|
Israël : Défense au Moyen-OrientInfiltration à Sdé Avraham : il s'agit d'un terroristeSelon les premiers éléments de l'enquête de Tsahal et du Shin Bet sur l'infiltration d'un individu lundi matin dans le moshav Sdé Avraham, dans la région d'Eshkol, il s'agit d'un terroriste venu de la Bande de Gaza pour perpétrer un attentat. Il a poignardé une femme, qui a été légèrement blessée et a tenter d'attaquer les soldats de Tsahal qui l'avait sommé de s'arrêter. Articles connexes
25 commentaires
| Membre Juif.org
1 Mai 2025 - Times of Israel
1 Mai 2025 - Kountrass
29 Avril 2025 - Le Figaro
29 Avril 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 52 minutes
La vérité est que la paix est vraisemblablement impossible avec des personnes aussi rétrograde et sanguinaires
Dieu merci Israël a un potentiel militaire capable de faire plier la planète
La conversation, qui a, finalement, fait pencher la balance dans le sens du cessez-le-feu, s’est déroulée sur une ligne sécurisée, mercredi dirigeants américain et israélien s’expliquaient.
La promesse d’Obama répondait à l’exigence la plus pressante d’Israël, pour tout forum de discussion concernant Gaza.
Le principal but de l’opération « Colonne de Nuée » consistait à provoquer un arrêt total du flux d’armes et de missiles iraniens vers la Bande de Gaza.
Ils sont transférés depuis le Soudan et la Libye, à travers le Sud jusqu’à sans succès de persuader Israël d’accepter la garantie personnelle du Président égyptien Mohamed Morsi qu’il commencerait à lancer des opérations efficaces contre les trafiquants avant la fin de ce mois.
Le trio menant la campagne de Gaza, étrangères Avigdor Lieberman, voulaient vraiment prendre Morsi au mot, sinon que les chefs de la sécurité et des renseignements israéliens leur assuraient que l’Egypte n’était pas prête d’obtenir les capacités de sécurisation et de renseignement nécessaires à mener de telles opérations.
Lorsque la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton est arrivée de Bangkok à Jérusalem, mardi, elle a, à nouveau, essayé de rassurer Netanyahou sur le fait que le Président Obama avait décidé d’accélérer la construction de barrières de sécurité dotées de systèmes électroniques américains très élaborés, tout le long du Canal de Suez et du Nord du Sinaï.
Ils couvriraient également la route Philadelphie, par laquelle les armes sont introduites dans la Bande de Gaza.
Il faudrait déployer des unités de la sécurité militaire et civile américaines dans le Sinaï égyptien pour contrôler la barrière et la rendre sufisamment opérationnelle en tant que contre-mesure active permettant de faire obstruction aux fournitures d’armes iraniennes.
Le Premier ministre a déclaré qu’il accueillait positivement la proposition du Président d’accélérer le projet de clôture électronique, mais que cela prendrait des mois, avant qu’on obtienne une autorisation égyptienne.
Pendant ce délai, les Palestiniens aurait largement le temps de reconstituer leurs stocks d’armes, affectés, à la suite de la campagne israélienne contre Gaza.
Il était, par conséquent, trop tôt pour arrêter cette campagne à ce point ou suspendre une opération terrestre.
Clinton s’est montrée sensible à cet argument.
Peu après, le Président Obama était au téléphone avec Netanyahou, lui donnant l’assurance que des troupes américaines seraient sur place dans le Sinaï, dès la semaine à venir, après l’obtention du consentement du Président Morsi, de façon à ce qu’ils puissent entrer immédiatement en action contre les réseaux clandestins iraniens.
Netanyahou a répondu en acceptant qu’un cessez-le-feu soit annoncé au Caire, cette nuit-là, par Clinton et le ministre égyptien des affaires étrangères, et qu’il suspendait la mise en mouvement des milliers de réservistes qui attendaient sur la frontière de Gaza.
Les sources militaires de Debkafile révèlent que les premiers avions de transport de troupes convoyant des forces spéciales américaines doivent atterrir sur la base aérienne militaire de Sharm el Sheikh, dans le sud du Sinaï dans les prochaines 48h (soit dimanche soir) et qu’elles entreront en action sans délai contre les trafiquants d’armes.
