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Israël : Défense au Moyen-OrientNetanyahou : "nous sommes dans un tremblement de terre régional"Le premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré dimanche concernant la crise en Syrie et le menace iranienne : "pas de mots, mais des actes et des résultats" sont ce qui importe. Concernant la situation stratégique d'Israël, il a dit que parfois un choix doit être fait entre "mauvais ou pire". Lors d'une cérémonie marquant le 40e anniversaire de la guerre du Kippour, Netanyahou a déclaré que les dirigeants d'Israël ont hésite à l'époque, mais la nation israélienne et l'armée israélienne ont montré leur endurance et ont inversé la réalité de la guerre. La même endurance est demandée aujourd'hui, a-t-il dit. "Mais nous ne pouvons pas nous contenter de cela. Il est du devoir des dirigeants d'être forts. Ils doivent voir l'arène stratégique dans son intégralité. Parfois ils doivent choisir entre le mauvais et le pire, et il doit assurer la survie de l'état d'Israël. C'est le véritable fondement de notre dissuasion et c'est la base de notre existence." La situation stratégique a beaucoup changé depuis la guerre du Kippour, a-t-il dit. "Nous avons signé un accord de paix avec l'Egypte et la Jordanie, et nous tentons de parvenir à un accord avec les palestiniens. Toutefois," a-t-il dit, "nous sommes au milieu d'une tremblement de terre régionale, d'un genre qui n'a pas été vu depuis la création de l'état d'Israël : missiles et cybernétique, et les armes de destruction massive." En ce qui concerne l'accord entre les Etats-Unis et la Russie concernant l'arsenal chimique de la Syrie, Netanyahou a déclaré que "nous espérons que l'accord entre la Russie et la Syrie porte ses fruits, et que, de fait, il résiste à l'épreuve du résultat : la destruction complète de tous les stocks d'armes chimiques que le régime syrien a utilisé contre ses citoyens." "Le test du résultat s'applique également aux efforts diplomatiques de la communauté internationale pour arrêter l'armement nucléaire de l'Iran," a-t-il ajouté. "Ici aussi, les mots ne seront pas ce qui détermine les choses, mais les actes et les résultats. Israël doit être prêt à se défendre, par lui-même, contre toute menace, et cette préparation est plus importante aujourd'hui qu'elle ne l'a jamais été," a déclaré Netanyahou. Articles connexes
89 commentaires
| Membre Juif.org
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Envoyé par Ben_013
ben, suicide toi (c'est comme çà qu'a fini le 3ème reich) peut-être que le diable t'écouteras
tu connais l'histoire :
un homme à l'égo surdimensionné qui se prenait pour D... dont la vie sur terre n'avait aucun secret pour lui
il croyait tout connaître, tout savoir
et qui malgré tout sa vie était corrompue quand tout reposait sur lui (bref il ne faisait pas mieux que les autres mafieux)
aux portes de l'enfer il demande au diable de négocier avec Saint-Pierre pour l'intégrer au paradis
le diable lui réponds : je n'ai aucun lien avec le paradis
bon lui dit l'homme je connais les avocats en payant très cher, ils me sauveront
ah bon parce que tu en as trouvé un conclut le diable
rien n'est assez cher pour eux, tout n'est que partie remise
Faudrait que tu donnes les sources pour tes avances stupides au moins .
Anne_011@ C'est justement parce que je ne sais rien que je teste des explications, c'est comme l'aveugle qui passe devant une poissonnerie et qui soulève sa canne en s'écriant : "Salut les filles ! "
Vous connaissez l'histoire du gamin juif qui rentre de l'école et qui annonce fièrement à son père que pour économiser son argent il a couru derrière son bus? Sur ce son père lui répond : "c'è thrès bien mon fils mais c'hétait derrière hin taxi què ti dèvais courir"
C'est-à-dire qu'il, va peut-être être nécessaire d'appliquer à Ben le traitement que nous avons appliqué précédemment à d'autres zigottos de son genre : cesser totalement de lui donner la moindre réplique : l'ostraciser par le silence fait autour de ses productions perverses ; ne plus jamais lui donner le moindre élément de réponse, le laisser soliloquer. En général, ce genre de bonshommes finit par s'écraser quand il a constaté que tout ce qu'il pouvait dire ne suscitait jamais rien d'autre que le mépris définitif du silence.