Israël : Défense au Moyen-Orient

Des responsables médicaux israéliens et de l'autorité palestinienne semblaient d'accord sur les résultats de l'autopsie du ministre/terroriste palestinien décédé hier après avoir pris part à des émeutes arabes en Samarie, mais émettent des interprétations contradictoires.

Abou Ein, un terroriste devenu ministre de l'autorité palestinienne, s'est effondré et est mort mercredi après-midi. Maintenant, une autopsie dirigée par des médecins de l'AP affirme que son décès a été causé par une crise cardiaque induite par le stress.

Le rapport, dirigé par des pathologistes palestiniens, jordaniens et israéliens, déclare que le décès a été causé par le blocage de l'artère coronaire, et dit qu'il y avait des signes d'hémorragie interne légère, et de pression localisée sur le cou, du moins selon la version israélienne du rapport.

Le défunt souffrait d'une maladie cardiaque, et il y avait des preuves de l'accumulation de plaques s'entassant sur plus de 80% de ses vaisseaux sanguins, ainsi que des signes qu'il avait subi des crises cardiaques dans le passé.

Le gouvernement de l'AP a publié une déclaration après sa réunion, blâmant évidemment Israël pour "l'assassinat" d'Abou Ein. "Après la publication des résultats, nous pouvons dire qu'Israël est responsable de l'assassinat d'Abou Ein," a dit le "gouvernement" de l'AP, dans une nouvelle propagande reprise en chœur par les medias français.

Initialement, Hussein al-Sheikh, un haut responsable de l'AP, a déclaré a Reuters que les médecins jordaniens et palestiniens impliqués dans l'examen du corps durant la nuit ont dit qu'Abou Ein, 55 ans, est mort pour après avoir été frappé, après l'inhalation de gaz lacrymogènes, et de ne pas avoir reçu une attention médicale rapide.

Toutefois, le Dr Hen Kugel, le médecin israélien qui a participé à l'autopsie, a déclaré que le rapport n'était pas définitif et qu'ils attendaient les résultats de certains tests, mais "nous savons ce qui s'est passé. Il est mort d'une attaque cardiaque. Il avait un blocage important des artères et son cœur était en mauvais état. Quand ils ont saisi son cou, cela a causé un important stress qui a conduit à des saignements et ensuite à un blocage complet qui est ce qui l'a tué."

"Il n'y a pas de désaccord avec les palestiniens à ce sujet, la seule chose que nous avons encore besoin de connaître est sur les blessures à ses dents de devant, à la langue et à la trachée. Celles-ci pourraient être le résultat des tentatives de réanimation ou d'une attaque comme le revendiquent les palestiniens, mais cela n'a pas d'importante, il est mort à cause de son cœur et du stress," a déclaré Kugel.

Abbas a appelé Abou Ein une victime d'un "crime clair" et d'un "acte barbare mercredi." Il a décrété trois jours de deuil pour le ministre/terroriste.

Abbas tenait une photo du soldat israélien saisissant la gorge d'Abou Ein. Les palestiniens font circuler la photo sur les medias sociaux sous le hashtag #ICantBreathe (je ne peux pas respirer), faisant un lien avec l'assassinat d'un homme noir désarmé par un policier blanc aux Etats-Unis.

Au moment de l'incident, des sources palestiniennes ont affirmé que le ministre/terroriste, qui aurait souffert d'une maladie non précisée, avait été frappé à la poitrine par la crosse d'une arme d'un soldats, puis s'est effondré.

Toutefois, la propagande palestinienne a cette fois joué contre eux, leurs vidéos montrant clairement les faits :

1) Abou Ein s'attaque à des soldats israeliens lors d'une émeute qu'il dirigeait lui-même

2) Un soldat israeliens répond, attrape le ministre terroriste au cou, et le repousse

3) Le ministre/terroriste est retenu par ses proches

4) Il donne une interview à des medias

5) Il se sent mal à l'aise, part s'asseoir

6) Un médecin israélien veut lui apporter les premiers soins, mais, selon les palestiniens, Abou Ein refuse.

Mettons de côté le fait que cet homme soit un terroriste qui a assassiné deux jeunes israeliens dans son "jeune âge", qu'il ait été libéré par Israël lors d'une de ces nombreuses libérations honteuses de terroristes, pour dire qu'un homme, ministre ou pas, terroriste ou pas, qui a une grave maladie au cœur, devrait éviter d'être à la tête d'émeutes et de s'attaquer à des soldats.

Que ce terroriste soit mort pour avoir été (très légèrement) repoussé par un soldat, c'est une mauvaise blague, malheureusement reprise par nombre de medias internationaux. Mais il est intéressant que, dans sa condition médicale, sa haine d'Israël et des juifs fût plus forte que la raison.