mur "Al-Bouraq" fait partie de la muraille de la Mosquée Al-Aqsa. Qui plus est, c'est le Prophète Mohammed lui même qui l'a sanctifié lorsqu'il y attacha (la jument) Al-Bouraq, qui l'avait transporté sur son dos de La Mecque* à Jérusalem, dans la nuit du Mi'raj (ascension au ciel de Mohamed, selon la tradition musulmane). C’est pourquoi nous décrétons que ce Mur appartient à l'Islam et n'a rien à voir avec les Juifs. Concernant ce qui a été publié dernièrement sur la chute de quelques pierres du mur et l'intention qu’ont les Juifs de le réparer, nous affirmons que le ravalement de ce Mur relève de l'autorité de l'Administration des Biens islamiques (Waqf) et qu’il est interdit a