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Israël : Défense au Moyen-OrientLe Dôme de Fer amélioré pour répondre à la menace des missiles iraniensLe ministère de la défense a officiellement annoncé dimanche qu'une série de test sur le système de défense anti-missile Dôme de Fer a été achevée avec succès, lors d'une étape importante de l'armée israélienne pour améliorer le système. Suite aux essais, les forces de Tsahal feront l'acquisition d'une nouvelle batterie du Dôme de Fer, qui arrivera avec des capacités améliorées. La nouvelle batterie, qui sera la cinquième déployée en Israël, sera bientôt transférée à la force aérienne israélienne. La série de tests a été conçue pour élargie les activités du système Dôme de Fer et améliorer ses capacités contre une variété de menaces sans précédent. L'avancement du système lui permettra de faire face aux menaces posées par les missiles iraniens Fajr et Zelzal. Les tests ont été effectués par le personnel de l'administration du ministère de la défense pour le développement des armes et de l'infrastructure technologique. Ils ont testé les mises à niveau, et notamment les améliorations du système radar, qui devraient lui permettre de fonctionner plus rapidement et en douceur et faire face ont des menaces plus larges que par le passé. "C'est un nouveau coup d'éclat pour ceux qui sont impliqués dans l'amélioration des capacités du système," a déclaré le ministre de la défense Ehoud Barak. "L'establishment de la défense investit des sommes importantes dans le système de défense anti-missile multicouches, qui est prévu pour protéger l'ensemble du territoire de l'état d'Israël. La réussite de ces tests est une étape importante vers la réalisation de ce système de défense, et dans l'avenir, il faudra allouer des ressources supplémentaires pour cette question." Articles connexes
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Les Lembas sont entre 50 et 70 000, et ils vivent au nord de Johannesburg ainsi qu'au Zimbabwe. Rien ne les distingue des multiples tribus des parages, sauf ceci : ils seraient juifs, ou du moins se revendiquent comme tels, quantité de mythes, et de rites, à l'appui.
À vrai dire, cette revendication n'est pas évidente. Les Lembas sont noirs comme le jais, ils parlent un dialecte bantou, et la plupart d'entre eux sont chrétiens. Mais, dans leur mythologie, ils descendent d'une tribu juive réfugiée au Yémen vers 2500 avant J.-C., dans la ville de Sena, puis chassée vers l'Afrique il y a un millier d'années, qui a par la suite lentement dérivé vers le sud du continent.
Et de fait, si l'on y regarde de plus près, on découvre dans les coutumes et croyances lembas certains parallèles saisissants avec le judaïsme. À commencer par le monothéisme (leur Tout-Puissant s'appelle N'Wali). Mais aussi la circoncision masculine, le rite fondamental des Lembas, et qu'ils auraient eux-mêmes diffusée dans tout le sud de l'Afrique au cours de leur long périple. Les gens de ce peuple prêtent également une grande attention aux interdits alimentaires, et pratiquent une forme très exigeante de Kasherout, mais adaptée aux circonstances locales : rhinocéros oui, hippopotame non, crocodile en débat (des écailles, certes, mais est-ce vraiment un poisson ?).
Ils prohibent aussi formellement le porc (et les phacochères), ne mélangent pas le lait et la viande, vénèrent un livre sacré (qui a disparu au cours de leurs pérégrinations), et leurs rituels accordent une place prédominante à un tambour sacré, considéré par les spécialistes comme un substitut à l'Arche d'Alliance. Les Lembas se considèrent enfin comme les Elus, tandis qu'à leurs yeux tous les autres peuples ne sont que des « vhazendzhi », en quelque sorte des Gentils.
Jusqu'à peu, personne n'avait jamais vraiment pris ces allégations au sérieux, notamment en Israël. Mais un anthropologue anglais, le professeur Parfitt, a poussé l'enquête, et fait une découverte intéressante : il existe bien au Yémen une ville qui s'appelle Sena, et beaucoup de familles y portent des noms identiques à ceux des clans lembas. Mieux encore : un expert oxfordien de la génétique des populations, le docteur Goldstein, a pu établir qu'une forte proportion de Lembas portaient en eux la « signature génétique Cohen », un marqueur très présent dans la caste des prêtres descendants d'Aaron.
Donc, non seulement les Lembas sont bel et bien juifs, mais ils affichent en plus un pedigree particulièrement impressionnant. Depuis cette découverte, des subventions ont été envoyées d'Israël pour construire des synagogues.
by Martine Sroussi · septembre 12, 2010
Divré Thora pour l’élévation de l’âme de MICHAEL YEHIEL BEN MYRIAM SARAH
Le seul Juif qui ait reçu la couronne de la prêtrise lors de la sortie d’Egypte fut Aharon, le frère de Moïse, de la tribu de Lévi. Tous les autres membres de cette tribu, à commencer par Moïse lui-même, sont restés Lévi et n’ont jamais reçu le titre de Cohen (prêtre).
