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Israël : Défense au Moyen-OrientAl-Qaïda appelle à combattre la coalition anti-EILe Pentagone pourrait envoyer ses conseillers militaires au front avec l'armée irakienne pour lutter contre le groupe Etat islamique, a indiqué le plus haut gradé américain, le général Martin Dempsey. "Si nous en arrivons au point où j'estime que nos conseillers doivent accompagner les troupes irakiennes dans leur offensive contre des cibles de l'Etat islamique, c'est ce que je recommanderais au président" Barack Obama, a déclaré le général Dempsey lors d'une audition au Sénat. Les branches maghrébine (Aqmi) et yéménite (Aqpa) d'Al-Qaïda ont appelé les djihadistes en Irak et en Syrie à s'unir contre la coalition hostile au groupe de l'Etat islamique (EI), dans un communiqué commun. 11 commentaires
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Ou - pour le dire autrement - s'agit-il, en écrasant les bandes djihadistes sunnites, d'offrir sur un plateau la région tout entière à la domination iranienne ?
Il va de soi que je n'ai pas la moindre sympathie pour les égorgeurs de l'Etat Islamique. Mais les moukhabarates alaouites - qui torturent des enfants - " valent " - ils mieux ?
Ton analyse est juste, et je pense aussi que les israéliens n'ont pas intérêt à ce que le hamas disparaisse totalement, il en va de même de l'AP, et c'est bien pour cela qu'ils ont évité à abbas ce fameux coup d'état...
Ceci étant, l'EIIL, qui dispose de quelques milliers d'hommes mobiles sur des picks up, représente il un réel danger par rapport à un Iran nucléaire? j en doute, ils ne sont pas plus barbares que les mollahs qui pendent sans distinctions des drogués, des petits voleurs, des gays...ou que les saoudiens adeptes de la même justice expéditive...
Non, je pense que la coalition des va t en guerre se sont vus obligés de monter au créneau guerrier sous la pression des monarchies du golfe qui se voient menacer par un ennemi intérieur qu'ils ont eux mêmes formés...
Les rois su pétrole tremblent devant ceux qu'ils ont armé et qui sont devenus incontrôlables...
Bien-sûr qu'il vaut mieux qu'assad préside à la destinée de la syrie plutôt qu un nouveau gouvernement régi par la charria et ceci à quelques kilomètres de l Etat Juif.
Nous reparlerons bientôt de la réaction des islamistes dès que les frappes auront commencé, nous pourrions être surpris....
Contre ce que les dirigeants séoudiens percevaient comme un lâchage américain face à Téhéran, Ryad a certainement voulu susciter des contre-feux sunnites - qui leur ont échappé. Ce ne serait pas la première fois ; et l'on touche là une sorte de faiblesse pour ainsi dire structurelle de l'Arabie séoudite, de sa caste dirigeante : celle-ci ne peut pas jouer la carte de la libéralisation religieuse ni sociétale, vu que sa seule assise est précisément depuis toujours l'intégrisme religieux sous sa forme wahabite. Elle ne peut donc jouer que la carte de l'intégrisme islamiste. Mais, à ce jeu, elle risque constamment d'être débordée par une surenchère islamiste qui est toujours, si l'on peut dire, à fleur de peau. Il n'en faut pas beaucoup pour que des " super-intégristes " apparaissent, qui n'ont pas de mal à stigmatiser les comportements scandaleux des Séoud et leur alliance impie avec " le Grand Satan " américain. Les groupes islamistes, financés par les pétro-dollars des monarchies du Golfe ( et, naguère, par les Etats-Unis - qu'on se
rappelle, en Afghanistan, un Gulbuddin Hekmatyâr ... ou un certain Oussama Ben Laden ... ), ont tendance à s'autonomiser, surtout s'ils trouvent des moyens de se financer ( l'opium dans le cas des groupes afghans ; le pétrole dans le cas de l'Etat Islamique ) et de se doter d'armements au-dessus du niveau de la kalachnikov ( les missiles " Stinger " en Afghanistan ; les armements pris à l'armée irakienne en Irak ).
Barack Obama et John Kerry essaient aujourd'hui de récupérer un semblant de cohérence et d'offensivité dans une région où pratiquement tout ce qu'ils ont tenté a tourné à l'échec effroyable ( Syrie - Libye - Egypte ) et où leurs alliés de naguère les tiennent, bien légitimement, en suspicion. L 'Egypte, l'Arabie séoudite, la Jordanie, les Emirats Arabes Unis, etc. ne veulent certainement pas se faire balayer par la vague islamique de l'Etat Islamique, du Califat ( qui a déjà annoncé son intention de prendre le contrôle des Lieux Saints musulmans ) ; mais ils ne veulent certainement pas pour autant ouvrir militairement ( en faisant ou en laissant écraser l'Etat Islamique ) la voie à une hégémonie irano-shî'ite sur la région. Une politique de " containment " de l'Etat Islamique, oui. Une destruction de la barrière protectrice qu'il représente par rapport à l'Iran, non.
Mutatis mutandis, il y a là matière à un parallèle avec ce qui est, je crois, la situation d'Israël dans la question de Gaza : affaiblir et battre le 'Hamas, le contraindre à cesser ses