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Israël : Défense au Moyen-OrientL'opération dans le Sinaï est coordonnée avec Israël, selon une source égyptienneUne source militaire égyptienne a rejeté ce qu'il appelle "le bruit qui sort des medias israéliens" sur le déploiement des troupes égyptiennes dans le Sinaï au-delà des limites prévues par les accords de paix de 1979. La source, qui a parlé au journal égyptien Al-Ahram sous couvert d'anonymat, a affirmé que les plaintes formulées dans la presse israélienne font partie d'une campagne de propagande anti-égyptienne qui est orchestrée pour intimider le président Mohamed Morsi. Plus tôt cette semaine, il a été signalé que l'Egypte avait déployé des missiles antiaériens et anti-chars près de la frontière israélienne dans le Sinaï égyptien, sans la permission d'Israël. Un tel équipement est interdit dans le Sinaï par le traité de paix israélo-égyptien, qui stipule que le renforcement de la présence militaire égyptienne ne peut se faire qu'avec le consentement d'Israël. L'Egypte a lancé une offensive contre le terrorisme dans le Sinaï ces derniers jours, en réponse à l'attaque terroriste près de la frontière avec Israël la semaine dernière dans laquelle 16 gardes-frontières égyptiens ont été tués. L'opération, selon le porte-parole du président, Yasser Ali, s'inscrit dans le cadre de la "souveraineté de l'Egypte sur le Sinaï, tout le Sinaï." La source militaire a déclaré au journal que l'opération est "bien coordonnée avec les américains et les israéliens." "Le fait que le contact entre les deux parties n'est pas porté à la connaissance de la presse ne signifie pas qu'il n'existe pas, en fait, il va au-delà du simple échange d'informations et comprend des efforts de coordination," a dit la source. Il a ajouté que ces réunions se déroulent entre des officiers sur une base quotidienne et "comprennent parfois des membres de haut rang, dont le ministre de la défense El-Sisi et son assistant, le général El-Assar." Mardi, le site internet du quotidien israélien Maariv a rapporté que le premier ministre Benyamin Netanyahou a exigé que l'Egypte cesse d'envoyer des chars dans le Sinaï sans l'accord d'Israël. Un porte-parole du bureau du premier ministre n'a pas voulu commenter ces informations. Un responsable israélien, parlant sous couvert d'anonymat, a confirmé mardi au New York Times qu'Israël est "troublé" par l'entrée des chars égyptiens dans le nord de la péninsule du Sinaï sans coordination avec Israël, et a demandé à l'Egypte de les retirer. La demande israélienne a été transmise ces derniers jours, a indiqué le responsable, ajoutant qu'il est probable que l'administration Obama avait fait une approche similaire au Caire. Articles connexes
95 commentaires
| Membre Juif.org
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le gouvernement devait être prudents maintenant après c'est déjà trop tarde.
shalom
Comprend tu Morsi, ton matériel doit rester au garage, ou alors surveille les tunnels, la ta du boulot pour plusieurs mois.
Attention , nous Israeliens nous allons te monter le chemin du retour à la caserne.
Depuis bientôt quatre ans, un lucratif trafic d’êtres humains sévit dans la péninsule du Sinaï. Redoutablement organisé, ce sinistre "commerce" frappe le plus souvent les migrants venus du Soudan, d’Éthiopie ou d’Érythrée, qui tentent de rejoindre Israël par ce petit bout d’Égypte.
Kidnappées au cours de leur périple ou vendues par des passeurs véreux, les victimes n’ont pas d’autre choix que de payer si elles veulent s’en sortir.
"Reclus dans de véritables camps de torture, les "prisonniers" sont enchaînés les uns aux autres et entassés dans des salles où ils sont parfois soixante-dix", explique Meron Estefanos, cofondatrice du Mouvement érythréen pour la démocratie et les droits de l’homme (EMDHR), basé en Suède.
"Toutes les heures, ils sont torturés, poursuit-elle.
Électrocutés, brûlés, violés ou forcés de se violer entre eux sous peine d’exécution immédiate, ils doivent téléphoner à leurs proches entre chaque session afin d’implorer de l’argent."
Souvent, les proches des victimes sont contactés pendant les séances par les tortionnaires afin de leur infliger le maximum de pression.
"Comme ce sont généralement des gens très pauvres, qui ne peuvent réunir les sommes exorbitantes qui leur sont demandées - jusqu’à 40 000 euros -, beaucoup meurent et leurs organes sont revendus", raconte Meron Estefanos.