Lors de la nomination d’Aharon au poste de grand prêtre (Cohen Gadol), il fut clairement spécifié que la prêtrise passerait de père en fils ; c’est donc la raison pour laquelle ses fils, ses petits-fils, ses arrières petits-fils ainsi que tous ses descendants officiaient dans le Temple, élevaient leurs mains pour bénir le peuple lors de la bénédiction des Cohanim et recevaient les cadeaux dus aux prêtres…(Voir Lévitique 8,21 ainsi que de nombreux autres versets sur le sujet).
La raison pour laquelle la prêtrise passe uniquement par les garçons est d’ordre spirituel dans son essence, à l’image de l’ensemble des commandements de la Torah.
Cependant, une fois de plus, il est prodigieux de constater que cette loi de nature si spirituelle, s’exprime aussi dans la réalité concrète et matérielle.
En effet, une enquête menée par une équipe internationale de chercheurs a suscité l’étonnement, pour ne pas dire l’émerveillement, de la communauté des chercheurs en génétique.
L’équipe a été dirigée par le Pr Karl Skorecki (http://www.rambam.org.il/Home+Page/Biosketch/O+T/Skorecki+Karl.htm), le directeur du laboratoire de néphrologie et de médecine moléculaire de la faculté de médecine du Technion (Haïfa – Israël) et directeur du département de néphrologie du centre médical Rambam (Haïfa) ; elle comprenait en outre quelques uns des meilleurs chercheurs en génétique, comme les docteurs David Goldstein et Neil Bradman de University college of London.
Le rapport de ces travaux a été publié dans les revues Discovery (« Y chromosomes of Jewish priests », 24 Avril 1997) et Science News (3 Octobre 1997).
Les données de cette enquête, qui a duré plusieurs années, concernent les Cohen de plusieurs communautés : anglais, français, tunisiens, canadiens, russes…
Elles mettent en évidence une « présence de gênes communs dans leur ADN plus importante que dans tout autre groupe de population ». Il s’avère que 80% d’entre eux sont porteurs de signes génétiques communs là où 20% seulement des Juifs qui ne sont pas Cohen présentent cette caractéristique ainsi que seulement 5% des non-Juifs.
D’après les chercheurs qui ont participé à cette enquête, la présence massive de ces signes génétiques constitue en soi un témoignage certain de l’appartenance de cette population à une même famille descendant d’un homme unique qui en fut le premier père. Ce dernier a vécu avant que le peuple Juif ne se divise en communautés Ashkénazes et Sépharades, ce phénomène étant apparu depuis moins de 1000 ans.
De plus, on constate que ces signes génétiques ne passent que de père en fils puisqu’on ne les retrouve que dans les chromosomes Y, et non de père en fille. Seuls les descendants mâles de la famille porteront les signes de leur appartenance à la famille des Cohen !
Comme si cela ne suffisait pas, les chercheurs de l’équipe ont réussi à compter, grâce à certaines données, le nombre de générations qui sépare les Cohen du 21ème siècle du premier père de la famille : 106 générations sont passées depuis le grand prêtre Aharon, le frère de Moïse.
En comptant une moyenne de 30 ans par génération, on arrive à une période de 3180 années. Ce chiffre (30 ans/génération) n’est pas arbitraire puisque certains Cohanim naîtront lorsque leur père aura 20 ans tandis que le petit frère naîtra lorsque leur père aura atteint l’âge de 40 ans.
La moyenne, faiblement aléatoire, nous amènerait donc à considérer qu’une génération correspondrait à une période de 30 ans.
Or Aharon a vécu à l’époque de la sortie d’Egypte qui s’est produite il y a 3300 ans !
La concordance entre l’enquête scientifique et l’histoire du peuple Juif est dans ce cas d’une grande exactitude puisqu’elles se rejoignent sur la période durant laquelle Aharon a vécu et exercé les fonctions de grand prêtre. En tenant compte de l’inévitable variation des dates de naissance (l’écart entre chaque génération serait donc de plus ou moins 30 ans dans chaque famille), on pourra ajouter quelques années, ce qui nous rapprocherait encore plus de l’époque où Aharon a exercé ses fonctions.
Le Dr Avraham Amar de l’hôpital Hadassa-Ein Karem à Jérusalem a déclaré, au vu des conclusions de cette enquête :
« Celui qui se refuse à croire ce que raconte la tradition Juive est invité à s’incliner devant les preuves scientifiques de son authenticité et devant sa fiabilité car elle a été transmise avec fidélité et exactitude de génération en génération ».
De quoi donc nous faire réfléchir à tous.
Qu'ils "dégagent" et aillent faire ch....ier leurs frères. A chacun son tour de s'"infuser" ces bandes d'incapables analphabètes, vautours jaloux d'Israêl, qui ne veulent absolument aucune paix avec Israêl. Ils le hurlent assez fort autour d'eux pour être entendus par les gogos décérébrés qui les écoutent et les soutiennent, alors qu'ils sont eux-mêmes envahis. Incompréhensible une telle connerie planétaire....
AM ISRAEL HAY