Cette évolution est significative sur le plan stratégique, pour trois raisons :
1. Une fois que les cargaisons d’armes et de missiles quittent les ports iraniens et les baazars et dépôts d’armes libyens, Téhéran n’a pas de contrôle direct sur leurs voies de transit, de port en port, à travers l’Egypte, jusqu’à ce qu’elles atteignent le Sinaï et leur destination à Gaza.
De la même façon, une opération des forces spéciales américaines contre le segment de route clandestin du Sinaï profitant à l’Iran compterait comme la première frappe américaine ouverte contre les intérêts militaires iraniens.
Netanyahou, Barak et Lieberman sont impressionnés par le changement que l’Administration Obama a entrepris depuis la réélection du Président.
Jusque-là, il refusait d’entendre parler d’aucune action militaire contre l’Iran et insistait sur le fait qu’on ne pouvait faire face à Téhéran que par le biais de l’arène diplomatique.
2. Le Président Morsi, en ouvrant la porte du Sinaï à un déploiement de troupes américaines se consacrant à la défense d’Israël, reconnaît que les forces américaines assurent aussi la sécurité d’Israël contre l’éventualité que le Caire cherche à révoquer ou refuse d’honorer le traité de paix que l’Egypte a signé avec Israël en 1979.
3. Face à cet accord américano-israélo-égyptien, le Hamas ne peut pas continuer, de façon crédible, à proclamer avoir « gagné » sa dernière passe d’armes contre Israël, ni qu’il a obtenu des garanties contraignant Israël à mettre un terme au blocusde Gaza.
Effectivement, les dirigeants du Hamas à Gaza seront forcés d’observer comment des troupes américaines présentes dans le Sinaï, juste de l’autre côté de leur frontière, brisent les réseaux de contrebande, qui alimentent leurs arsenaux et très probablement, qu’elles mettent la main sur les stocks de réserve qu’ils conservent sous bonne garde des trafiquants dans le Nord du Sinaï, hors de portée de l’armée israélienne.
Cela signifie que le blocus de Gaza a été renforcé et que la zone de combat s’est déplacée de Gaza vers la Péninsule du Sinaï.
Adaptation : Marc Brzustowski/Israel Magazine.co.il
Quelques jours après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre l’État hébreu et le Hamas, le 21 novembre, le Sunday Times rapporte que des satellites-espions israéliens ont repéré, la semaine dernière, alors que la trêve venait d’être conclue, un cargo en train d’être chargé de roquettes et d’armes dans le port iranien de Bandar Abbas .
INFOGRAPHIE
Il s’agirait, notamment, de roquettes Fajr-5, d’une portée de 75 kilomètres, et des composants de missile balistiques Shahab-3, croit savoir le quotidien britannique de référence. Selon ce dernier, les services de renseignement israéliens estiment que le cargo en question suivra "le chemin habituel utilisé par l’Iran pour la contrebande d’armes" vers Gaza. En clair, via le Soudan, l’Égypte et les tunnels de contrebande entre le Sinaï et le territoire palestinien contrôlé par le Hamas.
"Nous croyons que des navires de guerre iraniens basés en Érythrée escorteront le cargo dès qu’il pénétrera dans les eaux de la mer Rouge", précise une source militaire israélienne citée par le Sunday Times. Cette dernière affirme que "malgré l’accord de cessez-le-feu, toute cargaison d’armes repérée par nos soins sera attaquée et détruite".
Téhéran confirme "une aide à la fois financière et militaire"
Ces informations, reprises à l’unisson, dimanche, par la presse israélienne (Haaretz, Jerusalem Post, etc.), sont dévoilées quelques jours après que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé, mercredi, lors de l’annonce du cessez-le-feu, avoir convenu avec le président américain Barack Obama de "travailler ensemble contre la contrebande d’armes à destination d’organisations terroristes, dont la plupart viennent d’Iran".
Du côté de Téhéran, le président du Parlement iranien, Ali Larijani, a confirmé, mercredi également, que Téhéran apportait "une aide à la fois financière et militaire" aux groupes armés de Gaza. Sans plus de précisions.
Roquettes Fajr-5
De l’avis des experts, "un seuil a été franchi" dans le conflit israélo-palestinien avec l’utilisation par les groupes armés palestiniens de roquettes Fajr-5. Et pour cause : certains de ces projectiles de fabrication iranienne se sont abattus sur Tel-Aviv, lors des huit jours d’hostilités, du 14 au 21 novembre.
