Israël : Défense au Moyen-Orient

ET C EST avec des nouvelles comme celle la MONSIEUR LE PRESIDENT OBAMA QUE VOUS AVEZ L INTENTION DE FORCER LE PEUPLE JUIF LA NATION ISRAELIENNE ET SON GOUVERNEMENT A PARLER DE PAIX ????????
REPRENEZ vos analystes qu ils se rendent sur place de part et d autre durant 1an et revenez avec une approche réaliste VOUS TROUVEREZ DE L ECHO a défaut ce sera un dialogue de sourd avec pour seul interet ceux des USA dans la région

---c'est avec nos nouvelles armes envoyées à ces terrorristes, que cette racaille
a des diplomes de morts, financés par la France et l' UE ,pour mieux tuer
avec haine & ferveur // voici 3.000 terrroristes à aider la France au mali, elle n'aura
pas financée pour rien // alors obama ta balance est fausse , avec des pressions,
pour reprendre la négoc-éternelle que tu veux nous imposer,,le disque est rayé & cassé,,
soutiens notre logique ,& notre *Pays*, nous voulons la *Paix* totale ,légitime,libre,
chez nous en *Israel* & chacun chez sois ?? les muzz mettez les ou vous voulez ===

Je ne sais pas quel sera le gouvernement dont se dotera Israël demain. Quels seront les dosages, les équilibres des forces et des sensibilités politiques, des susceptibilités, des rivalités, des ambitions personnelles. Mais ce dont je suis sûr, c'est que tous, dans ce gouvernement, auront à coeur de préserver la sécurité des Israéliens. Beaucoup d'enseignements ont été engrangés depuis vingt ans. Beaucoup d'erreurs, commises souvent à partir d'un excès de bonne volonté, ou d'illusions, ne le seraient plus aujourd'hui. Ariel Sharon pouvait croire qu'en évacuant Gaza il échangeait un territoire contre la paix. Ehud Barak aussi - accordons-le lui - pouvait imaginer que le retrait du Sud-Liban ( et l'abandon de l'ALS du général Antoine Lahoud ) serait, en termes de sécurité, moins coûteux pour Israël que le maintien de forces militaires israéliennes dans cette zone. Mais aujourd'hui, plus personne de sérieux, quels que soit sa sensibilité politique, ne peut nourrir de telles illusions. C'est pourquoi il ne faut pas craindre d'abandons nouveaux : les événements ont parlé et l'on sait, désormais, le prix de sang que coûtent les illusions.