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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientIsraël exclut un gel de la colonisation sans contrepartie des PalestiniensIsraël exclut un gel de la colonisation en Cisjordanie occupée, exigé par les Etats-Unis, sans contrepartie des Palestiniens et des pays arabes, a indiqué jeudi un ministre israélien."On ne peut pas exiger un paiement immédiat et total de la part d'Israël alors que l'autre partie n'est pas prête à...
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Dernière mise à jour, il y a 45 minutes
Un malentendu donc
Sans rancune
les media et les politiques sont plus des manipulateurs que des "imbéciles", bien que le premier n'empêche pas le second, lol
Il y en a de moins ignares mais nettement antisémites.Ceux là aussi se complaisent à relever tout ce qui peut desservir Israël . Il n'y a qu'à entendre le choix de leurs mots, l'unilatéralité de leurs reportages en faveur des palestiniens, les 3 secondes et encore! accordées aux victimes israéliennes et on embraye tout de suite sur des images des pauvres palestiniens oppressés qui n'ont que ces moyens pour se défendre...et on 'entend des phrases telles que: "je n'approuve pas les attentas MAIS...je comprends le désespoir de leurs auteurs"...
Je suis révulsée d'entendre ces commentaires. on renvoie dos à dos les assassins, les négationnistes de notre existence, et les victimes israéliennes, le ras le bol d'un pays qui de temps en temps, quand trop c'est trop, réagit !
C'est de l'antisémitisme primaire déniant aux Juifs le droit de se défendre
On oublie trop souvent que l'antisémitisme a la vie dure, qu'il est toujours là, tapi dans l'ombre, explosant de temps à autre, comme un volcan assoupi mais jamais éteint
Yehudit
Il aura donc fallu attendre que la répression islamo-fasciste vienne à bout des derniers manifestants pour que Barack Obama, ci-devant chef du monde libre et donc représentant de ses valeurs, se pique d’un encouragement autant discret que tardif en direction de l’opposition iranienne: “Les manifestants doivent savoir qu’ils ne sont pas seuls “, a-t-il osé dire, élevant ainsi le cynisme politique vers des sommets rarement atteints.
Il est vrai que le champion des beaux discours, le roi de la formule qui fait mouche, a fait preuve dans cette affaire d’un surprenant mutisme. Mais il faut le comprendre. Voila des mois que la nouvelle administration américaine s’évertue à prôner le dialogue avec les fous d’Allah comme unique moyen de régler les questions en suspend, y compris le danger nucléaire, et voila que ces naïfs d’Iraniens se mettent à parcourir les rues de Téhéran en hurlant leur soif de Liberté et de Justice, et en réclamant le respect des Droits de l’Homme. Et le dialogue, dans tout ça, vous en faites quoi, du dialogue?! Non seulement les manifestants iraniens ont été perçus à Washington comme des empêcheurs de dialoguer en rond mais en plus, en s’obstinant à réclamer l’abolition de la loi islamiste dans leur pays, ils ont fait passer Ahmadinejad pour un dictateur fanatique. Pourquoi ne pas inclure l’Iran islamiste dans l’Axe du Mal, pendant qu’on y est! C’était bien la peine de renvoyer les néo-conservateurs dans leur Texas natal et de caresser au Caire les islamistes dans le sens du voile pour en arriver là!
Mais heureusement tout est en train de rentrer dans l’ordre. “Les manifestants iraniens avaient besoin pour réussir de sentir un vigoureux soutien international. Au lieu de cela, ils n’ont entendu que des bégaiements honteux de la part des responsables occidentaux!”, a dit il y a quelques jours un haut fonctionnaire, spécialiste des questions iraniennes. Et dire qu’il aurait suffi qu’Obama montrât dans cette affaire le quart de la résolution dont il fait preuve pour stigmatiser le rajout d’une caravane juive à Avney Heffets pour que les choses prennent un autre tournant!
L’Union européenne ne s’est pas montrée plus courageuse. A l’exception notoire d’une Angela Merkel qui sauva l’honneur du Vieux Continent par ses déclarations de soutien sans ambiguïté à la jeunesse iranienne (modérons malgré tout notre enthousiasme: ces déclarations ne furent pas suivies de sanctions économiques. L’Allemagne reste le pays d’Europe le plus engagé dans le développement des infrastructures en Iran).
