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Israël : Défense au Moyen-OrientAu moins 20 morts dans une attaque contre une école dans la bande de GazaAu moins 20 personnes, qui s'étaient réfugiées dans une école gérée par l'ONU dans le nord de la bande de Gaza, ont été tuées mardi dans une attaque israélienne dans le secteur, a indiqué une source médicale.
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J espere cette fois ce ne pas etre censuree.
Je joins ce liens qui veut tout dire...comment le hammas se sert des enfants et comment ils eduquent leurs enfants a la haine!!
Connaissez vous ce film ou un hamsnik attrape un enfant de force pour le prendre sur les lieux de tirs... c est une bonne occasion de voir combien pour eux la vie de leurs propores enfants leur est chere!!!!
Nous sommes tous desoles de cette situation mais des tirs ont ete effectues de cette ecole!!!
http://www.liveleak.com/view?i=ab7_1231090199
Triste mais la guerre ne peut etre autrement surtout lorsque l on a a faire a ces betes sauvages..en fait les betes sauvages se comportent differiement dans la nature!!!
http://www.liveleak.com/view?i=ab7_1231090199
Encore ce matin noous nous sommes refugies dans le miklat a Ashdod, la ou nous vivons...Les rues sont desertes, les commerces ferment tot ou sont fermes, pas d'ecole. Ce matin j'ai recu un appel de la psychologue de l'ecole pour me deamnder comment allaient les 3 enfants. Le petit de 14 ans reste dans le miklat et joue a l'ordi toute la journee, il est nerveux, les enfants ne sortent pas. Le grand est dans l'armee de l'air, dans les garages pour reparer les avions, et ma fille rentre a l'armee le 13 janvier. La crise nous touche et mainteant c'est la guerre....Les images que vous vivez sur la misere des palestiniens ne me font pas d'effet je suis desole. Je vens de jetter de ma boutique de Jaffa des reporters francais, minables cons. Ils s'appretent a faire un reportage de la misere a Gaza. Vous voulez vraiment savoir: le pricipal depot d'armes se trouve sous l'hopital, les munitions et lesw roquettessous les ecoles qui ne fonctionnent plus depuis longtemps les profs ne sont plus payes....les riches de la bas sont foutus le camp depuis le debut de l'assaut. Les denrees gratuites humanitaires sont vendues ou troquees sur place...4 dollars le kg de farine. Et de l'argent combien ils en ont recu et ca tombe encore a croire que cette fameuse crise, c'est du bleuf, mais le hamas le garde pour s'armer..il n'y a rien pour les civils, ils crevent par ce que ce sont des boucliers humains, et que des images spectaculaires ca touchent les arabes d'Europe...
Alors le cessez le feu demande va permettre au hamas de ressortir les armes des tunnels, et de rearmer, et de remotiver leur troupe....ils prennet les ambulances poour transporter, ils s'enfuient ...aucune treve, ne peut etre acceptee. Aujourd'hui la pression monte en Europe et oui 22 millions d'arabes ca peut faire du bruit et des degats. Alors les politiciens font jouer la langue de bois....C'est maintenant qu'il faut soutenir les juifs, les Israeliens...Nous on vit notre quotidien comme on peut, en souhaitant que D. nous protege, vous de la ou vous etes, manifester votre colere ou boycotter, censurez, agissez face a vos medias....courage a touts !
1°/ ENTRE 20 ET 40 VICTIMES UNE GRANDE DIFFERENCE NON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
2°/ LISAIT BIEN L'ARTICLE RELATANT C E SOIS DISANT INCIDENT LES VICTIMES ETAIENT DANS L'ECOLE OU
AUTOUR DE CE LIEU SENSIBLE ??????????? D'OU DES TIRS DE MORTIER ONT ETE TIRE !!!!!!!!!!
3°/ SUR BFMTV ON VOIT L'INTERIEUR DE CETTE ECOLE AVEC DES FEMMES ET DES ENFANTS MAIS ON NE VOIT AUCUNE DEGATS APPARRANT ont MONTRE UN TROU D4EN UN MUR ANONYME .
