|
Israël : Défense au Moyen-OrientJérusalem-est: une famille palestinienne emblématique expulsée de sa maisonIsraël a expulsé dimanche de son domicile de Jérusalem-est la famille al-Kurd, des réfugiés devenus le symbole du combat palestinien contre la colonisation juive dans cette partie de la Ville sainte.
Articles connexes
2 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 2 heures - Le Figaro
Il y a 8 heures - Times of Israel
Il y a 8 heures - Kountrass
29 Avril 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 21 minutes
Mais surtout, une fois de plus on fait tout un tapage alors que quand les palestiniens de Judée Samarie spolient des familles chrétiennes, personne ne s'en offusque.
Il me semblerait important de faire une contre-enquête sur cette affaire car je sens la désinformation poindre son nez
Cette affaire n'est pas si simple que veut bien le dire le journaliste. En fait, à l'origine il s'agit d'un contentieux juridique qui dure depuis des années et qui a trouvé un terme parune decision de justice qui a débouté les plaignants, à savoir la famille Al Khurd. Cete famille s'est intstalée illégalement sur ce terrain en 1956 au moment ou la partie orientale de jerusalem avait été colonisée par la Jordanie. Les propriétaires fonciers ont ressorti des documents juridiques datant de l'empire Ottoman prouvant que les terrains appartenaient à l'état et que les habitants étaient autorisés à y habiter moyennant le paiement d'un loyer, or depuis 1956 ce loyer n'a jamais été payé. En 1967, aprés la decolonisation de Jerusalem et de la Judée Samarie, l'état d'Israël ayant recouvré ses droits , puisque en terme de droit civil c'est lui qui est désormais propriétaire des terrains,des associations se sont tournés vers la justice pour qu'elle fasse reconnaitre le droit. Aprés des années d eprocédure, la justice a donc jugé que contrairement aux allégations des colons arabes, les documents ottomans étaient vrais et ceux ci devaient donc quitter les lieux pour permettre la construction de logements. depuis 1956, la decision de jus