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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientL'enquête de l'ONU sur des crimes de guerre à Gaza se heurte à des obstaclesGAZA, Bande de Gaza - Un responsable de l'ONU qui a enquêté sur de possibles crimes de guerre commis par Israël et le Hamas lors de la guerre de décembre-janvier dans la bande de Gaza reconnaît que ses investigations ont peu de chances de conduire à des poursuites, faute notamment d'une instance judiciaire clairement compétente.
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Żegota était le nom de code de la Commission d'Aide aux Juifs (Rada Pomocy Żydom), une organisation clandestine en Pologne entre 1942 et 1945. Żegota sauva environ 75 000 Juifs polonais et délivra plus de 60 000 fausses identités et documents pour dissimuler les Juifs dans la population. Elle opérait dans la Résistance intérieure sous la tutelle du gouvernement polonais en exil ;
la résistance danoise qui, en 1943, met à l'abri en Suède l'ensemble de la communauté présente au Danemark.
Diplomates
Per Anger, diplomate suédois en poste à Budapest
Friedrich Born, diplomate suisse et délégué du CICR à Budapest, qui sauva entre 11 000 et 15 000 personnes
Sugihara Chiune, consul du Japon en Lituanie en 1940, qui délivra des milliers de visas à des Juifs qui purent ensuite traverser l'Union soviétique et sauver leur vie
Varian Fry qui, depuis Marseille, aida plus de 2 000 Juifs et militants anti-nazis (en particulier des intellectuels) à s'enfuir vers les États-Unis
Aracy Guimarães Rosa, agent de chancellerie brésilienne à Hambourg, épouse de l'écrivain João Guimarães Rosa
Carl Lutz, vice-consul de Suisse à Budapest
Angelo Rotta, nonce apostolique à Budapest
Angel Sanz Briz, diplomate espagnol, qui sauva environ 5 000 personnes à Budapest
Aristides de Sousa Mendes, consul du Portugal qui délivra des visas à Bordeaux, sauvant près de 30 000 personnes
Raoul Wallenberg, diplomate suédois qui a sauvé entre 20 000 et 100 000 personnes à Budapest
Personnalités politiques
Władysław Bartoszewski, résistant, opposant au communisme, ministre et sénateur polonais ;
Vytautas Landsbergis, père de son homonyme, le premier président de la Lituanie après la dislocation du bloc soviétique
Pierre Merli, responsable de l'Union démocratique et socialiste de la Résistance, sénateur puis député ;
Mohammed V, sultan puis roi du Maroc (1909-1961), refusa de mettre en œuvre la politique antisémite du gouvernement de Vichy[réf. nécessaire]
Olivier de Pierrebourg, député de la Creuse (1951-1973)
Paul Ramadier, président du Conseil français (1947), et sa femme Marguerite
Religieux
L'abbé Joseph André, plaça de nombreux enfants juifs dans des familles rurales des environs de Namur (Belgique).
L’abbé Pierre Bockel, prêtre alsacien, sauva plusieurs familles juives.
le père Pierre Chaillet, fondateur des Cahiers du Témoignage chrétien ;
le prêtre Théomir Devaux, résistant et protecteur de Juifs dans la Sarthe.
Le cardinal Pierre Gerlier, cardinal de Lyon.
L'abbé Alexandre Glasberg sauva plusieurs centaines de Juifs.
Jean-Baptiste Janssens, jésuite belge, plus tard supérieur général des jésuites.
le Père Marie-Benoît, surnommé Le père des Juifs qui protégea des milliers de Juifs à Marseille, Nice puis Rome
le cardinal Saliège, archevêque de Toulouse
Pierre-Marie Théas, évêque de Montauban.
le pasteur André Trocmé, fondateur du Collège Cévenol du Chambon-sur-Lignon ;
Chefs d'entreprise, enseignants et personnalités diverses
Hermann Friedrich Graebe ingénieur allemand en poste en Ukraine est le témoin d'un massacre de masse perpétré contre des Juifs à Doubno. Il devient un farouche défenseur et sauve de très nombreux juifs. Il émigre aux États-Unis après la guerre et soutiendra la cause des Juifs jusqu'à sa mort
Tadeusz Pankiewicz, pharmacien polonais qui a activement aidé les Juifs du ghetto de Cracovie. Sa pharmacie s'était retrouvée en plein milieu du ghetto, il a été le seul non-Juif à rester dans le ghetto et à tenir ouverte sa pharmacie jusqu'au jour de la liquidation[16]
Giorgio Perlasca, homme d'affaires italien bloqué à Budapest, qui sauva 5 000 personnes en se faisant passer pour le consul d'Espagne ;
André Romanet, instituteur à Salles-Arbuissonnas-en-Beaujolais, et son épouse Simone Romanet[17],[18],[19]. Le livre de souvenirs d'André Romanet a été préfacé par Georges Charpak.
Oskar Schindler, chef d'entreprise allemand, et son épouse Emilie qui ont sauvé plus de 1 100 personnes en les faisant travailler dans sa fabrique d'émail et de munitions située alors en Pologne (actuellement en République tchèque) ;
Irena Sendlerowa qui a contribué à sauver 2 500 enfants du ghetto de Varsovie ;
la comtesse Erszébet Szapary, née le 2 juin 1902 à Budapest et décédée le 26 mai 1980 à Lausanne). Le certificat d'honneur de Yad Vashem lui a été décerné à titre posthume le 12 novembre 1998[20] pour avoir sauvé des Juifs avec la Commission hungaro-polonaise des réfugiés fondée en 1940. Elle était l'amie intime de Katalin Andrássy, femme de l'ancien président de la République de Hongrie Mihály Károlyi.
Germaine Ribière, militante catholique française, membre de la Résistance, qui sauva de nombreux juifs.