Passeurs véreux
Pour cette activiste, qui a interviewé des dizaines de rescapés, la complicité de certaines instances ne fait aucun doute : "Ce trafic est trop bien organisé pour ne pas bénéficier du soutien d’autorités corrompues. Au Soudan par exemple, la plupart des gens que nous avons interviewés ont été kidnappés par des soldats qui étaient censés les conduire dans des camps de réfugiés. Au lieu de cela, ils les ont vendus aux Bédouins !" s’offusque-t-elle.
Des pratiques motivées par l’appât du gain : selon l’EMDHR, les "fournisseurs" toucheraient entre 200 et 2 000 euros par personne...
Une source de revenus qui n’est pas près de tarir en raison du flux de migrants fuyant la misère et les conflits dans la Corne de l’Afrique. "Il y a encore une dizaine d’années, explique Meron Estefanos, les migrants venant d’Érythrée, d’Éthiopie ou du Soudan passaient par la Libye pour se rendre en Europe.
Mais en 2006, l’Union européenne a durci sa politique migratoire, les contraignant à se tourner vers d’autres terres d’asile, en particulier Israël."
Si, à l’époque, Israël était considéré comme une destination sûre et moins onéreuse pour les migrants - environ 400 euros de frais de passeur -, leur afflux dans le Sinaï a rapidement suscité la convoitise des trafiquants.
"Lors des premiers enlèvements, les gens devaient payer 2 000 euros s’ils ne voulaient pas être torturés à mort. Aujourd’hui, il faut 40 000 euros pour ne pas mourir !" détaille la fondatrice d’EMDHR.
Impunité
Territoire égyptien, cette zone de 60 000 km2 est dans les faits contrôlée par des tribus bédouines ou des chefs religieux qui y font régner leur loi.
Si le dénominateur commun de ces clans est de gagner de l’argent, leurs objectifs ne sont pas homogènes.
Pour certains, ces fonds serviront à financer des groupes terroristes et islamistes ou en faveur de l’indépendance du Sinaï.
"La péninsule, et en particulier le Nord, est depuis longtemps une plaque tournante pour toutes sortes de trafics", explique le père Mussie Zerai, président d’Habeshia, une organisation humanitaire dont l’objectif est de sensibiliser la communauté internationale sur les atteintes aux droits de l’homme.
"Le fait qu’il s’agisse d’une zone difficile à contrôler a permis pendant des années à une quinzaine de clans de se partager la contrebande d’armes ou de drogues", continue-t-il.
Lourdement armés et organisés pour survivre en milieu hostile, ces derniers possèdent l’avantage du terrain, ce qui rend toute intervention complexe.
Nouvelle dimension de ce juteux trafic, la traite d’êtres humains dans le Sinaï a longtemps été niée par le président Moubarak.
La révolution égyptienne et le vide politique qui s’est ensuivi n’ont pas arrangé les choses : en détournant l’attention de leurs activités, le bouleversement politique a permis aux groupes armés de faire preuve de plus d’audace.
"Aujourd’hui, ils attaquent même les camps de réfugiés et les postes de police pour se fournir en prisonniers et en armes !" s’emporte le père Zerai.
Par ailleurs, la démilitarisation du territoire, prévue par les accords de Camp David de 1979 entre Israël et l’Égypte, limite les incursions de l’armée et permet aux trafiquants d’agir sans être trop inquiétés.
"Le monde entier regarde ce qui se passe sans agir, car chacun se renvoie la balle pour ce problème, soupire Meron Estefanos. Cela laisse peu d’espoir aux personnes qui sont encore détenues à l’instant même où nous nous parlons..."
Marie de Douhat/Le Point.fr
09:45 (Il y a 7 heures)
à moi
Israel rencontre les mêmes problèmes que beaucoup de pays, et en mineur:
- préoccupation pour l'éducation des jeunes qui évoluent dans le monde en changement, en propositions mauvaises, en violence.
- quelques écarts isolés de violence envers des non-Juifs que les hyper-extrémistes de gauche, s'alliant immédiatement aux ennemis montent en épingle alors qu'ils ne disent rien contre les attaques terroristes, les tirs de rockets ni rien des aides considérables d'Israël aux Palestiniens des territoires qui leur ont été cédés.
- problème posés par les milliers de travailleurs illégaux entrés en Israël.
- tous les problèmes économiques suscités par la nécessité de réviser les budgets nationaux.
Mais, en plus Israel a d'autres soucis:
- les bandes terroristes qui tournent dans le Sinaï égyptien. La coordination contre cela avec le nouveau régime égyptien dirigé par Mohamed Morsi, chef des islamistes extrémistes, est une grande préoccupation. Ce dernier a fait des déclarations encourageantes sur le respect des accords de paix et il laisse planer l'incertitude sur la décision d'accepter ou non l'invitation qu'il a reçue de venir en Israël. Et on ne peut oublier quels étaient les déclarations pendant sa campagne électorale.