4°/ CELA ME RAPPELLE L'HISTOIRE DE L'ENFANT QUI AURAIT ETE TUE DANS LES BRAS DE SON PERE A
JERUSALEM PENDANT L'ANTIFADA QUI C'EST REVELE ETRE UN MON TAGE !!!!!!!!!!!!!!
CELA SUFFIT CAR JUSTE LA VEILLE UNE ECOLE ISRAELIENNE AVAIT ETE TOUCHE ET DETRUITE PAR UN
MISSILE DU HAMAS MAIS LES ISRAELIENS SUIVENT LES CONSIGNES DE LEUR SERVICE DE SECURITE DONC
AUCUNE VICTIME DANS CETTE ECOLE;
5°/ TSAHAL ENVOIE DES AVERTISSEMENTS ECRIT SUR DES MESSAGES PREVENENT D'IMMINENT BOMBARDEMENT
6°/ LA BOUTIQUE D'ALIMENTATION QUE L'ON VOIE DANS LE REPORTAGE SUR BFM TV PENDANT LA TREVE
DE CE JOUR EST TRES ACHALENDE ET DES VENDEURS DE BROCHETTES DANS LA RUE SURPPRENANT POUR DES CIVILS SOIS DISANT AFFAME NON ??????????????????
JE VOUS LAISSE A VOS REFLEXIONS ET SUFFIT LES INTOXS PALOS; GERARD
Par Jean Tsadik, journaliste et écrivain
© Metula News Agency - le 07/01/09 – TRES HAUTE IMPORTANCE !
Le renseignement israélien est formel: les dirigeants du Hamas se terrent dans un bunker situé sous l’Hôpital Shifa à Gaza City. Plus précisément encore, sous le département de médecine pour enfants. Ismaël Hanya, le chef de la branche politique, Ahmed Jabaari, la brute béotienne, chef des brigades Ezzedine al-Qassam, et Mahmoud al-Zahar (chirurgien !), le no.2 de l’organisation islamiste à Gaza, jugent probablement que l’aile des enfants de l’hôpital est la plus sûre protection pour leurs misérables existences.
Paradoxalement, ces adeptes du terrorisme à outrance font confiance en l’humanité de l’armée israélienne, sachant pertinemment que les Hébreux ne bombarderont jamais un hôpital.
Second calcul, intégré désormais totalement dans la doctrine de combat des fondamentalistes à Gaza: si les Israéliens, malgré tout, frappent Shifa, les images des corps d’enfants palestiniens disloqués, qui s’étaleraient sur toutes les TV de la planète, constitueraient la meilleure propagande pour le Hamas. Car ces images sont devenues, particulièrement depuis l’enclenchement de l’offensive terrestre, l’arme de prédilection du califat islamique des Frères Musulmans à Gaza. Le Califat de Gaza étant le seul territoire géré par la puissante confrérie sunnite, ayant son centre spirituel et tactique à l’Université Al-Azhar au Caire.
L’"arme humanitaire" s’appuie sur une cohorte de proto-journalistes à Gaza, tous sympathisants du mouvement intégriste, tous musulmans, qu’ils collaborent à Al-Jazeera, à la BBC ou à FR24. Tout ce que ces "confrères", le plus souvent formés à l’Ecole Va-vite (à quelques notables exceptions près), rapportent, filment, montrent et commentent, ce sont les souffrances des civils blessés ou morts, du fait, exclusivement, de l’agression barbare des Israéliens. Ils répondent ainsi à un ordre, une injonction, une directive. Par idéologie religieuse, nationaliste ou politique, parce que c’est auxiliairement le vœu de la chaîne qui les emploie, ou, plus bêtement encore, parce que cela ne la dérange pas, ils acceptent de dévoyer notre profession pour la transformer en arme de guerre.
