Israël : Défense au Moyen-Orient

, Il y a eu , par le passé, de funestes erreurs commises par Israël, par exemple en validant l'existence d'un peuple "palestinien" autre que juif, en négociant: c'est à dire en croyant qu'ainsi, Israël se rapprocherait de la paix, ou en jouant la carte de l'islam contre les nationalistes. C'est en tenant compte de ces erreurs que le gouvernement actuel n'a pas déposé le hamas....ainsi, il espère ne pas se retrouver avec des ennemis encore pire que le hamas.
Nous devons faire confiance en notre gouvernement: la place vide que laisserait la chute du hamas, aspirerait d'autres ennemis d'Israël, et on devine aisément, qui viendrait l'occuper. D'autre part; la politique du hamas fait fuir les arabes qui en ont les moyens, et qui aspirent à vivre; ce qui ne laisse rien présager de bon, mais qui créé un vide pour de nouveaux combattants. N'eût-il pas mieux vallu de réoccuper Gaza ? L'administrer ? Problème: l'ONU choisit de légitimer n'importe quelle barbarie, plutôt que de renoncer à légitimer un peuple "palestinien" non-juif.!

Il a mille fois. Raisons
La première
Cela aurait conduit les jeunes militaires. Dans une confrontation avec de sanguinaires sauvages et barbares
< Des morts cadeau >
La seconde
Israeĺ n à pas vocation à faire en sorte que les palestiniens parlent d une même voix
La Troisième
Laisser mijoter le Hamas face à sa population démunie .....des fois qu elle se rebiffe. Naturellement
La quatrième ......c est pour une autre fois
il y en. Aurait encore 997 .....

Effectivement, ce gouvernement dangereux a préféré les laisser nous bombarder pendant plus de deux mois, et sacrifier pour rien près de 70 de nos soldats. Donc, à la lecture des propos d'Yaalon, on comprend que les 50 jours de guerre, là où moins d'une semaine aurait suffi, sont le résultat du ménagement du mouvement terroriste qui nous bombarde depuis plus de neuf ans qu'on a trop peur de casser et de faire disparaître. Lamentable.

On ne cessera jamais d'invoquer une raison ou une politique justifiant les mini guerres d'Israël inabouties contre ses voisins. La liste des guerres livrées par Israël contre ses voisins arabes est horriblement longue depuis plus de soixante ans et n’en voit jamais sa fin. Victoire, paix, triomphe jamais. Phénomène rarement relaté dans l'Histoire de toutes les guerres, un cas stupéfiant et unique à la fois. Ce que l'on entend habituellement de la bouche des responsables politiques ce sont des paroles d'apaisement, de pseudo intentions de ne pas laisser croire qu'Israël est un pays belliqueux, n'aime pas la guerre, ne brutalise pas ses adversaires, n'aime pas provoquer la mort de victimes innocentes etc. Des jérémiades de discours quasi culpabilisant, sans compter la pression de "l'ennemi intérieur" que représente une gauche dévoyée et mal pensante à l'encontre de tout le système politico-religieux aux rênes du pays. Une critique toujours négative et insultante à l’égard de l’appareil décisionnel au pouvoir, gauche ou droite. Mais là oú le mât blesse c'est de savoir qui en réalité prend les décisions capitales et déterminantes des guerres, ou se trouve le centre et le cœur des ordres donnés par le gouvernement central, qui décide de la finalité de la bataille, de son ultime processus ?
Le professeur Israël Auman de l’Université de Jérusalem, prix Nobel de l'économie et scientifique de renommée mondiale a donné une explication pertinente et irréfragable du phénomène de l’échec des guerres israéliennes inabouties et incomplètes. Par la méthode de la « théorie des jeux » discipline mathématique de son invention, il bouleverse totalement la compréhension de la politique suivie jusqu’alors par les gouvernements israéliens et confirme qu’ils connaîtront toujours une fin lamentable et sans avenir s’ils continuent à agir selon les décisions scabreuses et absconses, qu’ils ont pratiquées jusqu’à aujourd’hui. Il est conseillé de prendre connaissance des ses arguments. Cependant, pour brillante qu’elle fût sa théorie, elle n’explique pas tout et néglige un point fondamental. Qui décide réellement de l’issue des guerres décidées et vécues par Israël ? Il est légitime et prégnant de se poser la question. De ces guerres éclairs et tronquées, Il y a un facteur capital qui échappe à nombre d’analystes et de politologues, pour des raisons diront-nous opaques et non avouées, voire volontairement tues. Nous voulons répondre à cela par un fait tangible et vérifiable liant sévèrement les mains des décideurs israéliens. C’est l’ingérence choquante, arbitraire et continue de l’attitude des USA , toujours promptes à stopper la main de TSAHAL chaque fois qu’elle est prête du but. Toutes les guerres précédentes d’Israël connurent le même avatar. On imprime une pression sur Israël telle qu’il n’a d’autre choix que d’obtempérer la mort dans l’âme. Le gouvernement américain et ses diplomates ont toujours agi ainsi, de sorte qu’Israël ne pourra jamais connaître une victoire totale et un gain conforme à ses vues. C’est là oú le mât blesse, ou le cœur d’Israël saigne. Dire qu’on a affaire à des trahisons, on n’en est pas loin. La politique américaine au Moyen-Orient encline invariablement à l’avantage des pétro monarques, et il en sera ainsi au présent et au futur. Les liens économiques et militaires entre les USA et les pays arabes producteurs de pétrole surpasseront incessamment l’intérêt porté à Israël, un intérêt opportuniste et hypocrite, à géométrie variable. Ainsi donc, les guerres engagées contre les voisins arabes seront toujours interrompues et cassées de sorte que Tsahal n’accomplira jamais son œuvre finale. Jamais la politique américaine ne permettra à Israël d’écraser ses adversaires, une fois pour toute. Tout esprit lucide verra là la frustration et la douleur que ressent Israël de ne jamais achever son total destin sioniste, de ne jamais jouir de son courage et de sa volonté. Gog et Magog le veut ainsi.

