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Israël : Défense au Moyen-Orient

Obama : "l'arme chimique modifierait l'équation syrienne"

Obama : "l'arme chimique modifierait l'équation syrienne" - © Juif.org

Le président américain Barack Hussein Obama a mis en garde lundi le dictateur syrien Bachar al-Assad que l'utilisation ou le déploiement d'armes chimiques ou biologiques dans son pays en conflit serait une ligne rouge pour les Etats-Unis.

Obama a fait une apparition surprise dans la salle de briefing de la Maison Blanche lundi et a déclaré que la question des armes non conventionnelles de la Syrie était une grande préoccupation pour les Etats-Unis et leur proche allié, Israël.

"Une ligne rouge est pour nous si nous voyons des armes chimiques en déplacement, ou utilisées. Cela changerait mon calcul," a déclaré Obama.

Obama a ajouté que les Etats-Unis envisagent la possibilité d'une intervention militaire en Syrie si des armes non conventionnelles devaient rentrer en jeu dans la guerre civile syrienne.

L'utilisation de ces armes de destruction massive, que la Syrie possède, élargirait considérablement le conflit, a-t-il noté.

"Cela ne comprend pas seulement la Syrie. Cela concernerait nos alliés dans la région, y compris Israël, et cela nous concernerait."

Obama a mis en garde Assad et "d'autres acteurs sur le terrain" que l'utilisation ou le déplacement de ces armes serait une ligne rouge qui modifierait l'équation.

Les stocks non déclarés de la Syrie en gaz Sarin, en gaz moutarde et en cyanure sont considérés comme les plus important du monde.

Les Etats-Unis et Israël, ainsi que d'autres pays occidentaux, ont peur qu'Assad commence à déplacer ses stocks. La violence croissante dans le pays a également suscité des préoccupations que des armes non conventionnelles pourraient se retrouver dans les mains du Hezbollah.

Une évaluation de la situation tenue par le Pentagone en juillet conclu que Damas est toujours en contrôle de son arsenal chimique.

Au début août, l'opposition syrienne a affirmé que les forces d'Assad ont utilisé des armes thermobariques sur les civils à Alep, dans le nord de la Syrie.

Les armes thermobariques explosent au-dessus d'une zone cible dans une explosion massive et aspirent l'air, laissant un vide. Quand une telle arme est déclenchée, elle produit une onde de choc d'une durée beaucoup plus longue, ce qui maximise les dommages et les pertes.

On présume que Damas a acquis ces armes de la Russie.

22 commentaires
Pas seulement Assad, je pense que pas mal de pays pensent la même chose, car il y a pas mal de" brutus" dans l'air.
Envoyé par Julia - le Mercredi 15 Août 2012 à 12:49
Assad est moins dangereuse pour israel que les terroristes qui lutte contre sont régime.
nous devant rester prudent
Envoyé par David_292 - le Mercredi 15 Août 2012 à 13:58

Quand on vide la cervelle des gens dès leur jeune âge , ( nazisme , fascisme , communisme , islamisme , sectes etc.. ), on ne peut que s'attendre au pire ; c'est assez effrayant ; C'est ce qui peut se produire avec les chutes successives des mains de fer de ces pays
Quand même la question est : Ensuite , à qui profiterait le crime ?
( la même histoire éternelle : Profiter du désarrois , social ou existentiel des gens , et les endoctriner pour accéder au pouvoir , régression et encore plus d'obscurantisme )
Quand le couvercle de la plus mauvaise des marmites islamiste s'ouvre , c'est encore pire ;
il n'est pas encore visible de dire ce que sera la Libye , l'Egypte , la Syrie , l'Afghanistan , le Maghreb etc. demain ;
Les vainqueurs imposeront leur lois , et les frustrés se retourneront contre l'occident , manipulés comme toujours ;
Tourne , manège ..;
Envoyé par Claire_021 - le Mercredi 15 Août 2012 à 15:55
Heureusement que nous n avons point rendu le Golan
Envoyé par Danielle_037 - le Mercredi 15 Août 2012 à 18:55
RIB-Les agences de presse internationales ont rapporté dans leurs dépêches leur couverture de la visite du ministre de la Guerre israélien Ehud Barak à Washington au début de la semaine dernière que «le programme nucléaire iranien» était en tête de la liste des dossiers traités par les pourparlers avec les hauts responsables américains.