Mais, à l’heure des comptes et du bilan, le plus surprenant ne sera pas le silence gêné, ou les circonvolutions oratoires prises par les dirigeants occidentaux pour soutenir du bout des lèvres les courageux combattants de la liberté en Iran. Après tout, que peut-on raisonnablement attendre de chefs d’Etat coincés entre les intérêts de leur realpolitik et les impératifs des valeurs auxquelles ils sont censés croire? Le plus étonnant restera le silence assourdissant de tous les spécialistes de la lutte pour les grandes causes, de tous ceux qui se réveillent dès qu’un soldat israélien se lance à Hébron ou à Gaza dans la lutte antiterroriste.
Où sont-ils donc tous passés, ces manifestants qui, de Bruxelles à Madrid et de Paris à Stockholm, défilèrent tous les jours pour réclamer le boycott d’Israël, pour accuser le sionisme de tous les maux de la terre, pour crier leur solidarité avec la soif de liberté du peuple palestinien martyrisé, pendant que Tsahal tentait de redonner aux habitants de Sdérot et d’Ashkelon le droit de ne pas vivre terrés dans des abris? Les éminents professeurs de fac britanniques qui exigèrent de boycotter les facs israéliennes, ne sont-ils pas reliés à Internet? Ne regardent-ils pas les images diffusées par Youtube? Ne savent-ils pas que des policiers iraniens en moto armés de couteaux égorgent les manifestants?
Neda Soltani a été tuée dans les bras de son père. Tout le monde a vu son visage ensanglanté. Nul besoin ici d’une mise en scène à la Enderlin comme dans l’affaire de Netsarim. Où sont-ils donc passés tous ceux qui avaient à l’époque relayé l’image pour la passer en boucle dans toutes les télévisions du monde? Par quel miracle le portrait de Neda n’est-il porté dans les rues des capitales européennes que par des iraniens en Exil alors que celui du petit Mohamed était devenu le symbole de l’horreur absolue, celui d’un enfant innocent assassiné par des soldats pour leur plaisir sadique?
Ce que les évènements d’Iran ont démontré, c’est d’abord qu’il existe des musulmans épris de liberté et qu’ils sont des millions. Que ces musulmans-là refusent de laisser les Haminayi, Ahmadinejad ou Nasrallah parler en leur nom. Qu’ils veulent un autre Islam, un Islam à visage plus humain. Mais que nombreux sont aujourd’hui les occidentaux qui leur préfèrent les Ayatollah! Sont bien gentils, ces Iraniens, semblent-ils dire, mais peut-on vraiment leur faire confiance? S’ils arrivaient au pouvoir, les drapeaux américains et israéliens continueraient-ils à brûler dans les rues de Téhéran? Pire, s’ils prenaient le pouvoir, est-on sûr qu’ils maintiendraient l’état de guerre avec l’Entité sioniste?
Bref, il vaut mieux en attendant ne pas regarder youtube et ne pas trop se relier à Internet. De toute façon, on peut faire confiance aux méthodes musclées des Ayatollahs: la révolte sera bientôt matée.
Gageons qu’à la prochaine opération israélienne, leurs ordinateurs seront réparés et qu’ils retrouveront alors l’usage de la parole, de la condamnation ferme et de l’appel aux sanctions politique et économiques.
Les droits de l’homme, finalement, c’est une affaire de géographie…
Arrêtez-moi si je dis des bêtises…
par Elie Kling
Actu.co.il
Tout laisse à penser que la date butoir du 7 juillet prochain ne sera pas celle d’un accord de réconciliation entre les frères ennemis palestiniens , comme cela était prévu, mais au contraire celle du déclenchement “officielle” de la guerre civile palestinienne.
Aujourd’hui déjà entre l’Autorité Palestinienne et le Hamas, c’est la guerre. Pendant que les négociations entre les deux entités dérivent sans but au Caire, sans la moindre chance de mener à un quelconque rapprochement, les luttes entre les frères ennemis continuent à merveille sur le terrain. Les Discussions se sont avérés INUTILE, VAINE et surtout STERILE.
Depuis le début il y’avait des doutes que l’Egypte parvienne à l’objectif qu’elle s’était fixé : obtenir un accord de réconciliation d’ici le 7 juillet prochain. A l’heure actuelle, il semble en effet peu probable que l’on puisse parvenir à obtenir simultanément un calme prolongé dans la bande de Gaza, la réconciliation entre le Fatah et le Hamas et la libération de Guilad Shalit.