Je viens de lire l'analyse proposée par Burt. Il est vrai que la pression américaine est forte, mais les implications sur le terrain ne dépendent au final que de la détermination du gouvernement israélien sinon d'en finir du moins de faire valoir ses droits. Je ne voudrais pas faire l'apologie d'un dirigeant comme Olmert, inculpé pour corruption, mais il faut reconnaître qu'il a su résister d'une manière assez simple à la pression américaine. Lui aussi, on a voulu le contraindre à bloquer totalement la construction pour les Juifs aux portes de Jérusalem. Quand le président américain, Bush II, si je ne m'abuse, a exigé l'arrêt de la construction à Ma'alé Adoumim, sous prétexte que cette ville coupait la continuité du territoire qu'il voulait faire lâcher à Israël, Olmert lui a répondu que même s'il voulait le faire, il ne le pourrait pas et que jamais la population israélienne ne le laisserait agir. On a malheureusement affaire à un Premier ministre qui baisse la tête un peu trop facilement. C'est le premier à avoir décréter dix mois de construction dès son accès au poste de Premier ministre, ce que n'avait jamais tenté même le plus gauchisant de ceux qui l'avaient précédé. De plus, alors que Rabin en son temps s'était contenté d'interdire tout nouveau projet, Netanyahou a fait couler des sociétés qui avaient commencé à lancer des milliers de logements, comme ce fut le cas à Modi'in Ilit, où seulement deux cents logements avaient été terminés au moment de la décision. Or, plus

Suite: (nb : je voulais dire: dix moins d'interruption de la construction). Or, plus on cède, plus l'Américain au commandes devient exigeant et gourmand. Je ne pense pas qu'Obama soit particulièrement coriace. Bush premier ne l'était pas moins. Rappelons-nous son attaché, Shulz, qui faisait des va et vient ininterrompus de l'Amérique à Israël. Il voulait imposer un plan en dix points. Shamir a tenu bon, de dix points, on est passé à cinq puis à zéro.
La seule possibilité de parvenir à une paix réelle et durable, que tout le monde connaît mais qui est un véritable tabou, serait de déplacer les populations hostiles à Israël vers des pays adéquats au niveau de la culture, la langue et la religion. La population étrangère est inassimilable et chaque fois qu'il est question de mariages mixtes, c'est toujours un homme musulman qui prend une Israélienne et c'est toujours un véritable calvaire pour la femme, voir à ce propos les actions de l'association de sauvetage Yad Léa'him. En tout état de cause, chaque mariage dans ce sens implique, même si l'on pouvait envisager une vie heureuse, le renoncement pour la femme à son appartenance au judaïsme. Or, il est inacceptable de concevoir que la paix avec les Arabes passerait par une conversion des Juifs à leur religion prédominante. Pour ce faire, pas besoin d'avoir lutté tant pour avoir un Etat.