Cela signifie que la question du progrès nucléaire de l'Iran avait la priorité sur les autres thèmes régionaux, notamment la situation en Syrie, l’aide américaine à Israël pour financer le système d’anti-roquettes «Iron Dome» , sans oublier aussi l'enflammation soudaine de la question des îles d'Abou Moussa, dont la propriété est contestée entre l'Iran et les Emirats Arabes Unis, et l’éventualité que d'autres conflits s’enflamment entre ces deux pays sur les deux autres îles.
Barak a donc tenu à souligner l'argument sans cesse soulevé par Israël que l'Iran continue à développer ses capacités nucléaires. Il n’a accordé aucune attention aux différences d'estimations entre les Américais et les Israéliens. Il a même fait sienne l'opinion des États-Unis, soulignant qu’il n’y a aucune différence entre les États-Unis et Israël à l'encontre du dossier nucléaire iranien.
Il était clair qu’Israël veillait avec le plus grand soin à réaliser des résultats bien précis de la visite de Barak:
Premièrement: amortir les résultats des pourparlers qui ont eu lieu à Ankara entre l'Iran d'une part, et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité plus l'Allemagne. Sachant que leurs résultats ne concordent pas avec les velléités israéliennes politiques car ils ont réalisé un certain degré de compréhension entre les différentes parties et ont rendu possible l’éventualité d’un accord sur un second tour à Bagdad le 23 mai prochain. Cela ne signifie pas qu’il y a un manque de coordination entre les deux administrations étasunienne et israélienne. Les Etats-Unis n’ont cessé de montrer des signes qui mettent en valeur leur accord avec Israël au détriment de ce qui a été réalisé dans les négociations à Ankara.
Deuxièmement: afficher une coordination le plus franchement entre les États-Unis et Israël en ce qui concerne l’échauffement du «front» entre l'Iran et les Etats du Golfe persique, et qui a commencé par le litige qui vient d’éclater soudainement entre les Émirats arabes unis et l'Iran
Envoyé par Roland_017 - le Mercredi 15 Août 2012 à 19:13
Les salafistes politiques pensent qu'il faut défendre l'identité musulmane en France et en Europe par des moyens légaux. Pour eux également, la violence armée ne doit pas être légitimée dans le cadre occidental. Enfin, les salafistes de type révolutionnaire sont des adeptes des moyens violents, et considèrent le Jihad (guerre sainte, ndlr) comme une obligation religieuse.

TF1 News : Combien y a-t-il de salafistes en France ? Qui sont les adeptes ?
S.A. : Selon le ministère de l'Intérieur, ils sont entre 12.000 et 15.000. A noter qu'ils sont ultra-majoritairement piétistes. Les politiques sont minoritaires et les révolutionnaires ultra-minoritaires. Les adeptes sont essentiellement issus de l'immigration musulmane avec une forte proportion de convertis à l'islam (entre un quart et un tiers).

TF1 News : Vous parlez d'une dynamique favorable en France pour le salafisme...
S.A. : Tout à fait. Elle s'explique d'une part par la multiplication des chaînes satellitaires d'obédience salafiste dans le monde arabe et qui touche également les foyers musulmans en Europe, et donc en France. Elles véhiculent cette lecture salafiste de l'islam. Il y a aussi une littérature très importante émanant des théologiens d'Arabie Saoudite. Leurs livres sont traduits dans de nombreuses langues. Troisième raison : le salafisme tel qu'il est prôné en France et en Europe correspond parfaitement aux aspirations des jeunes issus des quartiers populaires.

TF1 News : C'est-à-dire ?
S.A. : C'est un islam qui donne un sens à la vie et qui, quelque part, est en phase avec les inspirations "mondaines" de ces jeunes. Le salafisme prône un invidualisme religieux très fort. Ce qui compte, c'est vous et votre foi. Le groupe ne compte pas, la communauté non plus. Le plus important est de sauver votre peau. Les projets politiques et sociaux n'intéressent pas beaucoup les salafistes piétistes. Le salafisme piétiste autorise par ailleurs un rapport au monde très consumériste. Ainsi, il n'est pas interdit de porter des baskets Nike, d'avoir un bel ordinateur, une belle maison. A partir, bien sûr, du moment où ces achats se font en respectant une éthique musulmane.

*Samir Amghar est sociologue spécialiste du salafisme. Il est notamment l'auteur de Le salafisme d'aujourd'hui. Mouvements sectaires en Occident, (éd Michalon).
Envoyé par Roland_017 - le Mercredi 15 Août 2012 à 19:52
OUF OUF voila la nouvelle que nous attendions, les Américains sont dans la partie, Iils dévoilent un plan précis avec des actions à mener sans le concours de personne pour règler le problème du chimique Syrien. Reste le gros morceau de l'Iran, mais visiblement le déroulement des évenements n'est pas en faveur des Iraniens.
Même si nos poitrines sont gonflées de l'héroisme de Tsahal cette situation ne peut être résolue par Israêl seule et les Américains le savent bien. Respiration.
Envoyé par Georges_062 - le Jeudi 23 Août 2012 à 11:42
Assad et les barbus c'est chou vert et vert chou,le massacre syrien en est la preuve,c'est héréditaire,ça lui vient de son père.Alors pas de quartiers,les américains n'ont qu'a détruire les stocks d'armes chimiques sans plus attendre,au moins ce sera une action honorable.
Envoyé par Guillaume_006 - le Vendredi 24 Août 2012 à 08:45
"OUF OUF voila la nouvelle que nous attendions, les Américains sont dans la partie..."
Envoyé par Georges_062 - le Jeudi 23 Août 2012 à 11:42

Wait and see...
Tout ceci n'est que manipulation d'Obama avant les élections.
Envoyé par Alain_028 - le Vendredi 24 Août 2012 à 12:03
Asaad ou les rebelles, les deux massacres la population civil, c'est une crime contre humanité.
mais Asaad est mieux pour israel il nous apporte la paix dans le Golan.
shalom


Envoyé par David_292 - le Vendredi 24 Août 2012 à 12:54
Membre Juif.org





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