Depuis, le Hamas revendique "la victoire" et sa branche armée, les brigades Ezzedine al-Qassam, revendique le tir de 1 573 roquettes vers Israël en huit jours. De son côté, l’Etat hébreu, qui avait lancé l’opération "Pilier de défense" pour mettre un terme aux tirs de roquettes sur son territoire, affirme avoir touché 26 sites de fabrication et de stockage d’armes et 980 lance-roquettes enterrés.
France-24
Hormis des incidents ponctuels limités, le calme a globalement été préservé à la frontière israélo-libanaise depuis la guerre de l’été 2006, qui a opposé Israël au parti chiite libanais, le Hezbollah.
L’assassinat de son chef militaire, Imad Moughnieh, en 2008 à Damas, prêté au Mossad, n’a pas rompu ce statu quo.
« Cela prouve a posteriori nos capacités dissuasives », souligne Avi Dichter, membre du gouvernement.
Il rappelle que le chef de la milice chiite, Hassan Nasrallah, a reconnu qu’il n’aurait pas ordonné l’enlèvement de deux soldats israéliens s’il avait su qu’Israël y riposterait par cette dévastatrice guerre ouverte.
Le conflit a tué 160 Israéliens et paralysé pendant un mois la Galilée, cible de 4 000 tirs de roquettes.
Les bombardements de Tsahal ont de leur côté fait 1 200 morts et des ravages au Liban, ciblant en particulier les villages chiites du Sud et Dahieh, bastion du Hezbollah à Beyrouth, mais touchant aussi les sunnites et autres minorités.
POUR ISRAËL, LE HEZBOLLAH EST UNE ORGANISATION TERRORISTE
Pour Israël comme pour les États-Unis et la plupart des pays de l’Union européenne, le Hezbollah est une organisation terroriste.
Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou l’a accusé de l’attentat à l’aéroport de Bourgas (Bulgarie) en juillet dernier, qui a tué six personnes, dont cinq touristes israéliens.
Il l’a aussi accusé d’avoir
Entre autres, Ben dit : « Je voulais vous raconter ce que signifie vivre en Israël ces jours-ci.
Un missile est tiré depuis la Bande de Gaza, la sirène est activée… Vous avez 15 secondes pour trouver un abri.
Je veux que vous, les américains, réfléchissiez un instant ce que cela signifie, si vous étiez dans un endroit où on tirait des missiles sur vous.
Comment vivriez-vous ?
Imaginez-vous courant vers une cave, un abri, ou si vous êtes au-dehors, vous allongeant à terre avec les mains sur la tête ?
Telle est la vie en Israël en ce moment.
Aucun d’entre nous ne serait prêt à accepter une telle situation…
Mais quand il s’agit d’Israël, soudain, nous entendons "ne réagissez pas avec exagération !", "Faites attention !", "Ne réagissez pas de façon disproportionnée !" »
« Si le Mexique tirait un missile sur Al Paso, savez-vous ce que nous ferions ?
Si le Japon tirait un missile sur Pékin, savez-vous ce que ferait la Chine ?
Alors pourquoi on interdit seulement à Israël de se retenir ?
Pourquoi chacun des pays du monde peut se défendre, sauf Israël ?
Comment cela est-il possible ?
« Je pense que nous savons pourquoi…
Cela n’est nullement lié aux frontières ou à quoique ce soit qui peut trouver une solution.
C’est parce que l’état d’Israël existe.
Et parce que l’état d’Israël est un état juif.
Soyons francs avec nous-mêmes : il y a des gens qui ne peuvent le supporter.
« L’antisémitisme.
Il vit et à notre époque.
Et il ne se cache pas.
Il est réellement là-bas, à Gaza.
La bande de Gaza est le nouveau Nuremberg, l’épicentre mondial de la haine des juifs, l’endroit de naissance de millions de jeunes qui haïssent qui ne désirent qu’une seule chose : tuer les juifs.
C’est tout ce qu’ils savent.
Et c’est tout ce qu’ils ont toujours su ».
Beck termine son éditorial en appelant à se tenir aux côtés d’Israël et des israéliens.
Regardez le vidéo-clip dans sa totalité.
CFCA
TAGS : Glenn Beck Gaza Antisémitisme Nuremberg Haine
Israël Etat Juif USA Fox News Pilier de Défense Abris