Israël : Défense au Moyen-Orient

Au milieu de la tempête publique contre Breaking the Silence, l'organisation non gouvernementale qui diffame l'armée israélienne à l'étranger, les israéliens ont par centaines posté leurs propres messages "Breaking the Silence" (Brisons le Silence) sur Facebook. Certains d'entre eux expliquent des comportements inappropriés par des soldats, mais la plupart semblent dire le contraire : des histoires d'une humanité souvent excessive de l'armée israélienne sur le champ de bataille, et dans diverses activités en Judee Samarie et à Gaza.

Un de ces posts qui se démarque de manière poignante a été écrit dimanche par Ofer Mendelovich, dont le fils, Oz, a été tué dans la bataille de Shejaiya à Gaza lors de l'opération Bordure Protectrice.

"Je brise également le silence," écrit Mendelovich. "Au lieu de niveler le quartier de Shejaiya, une force de la brigade Golani est entrée de manière prudente et sélective, à la recherche de tunnels, de peur de blesser des innocents."

"Au cours de cette opération de recherche sélective, notre fils Ozi et 12 autres combattants Golani ont été tués, dans la nuit maudite du 20 juillet 2014," continue le père endeuillé.

"Si le quartier avait été balayé par un feu direct, et si sa couverture terrestre avait été massivement rasée, 'dans le style Poutine', avant que les combattants entrent, notre fils serait resté en vie… Mais l'attitude qui a guidé Tsahal dans l'opération était, est, et sera toujours 'la pureté des armes', en évitant de nuire à des innocents, même si cela met en danger la vie des soldats."

Treize combattant Golani avait été tué lors de cette bataille, la plus sanglante de l'opération Bordure Protectrice.

Tsahal applique des standards que nul autre armée au monde n'imaginerait appliquer, et on comprend aisément pourquoi. Ces standards soi-disant humanistes, pour plaire à une presse et une opinion publique internationale constamment contre Israël, met en danger le soldat israélien par des décisions jamais vues sur un champ de bataille, comme de prévenir les habitants d'un quartier d'une attaque imminente, laissant tout loisir aux combattants adverses de préparer des embuscades, d'évacuer leurs stocks, de piéger les maisons, etc.