Israël : Défense au Moyen-Orient

La député Likoud Nava Boker a réagi mercredi au viol atroce d'une jeune fille juive mentalement retardée âgée de 20 ans dans le sud de Tel Aviv il y a deux semaines, après que la police ait levé un ordre de bâillon sur l'arrestation de deux arabes auteurs présumés du viol et la chasse à l'homme pour retrouver le troisième suspect.

En révélant l'ignoble viol, la police a noté que les trois attaquants arabes, dont un est citoyen israéliens tandis que les deux autres sont originaires de Judée Samarie, ont agi par "motifs nationalistes" (entendez terroristes) et ont crié des insultes racistes lors de l'attaque, que l'un d'entre eux a enregistré en vidéo.

"Choquant," a déclaré Boker en réponse à l'affaire. "Je ne veux pas imaginer ce qui serait arrivé si c'était des juifs qui avaient violé une femme arabe. En fait non, je le sais déjà : dans les 24 heures tous les responsables se seraient mis debout pour condamner."

Parlant de la manière dont la police a couvert l'incident par un ordre de bâillon de dix jours, elle a dit : "je suis choquée deux fois aujourd'hui : une fois a cause de ce terrible viol, et une deuxième fois parce que la police à décidé de cacher ce cas."

"J'appel le commissaire de police à mener immédiatement une enquête approfondie et comprendre pourquoi ils nous ont caché cette affaire choquante. Sommes-nous devenus comme Sodome et Gomorrhe ? Les cris de la jeune fille doivent faire trembler tout le monde dans l'état."

"La seule considération qui doit se tenir devant la police est une révélation de la vérité, et non pas des considérations diplomatiques qui n'ont aucun lien. J'espère que le système juridique rendra justice envers les responsables qui ont commis ce crime horrible," a conclu Boker.

La victime du terrible viol a été laissée dans un état psychologique difficile à cause de l'agression traumatique, et elle est actuellement sous traitement.

Les commentaires de Boker sur ce qui serait arrivé si les rôles étaient inversés mettent en évidence l'absence de cas de juifs violant des femmes arabes. Ironiquement, en 2007, un document de recherche qui a remporté le prix du comité d'enseignants de l'Université Hébraïque (très très à gauche, ce comité), a affirmé que si les soldats de Tsahal ne violent pas les femmes arabes palestiniennes c'est parce qu'ils sont racistes…