Israël : Défense au Moyen-Orient

Le corps de Rahman Abu Jamal, qui a perpétré l’attaque au commissariat de police d’Armon Hanatziv il y a un mois et demi, a été restitué à sa famille environ deux heures avant le début du Shabbat. Son corps a été inhumé lors d’une démonstration d’incitation et d’encouragement d’organisations terroristes.

Le voyage funéraire a eu lieu à Arab Sakharra, à la frontière de Jabel Mukaber. Lors du cortège funèbre, des appels à l’incitation contre l’état d’Israël ont été lancés, et même des drapeaux du Fatah ont été brandis, selon le mouvement Lech Yeroushalayim, qui note que le fait de remettre le corps du terroriste constituait une violation du principe selon lequel le gouvernement israélien a maintenu pendant trois ans, selon lequel le corps des terroristes de Jérusalem ne sont pas remis pour inhumation.

Il convient de rappeler que ce principe visait à limiter des manifestations telles que celles qui a accompagné l’enterrement d’Abou Jamal, mais pour une raison quelconque, le gouvernement israélien a choisi de changer de politique et d’autoriser l’inhumation du terroriste.

Deux policiers ont été légèrement blessés lors de l’attaque au couteau. D’autres policiers présents à la station de police d’Oz où s’est déroulé l’attentat ont maîtrisé le terroriste et l’ont neutralisé. Une semaine plus tard, il mourrait de ses blessures.

Lech Yeroushalayim a déclaré que « la famille Abu Jamas est responsable de la mort de 9 israéliens et de plusieurs blessés » dans une série d’attaque menées par la famille, notamment l’attentat meurtrier contre la synagogue de Har Nof, l’attentat mené par un technicien Bezeq également membre de la famille, et un attentat terroriste au cours duquel trois israéliens ont été assassinés, mis à part d’autres attentats terroristes qui ont causé des blessures à des israéliens.