Et toutes les images de souffrance sont bonnes pour émouvoir le chaland occidental et déplacer les croyants dans les rues. Même qu’il y a trois jours, un médecin palestinien, ami fidèle de la Ména, écœuré, nous a signalé que le petit garçon que les télévisions montraient en boucle, alors qu’il était transporté, dans les bras de son père, dans un lit ensanglanté de Shifa, souffrait d’un furoncle au cou, qui n’avait, évidemment, rien à voir avec le conflit. Le médecin en question, l’un des seuls qui ne soit pas sympathisant islamique et à n’avoir pas été licencié lors du coup d’Etat vert de juin 2007, a terminé sa conversation téléphonique avec Sami El Soudi par la phrase suivante : "Maintenant, on a un Mohammed Al-Dura chaque heure".
Ce qui ne signifie certainement pas qu’il n’y a pas de victimes collatérales durant ce conflit, ce n’est sûrement pas ce que nous entendons dire. Ce sur quoi nous voulons éveillez le sens de l’observation de nos lecteurs, c’est qu’il n’y a assurément pas que des victimes civiles lors de la Guerre de Gaza. Partant de cette constatation simple, deux autres s’imposent inévitablement: il n’y a pas de journalistes dans la Bande, mais uniquement des auxiliaires de communication du Hamas. Cela n’empêche nullement les TV occidentales de diffuser leur message, sans avertissement, en le faisant passer pour de l’information.
Le sens de l’observation dont a fait preuve notre camarade Etienne Duranier dans son article Les media ont choisi leur camp, diffusé il y a trois jours, est édifiant. Il est parvenu à étonner tous les rédacteurs de l’agence. Depuis le troisième jour de Plomb fondu, aucune image en provenance de Gaza n’a montré de milicien islamiste. Ni soigné dans un hôpital, ni blessé ou mort sur le pavé, ni en faction, en défense d’une position tactique.
Selon les chiffres très conservateurs proposés par l’armée israélienne, les soldats hébreux auraient neutralisé plus de 150 miliciens durant ces dernières 24 heures. En application d’une règle proportionnelle, habituellement pertinente dans des conflits de ce genre, on dénombre entre deux et trois blessés pour chaque mort. Où sont donc passés ces morts et ces blessés ? Pas sur les écrans des publics-cibles, cela est une certitude.
Le fait que les médecins de Gaza ne présentent ni ne discutent jamais les cas des miliciens qu’ils traitent constitue également la preuve établissant qu’avant d'exercer la médecine, ils participent en plein à la guerre contre Israël.
Il n’y a qu’un seul succès qu’Hanya et Jabaari ont remporté lors de cette confrontation militaire. Il ne se situe pas sur le champ de bataille, où leurs hommes font plutôt mauvaise figure, mais au niveau de la transformation des medias audiovisuels en armes de guerre. Avec, il faut le mettre en évidence, la collaboration avenante des diffuseurs d’images.
Ceux auxquels nous avons demandé, DVD en main, de nous montrer l’image d’un seul milicien dans le matériel qu’ils ont infligé aux téléspectateurs en Europe et en Amérique n’ont pas renié les faits. Ils se sont juste montrés aussi surpris que nous l’avions été de la découverte de Duranier. Puis, se ressaisissant, ils nous ont tous fait remarquer que, parce qu’Israël interdisait l’accès de la Bande aux journalistes en poste chez lui, ils n’avaient que les images fournies par ceux de Gaza à présenter à leur public.
Nous, bien entendu, de poser la question : est-ce que l’impossibilité de filmer un conflit dans des conditions d’objectivité implique l’obligation de montrer des images non représentatives d’icelui, tout en sachant qu’elles participent de l’effort de guerre de l’un des belligérants ?
Cette conduite aboutissant à un postulat ridicule et inconcevable pour une chaîne de télévision occidentale : parler plusieurs heures par jour, en prime time, d’une guerre entre l’armée A et l’armée B, tandis que, pour les téléspectateurs, les combattants de B, vivants, morts ou blessés, n’existent pas visuellement.
