Il y a 8 heures - Juif.org
Le Premier ministre Benjamin Netanyahou n'a pas exclu l'assassinat du Guide suprême iranien, Ali Khamenei.
Dans une interview accordée à ABC, Netanyahou a déclaré que l'affirmation selon laquelle un tel acte aggraverait le conflit était inexacte. Au contraire, a-t-il affirmé, cela entraînerait une désescalade et un changement de régime au sein de la République islamique.
Selon des informations étrangères, le président américain Donald Trump a récemment opposé son veto à l'assassinat de l'ayatollah Khamenei.
Le Wall Street Journal a précédemment rapporté que l'Iran manifestait de toute urgence sa volonté de mettre fin à la confrontation militaire avec Israël et de reprendre les négociations nucléaires avec les États-Unis.
Le journal a révélé que Téhéran avait envoyé des messages à Jérusalem et à Washington par l'intermédiaire d'intermédiaires officiels des États arabes, du Moyen-Orient et d'Europe.
Selon le rapport, le régime iranien a fait savoir aux responsables arabes qu'il était ouvert à un retour à la table des négociations sur la question nucléaire, à condition que les États-Unis ne participent pas aux frappes israéliennes sur le territoire iranien.
De plus, l'Iran a envoyé des messages à Jérusalem indiquant qu'une retenue mutuelle serait dans l'intérêt des deux parties.
Il a également été signalé que l'Iran perçoit actuellement les avions de l'armée de l'air israélienne comme opérant librement dans l'espace aérien iranien, tandis que les frappes iraniennes sur Israël ne causent que des « dommages minimes ».
À la lumière de ces éléments, l'évaluation à Jérusalem est qu'il n'existe actuellement aucune incitation sérieuse à cesser les frappes aériennes tant que les sites nucléaires iraniens ne seront pas entièrement détruits et que la capacité de la République islamique à maintenir son pouvoir ne sera pas davantage affaiblie.
