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Israël : Défense au Moyen-OrientISRAËL : Nucléaire iranien : Israël tente de faire pression sur les États-UnisDans un discours aux accent belliqueux, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a demandé aux États-Unis de fixer une "ligne rouge" à Téhéran pour l'empêcher de se doter de l'arme nucléaire. Ce qui n'a pas manqué d'agacer Washington.
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68 commentaires
| Membre Juif.org
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" C'est semblable avec ce qui s'est passé avec Saddam Hussein en Iran. "Hussein était accusé par les Etats-Unis d'amasser des armes de destruction massive, mais à ce jour aucune de ces armes n'a été trouvée." Une remarque ridicule de la part d'un iranien quand on se souvient de l'attaque irakienne aux armes chimiques contre le village kurde d'Halabja qui a fait plus de 15 000 morts parmi la population civile. Des troupes iraniennes étaient également impliquées dans ce massacre...
du bla bla ...
menteurs ... cette déclaration cache quoi ?
était-ce difficile à saddam hussein de transférer les armes de destructions massives par la jordanie , pour les mettre ensuite en sécurité en syrie ?
entre nous ceci explique cela ... la syrie possède des ADM ... et elle veut les mettre à la disposition de nasrallah ... autrement dit , comment expliquer la possession par la syrie de ces ADM ?
quel a été , à travers tout ce méli mélo , le rôle principal de la russie en iran concernant justement le programme nucléaire iranien , et pourquoi ce travail de sape de la russie , alors qu ' elle a un rôle très important au proche et moyen orient , que ce soit en iran--bien ...pardon très très bien installée en iran , et en syrie...également très très bien installée dans le port syrien de tartour ... port syrien transformé en base militaire pour la marine militaire russe , aux yeux et à la barbe du monde occidental ... sans oublier l ' installation de la marine russe !
Une part de tes informations sont fausses, je me tairais sur leur nature, mais il faut revoir ta copie
Je suis pas trop mal placé pour le savoir
Je ne crois pas Israël si faible et impuissant face à ces voyous musulmans de l'Iran!!!
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vendredi 21 septembre 2012, par Pasdaran
Le secret, si bien gardé, a été éventé forçant l’Iran à admettre officiellement que des troupes iraniennes sont installées aussi bien en Syrie qu’au Liban.
Le général Mohammad Ali Jafari, commandant en chef des gardiens de la révolution, a admis que l’Iran avait envoyé en Syrie des "pasdarans" pour aider le régime de Bassar Al-Assad à combattre la rébellion.
Conseillers occultes
Pasdarans iraniens
Mais le général a qualifié les membres de la Force al-Qods, présents en Syrie et au Liban, de conseillers : « cela ne veut pas dire que nous y avons une présence militaire.
Général Ali Jafari
Nous fournissons des conseils et des avis, et les faisons bénéficier de notre expérience.
Nous sommes fiers de défendre la Syrie qui est un élément de la résistance contre Israël ».
C’est la première fois que l’Iran confirme la présence d’éléments de la force al-Qods, faisant partie des gardiens de la révolution, corps d’élite chargé des opérations extérieures.
Ces « conseillers » gangrènent déjà sournoisement plusieurs pays du Moyen-Orient.
La présence des pasdarans avait été révélée lorsque les rebelles syriens avaient capturé 48 iraniens que Téhéran avait qualifiés de pèlerins ou de militaires à la retraite.
Général Yahya Safavi
Les États-Unis avaient préféré fermer les yeux sur l’ingérence iranienne dans le conflit syrien sans ignorer le risque d’un réveil du Hezbollah qui pourrait investir ses militants dans une attaque contre Israël aux seules fins d’aider Téhéran à assurer sa mainmise sur la région.
L’adjoint au chef d’État-Major iranien, le général Yahya Safavi, avait clairement affirmé que « le Liban et la Syrie constituent le noyau de la défense stratégique de l’Iran » et que le Hezbollah « ripostera si Israël attaque la République islamique ».
Conflit libano-israélien
Milice du Hezbollah
Ainsi il est clairement établi que les armes de la milice islamiste n’ont pas pour vocation de défendre le Liban, ni à la rigueur la Palestine, mais plutôt de servir la stratégie de agressive de l’Iran.
Il est difficile de comprendre pourquoi le Liban, qui n’a pas de contentieux avec Israël, accepte de devenir un champ de bataille pour armées étrangères avec le risque de subir la destruction de ses installations industrielles et commerciales.
Il a été le seul pays à réussir l’intégration multiculturelle de ses habitants et à permettre à des musulmans et à des chrétiens à gouverner ensemble.
Son intérêt à devenir le porte-drapeau d’une cause qui lui est étrangère n’est pas partagé par les occidentaux d’autant plus qu’il ne peut en subir que des déboires.
L’idéologie du Liban qui se voulait une petite Suisse avec ses banques et son commerce international a été pervertie au profit du dogme islamiste qui s’oppose à la liberté et au modernisme qui avaient fait la marque de fabrique du pays du cèdre.
Le président libanais a intégré l’idée qu’il pourrait mettre son armée légale sous commandement du Hezbollah, mieux armé et mieux structuré mais surtout omnipuissant.
Son gouvernement feint d’ignorer que l’arsenal du Hezbollah représente en fait une partie de l’arsenal iranien stocké entre de bonnes mains islamistes dans une région qui attend la déflagration.
Président Sleiman avec Khameneï
Pourtant le risque est grand de voir le Liban impliqué dans un conflit avec Israël par le seul fait que le Hezbollah réagirait militairement à toute attaque contre les installations nucléaires iraniennes.
Le Hezbollah aux frontières était déjà un sujet de conflit avec le Liban mais la présence officielles des pasdarans risque d’être un casus belli avec Israël. L’Iran, qui s’implique de plus en plus en Syrie et au Liban, pourrait être tenté de se protéger contre une attaque israélienne en favorisant le transfert d’armes chimiques au Hezbollah pour créer le désordre dans la région.
Mais dans ce cas, l’idée de bombardement des bases du Hezbollah par une force conjointe occidentale n’est pas exclue s’il fallait se protéger des armes chimiques qui tomberaient entre les mains de la milice.
Ces évènements pourraient rapprocher dans un combat commun les puissances occidentales auxquelles se joindraient Israël, la Turquie et la Jordanie.
La conscience de cette menace a sensibilisé les États-Unis qui ont divulgué que l’arsenal chimique de la Syrie était plus grand et plus largement dispersé.
Benny Gantz et Netanyahou
L’État-major israélien est convaincu à présent que le danger viendrait du nord car au sud, le Hamas suit à la lettre les instructions de l’égyptien Morsi qui le presse d’orienter son action sur les problèmes économiques et qui a rompu définitivement avec la Syrie.
Jacques Benillouche/ Temps et Contretemps
2> faisons confiance au serel juif
3>faisons confiance en D.
4>nous devons nous debarrasser de ces islamonazis
Dany de Carmiel
A MEDITER A LA VEILLE DES FETES DE YOM KIPPOUR
A MEDITER A LA VEILLE DES FETES DE YOM KIPPOUR