On prend A et B, on retranche B, restent les images d’hommes en armes de A, pendant Noël et le Nouvel An, sur fond d’images de souffrances civiles, et sur les commentaires qui ne parlent que de cela. Comment voulez-vous, dans ces conditions, que le monde audiovisualisé ne déteste pas A ?
Il y a, à nouveau, stigmatisation coordonnée et contraire à toute déontologie d’Israël dans les medias occidentaux. Il faudra se pencher sérieusement sur ce problème lorsque les armes se seront tues.
Cette situation de l’image encouragera les membres du Conseil de Sécurité à accepter, durant la réunion de cet après-midi à Manhattan, une résolution contraignante, contraire aux intérêts d’Israël et du monde libre, qui, si l’allié américain ne met pas son veto, aura sauvé la peau et le régime d’Hanya, Jabaari et Al-Zahar. Ce serait le premier conflit perdu sur le terrain et gagné, tout de même, uniquement grâce à l’arme de la télévision.
Evidemment, c’est gravissime. Mais ce n’est toutefois pas ce qu’il y a de plus grave. Voyant l’usage qu’ils pouvaient faire du sang de leur propre peuple, les dirigeants de l’Organisation de la Résistance Islamique on franchi un pas de plus en direction de l’horreur absolue.
On avait vu le dictateur Saddam Hussein disposer des civils aux alentours de ses installations militaires afin de dissuader les Américains et leurs amis de les prendre pour cibles.
Hanya et Jabaari vont beaucoup plus loin dans l’usage cynique qu’ils font des civils : ayant constaté l’effet des images d’enfants et de femmes ensanglantées sur l’opinion publique, la rue arabe et les diplomates, ils n’utilisent plus les civils palestiniens – dont ils ont la charge de la sécurité en leur qualité de gouvernants de Gaza – afin de dissuader les Israéliens de frapper, mais, au contraire, afin d’attirer sur eux le feu de Tsahal.
Le cas s’est vérifié hier lors du drame de l’école de filles de Fakhura, gérée par l’UNRWA, dans le camp de réfugiés de Djabalya. Nous disposons des évidences indiscutables montrant que le Hamas avait placé deux miliciens lanceurs de mortiers, les frères Imad et Hassan Abou Askar (membres du clan Abou Askar, l’un des plus importants de Gaza ville), sur le toit de la salle où s’étaient réfugiées environ 400 personnes, qui ne se sentaient plus en sécurité chez elles.
De cette position, les Abou Askar canardèrent une position des forces israéliennes, l’obligeant à répliquer ou à perdre des soldats.
On peut, à propos de cette insupportable provocation, questionner également l’attitude des responsables de l’UNRWA à Gaza, son directeur John Ging et son porte-parole, traditionnellement fielleux à l’encontre d’Israël, autant que muet sur les tirs de roquettes contre le Néguev occidental, Christopher Gunness.
L’UNRWA, l’organisme onusien d’aide aux réfugiés palestiniens, a ouvert 23 de ses écoles à Gaza-City à l’hébergement d’environ 15 000 personnes, dont les habitats se situent en zones dangereuses.
Mais l’UNRWA dispose également de 9 000 employés dans la place, et la probabilité pour qu’ils ne se soient pas aperçus de l’activité des miliciens dans l’école de Fakhura n’est tout simplement pas crédible.
On connaissait la fonction humanitaire de l’UNRWA, mais on ignorait qu’elle avait pour vocation de servir de base d’attaques contre les forces israéliennes, participant ainsi à l’effort de guerre du Hamas.
Nous ne prétendons pas que Gunness et Ging avaient la possibilité d’obliger les miliciens armés d’aller mener leur guerre ailleurs. Ce que nous affirmons, en revanche, c’est qu’ils avaient l’obligation de prévenir Tsahal -- avec laquelle ils sont en contact -- de la situation. Non pour aider Tsahal, mais pour prévenir le décès inexcusable d’une trentaine de civils. L’attitude de l’UNRWA est d’autant plus inacceptable que le gouvernement d’Israël était intervenu à plusieurs reprises, directement auprès du Secrétaire général Ban-Ki moon, afin de dénoncer ce genre de collusion. Les démarches israéliennes étaient demeurées sans réponses opérationnelles en provenance de Manhattan.
