Israël : Défense au Moyen-Orient

Le ministre des finances Yair Lapid a proposé, lors d'une session du cabinet ministériel, qu'Israël élimine les chefs du Hamas, a rapporté le journal Israël Hayom.

Selon le journal, Lapid a déclaré que l'armée israélienne devait "éliminer les chefs du Hamas," y compris le chef du Hamas à Gaza, Ismail Haniyeh, et le chef du bureau politique de l'organisation terroriste, Khaled Mashaal.

Le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman et le ministre de l'économie Naftali Bennett ont soutenu l'idée.

Le premier ministre s'y est opposé.

Il a été décidé a la place de bombarder les maisons des dirigeants du Hamas, même si tout le monde sait qu'ils n'y résident pas.

Des sources diplomatiques ont expliqué que le premier ministre Benyamin Netanyahou veut se comporter de manière "plus mesurée", "afin de donner à Israël une marge de manœuvre internationale."

Netanyahou avait ordonné l'élimination de Mashaal par empoisonnement en Jordanie en septembre 1997, mais la tentative d'assassinat avait échoué. Les forces de sécurité jordaniennes avaient arrêté deux agents israéliens impliqués, et l'équipe du Mossad s'était retrouvée bloquée à Amman. Israël a fini par fournir un antidote au poison qui tuait Mashaal, et avait libéré 70 terroristes des prisons israéliennes, dont le "cheikh" Ahmed Yacine, le chef spirituel du Hamas, plus tard tué par un missile israélien.

Les dirigeants du Hamas se cachent apparemment en dessous de l'hôpital Shifa, fidèles à la tactique du groupe terroriste d'utiliser des femmes, des enfants, des personnes âgées et des infirmes comme boucliers humains.

On ne comprend pas vraiment en quoi la décision de Netanyahou de ne pas éliminer les chefs du groupe terroriste semble "plus mesurée" que d'éliminer les terroristes qui répondent à leurs ordres.

Le ministre des finances Yair Lapid a proposé, lors d'une session du cabinet ministériel, qu'Israël élimine les chefs du Hamas, a rapporté le journal Israël Hayom.

Selon le journal, Lapid a déclaré que l'armée israélienne devait "éliminer les chefs du Hamas," y compris le chef du Hamas à Gaza, Ismail Haniyeh, et le chef du bureau politique de l'organisation terroriste, Khaled Mashaal.

Le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman et le ministre de l'économie Naftali Bennett ont soutenu l'idée.

Le premier ministre s'y est opposé.

Il a été décidé a la place de bombarder les maisons des dirigeants du Hamas, même si tout le monde sait qu'ils n'y résident pas.

Des sources diplomatiques ont expliqué que le premier ministre Benyamin Netanyahou veut se comporter de manière "plus mesurée", "afin de donner à Israël une marge de manœuvre internationale."

Netanyahou avait ordonné l'élimination de Mashaal par empoisonnement en Jordanie en septembre 1997, mais la tentative d'assassinat avait échoué. Les forces de sécurité jordaniennes avaient arrêté deux agents israéliens impliqués, et l'équipe du Mossad s'était retrouvée bloquée à Amman. Israël a fini par fournir un antidote au poison qui tuait Mashaal, et avait libéré 70 terroristes des prisons israéliennes, dont le "cheikh" Ahmed Yacine, le chef spirituel du Hamas, plus tard tué par un missile israélien.

Les dirigeants du Hamas se cachent apparemment en dessous de l'hôpital Shifa, fidèles à la tactique du groupe terroriste d'utiliser des femmes, des enfants, des personnes âgées et des infirmes comme boucliers humains.

On ne comprend pas vraiment en quoi la décision de Netanyahou de ne pas éliminer les chefs du groupe terroriste semble "plus mesurée" que d'éliminer les terroristes qui répondent à leurs ordres.