Le problème tient en ce que, devant l’avance terrestre israélienne, le périmètre à partir duquel les terroristes peuvent lancer des roquettes sur les agglomérations israéliennes s’est réduit telle une peau de chagrin. Il ne leur reste plus que le centre de Gaza, où ils sont facilement repérables par les dizaines de drones et d’hélicoptères qui sillonnent l’éther en sans discontinuer. Or le Hamas, ainsi acculé, est entré dans une phase hystérique comprenant ces sacrifices humains ainsi que des attaques-suicide contre le contingent d’intervention israélien.
Hier, l’un de ces kamikazes, bardé d’une ceinture explosive, a tenté de se jeter sur des soldats israéliens. Stoppé net dans sa course, il est mort seul. Un autre, vêtu d’un uniforme de Tsahal, a fait irruption dans une position de l’armée : il a été abattu avant de pouvoir faire usage de sa Kalachnikov.
Il y a les miliciens lanceurs de mortiers, et les terroristes, lanceurs de Qassam et de Grad. Mais ils ne disposent plus d’accès aux vergers et aux terrains vagues pour exercer leur sale besogne, alors tous se collent littéralement à d’autres écoles, quand ils ne tirent pas à partir des étages occupés des HLM de Gaza, ou depuis leur toiture plate.
J’ai eu l’occasion, hier, de visionner les films tournés par les drones et lors des attaques par les hélicoptères. Ces images ne laissent aucune place au doute : la doctrine de combat des planqués sous l’hôpital Shifa consiste à sacrifier les lanceurs de projectiles et à attirer sur les civils dont ils s’entourent le feu des missiles de Tsahal.
Ne craignons pas de l’écrire, l’horreur de la fin de l’ère des Frères Musulmans à Gaza dépasse l’intelligible. Les dirigeants du Hamas, dans une dernière tentative pour sauver leur "empire" et surtout leur peau, sacrifient intentionnellement les femmes et les enfants de Gaza au dieu Pellicule. La caméra d’Al-Jazeera située à l’entrée de l’hôpital Shifa est l’autel de ce culte insensé.
Pour interrompre ce banquet de Moloch, Israël va, très rapidement, avoir à choisir entre ces trois options :
1. Passer à la phase 3 de Plomb fondu, en envoyant, aujourd’hui ou demain, les divisions de réservistes envahir Gaza.
2. Lancer une opération commando dans les sous-sols de l’Hôpital Shifa ou
3. Se retirer sans avoir terminé le travail, permettant aux monstres de renaître de leurs cendres, et confiant la solution diplomatique du conflit aux islamistes turcs d’Erdogan, aux passoires égyptiennes et aux Français, dont les soldats évitent déjà toute altercation avec les Hezbollanis, là, sous les fenêtres de notre rédaction.
Or nous l’avons écrit bien avant que quiconque ne parle de l’objectif réel israélien de neutralisation du Hamas: si, au terme de ce conflit, il ne reste ne serait-ce qu’un pan de Hamas debout, il se vantera d’avoir contenu Tsahal, d’avoir ainsi vaincu Israël, et il aura parfaitement raison de le faire.
De là à voir tous ceux qui ont pris part aux manifestations pro islamistes troquer leurs calicots pour des Kalachnikov, il n’y a que quelques années. Quant à ceux qui brûlent des voitures dans Paris, dont les propriétaires ne sont probablement ni israéliens ni même juifs, cela prendra même moins longtemps.
par le voix venu de Damas - oui
Par le maire de Gaza ville - possible sus condition
par la branche armée - non , jamais !
Ils parlent aussi des tracts pour avertir les civils !
Ils parlent que avec les convois rentrent malheureusement aussi des armes !
Et des boucliers humain !
Que le Hamas a énormément détournée de ce que est arrivée comme aide pour le peuple !