Le 23 Juin dernier, le porte-parole du Hamas, Faouzi Brahom, a accusé le Premier ministre palestinien, Salam Fayyad, de constituer “la pire menace” qui existe contre le peuple palestinien, après que ce dernier a affirmé le 22 juin au soir que la Feuille de route et le plan de paix arabe représentent la base du processus de paix. “Fayyad n’a aucun mandat pour parler de l’unité nationale” a ajouté Brahom, “car il défend la collaboration sécuritaire avec l’ennemi sioniste, et représente en cela le péril le plus grand auquel s’expose le peuple palestinien”
Le 29 juin l’Autorité palestinienne a affirmé, de son coté, avoir démantelé une cellule du Hamas qui planifiait des attentats contre des responsables palestiniens et des bâtiments publics en Judée Samarie. Lors d’une conférence de presse convoquée d’urgence au quartier général de l’Autorité palestinienne à Ramallah, son secrétaire général, Tayeb Abdelrahim, a affirmé que les attentats planifiés visaient à saboter le dialogue de réconciliation entre le Fatah, le parti du président Mahmoud Abbas, et le Hamas. Le Hamas a toutefois rejeté ces accusations.
Le président palestinien, dans un entretien accordé ce premier juillet 2009 à une chaîne de télévision russe en langue arabe (Russia al youm, Russia Today), a fait savoir de manière certaine que le Hamas amassait des armes et prévoyait de porter atteinte à des hauts responsables de l’Autorité palestinienne avant le 7 juillet, date où les islamistes et le Fatah doivent en principe signer un accord de réconciliation.
Selon Mahmoud Abbas, des membres du Hamas arrêtés il y a peu de temps en Judée Samarie ont avoué avoir reçu pour mission de perpétrer des attentats, et deux tonnes d’explosifs ont été saisies par les services de sécurité de l’Autorité palestinienne. “Le Hamas réunit des armes légères et lourdes, des explosifs, ainsi que des uniformes de la garde présidentielle, et prépare quelque chose. Nous suivons la situation de près car nous savons qu’une cellule islamiste a l’intention d’éliminer des hauts responsables de l’Autorité palestinienne” a encore précisé le président Abbas.
Ce regain de tension entre Fatah et le Hamas a déjà était perçus même à un mois avant la date butoir du 7 juillet, date où le Hamas le Fatah doivent en principe signer un accord de réconciliation. Des affrontements sporadiques entre forces de sécurité et des miliciens du Hamas en Judée Samarie ont fait une dizaine de morts au début du mois dernier.
Des fusillades entre les forces de sécurité loyales au Fatah (police palestinienne du président Mahmoud Abbas) et des terroristes du Hamas avaient éclaté .Neuf personnes avaient été tuées à Qalqiliya lorsque la police était intervenue dans une cache du Hamas. C’était le bilan le plus lourd d’affrontements entre le Fatah et le Hamas depuis deux ans et la prise de contrôle de la Bande de Gaza.
Le membre des Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche militaire du Hamas, s’étaient retranchés dans plusieurs bâtiments, encerclés par les forces de sécurité. Selon le quotidien « Al Hayat », les policiers palestiniens ont perquisitionné une maison de Qalqiliya, où ils ont découvert un tunnel dans lequel étaient barricadés trois islamistes armés. La police a alors encerclé la maison et invité les islamistes à se rendre. Ceux-ci ont refusé et ont tiré à bout portant, tuant un policier. Les forces de sécurité ont donné l’assaut et abattu les trois militants du Hamas. Selon le quotidien, ces trois portaient des ceintures piégées pour se faire sauter après leur arrestation. Ils ont été abattus avant de pouvoir actionner les charges.
Selon des sources palestiniennes, les trois membres éliminés (Alaa Abou Ziab, Mahmoud Attiya et Iyad Al-Abtali) étaient recherchés par Israël depuis cinq ans, et par l’Autorité palestinienne depuis un mois et demi. Ils figuraient parmi les éléments les plus dangereux du Hamas en Judée Samarie.
Selon une enquête de l’organisation al-Haq pour la défense des Droits de l’Homme publiée le 18 juin , les terroristes du Hamas ont été les premiers à ouvrir le feu.
Cette fusillade avait accentuer les tensions entre le Fatah de Mahmoud Abbas et le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza depuis juin 2007 après avoir mis les forces du Fatah en déroute.
La guerre fratricide entre les factions palestiniennes est loin d’être terminée. M. Obama a demandé à Abou Mazen qu’il fasse régner l’ordre dans les territoires qu’il contrôle, et qu’il s’attaque, sans état d’âme, au terrorisme islamiste. Le pensionnaire de la Maison Blanche a “encouragé” Abbas concerter sa campagne contre le Hamas avec les Israéliens, et à faire large usage des forces de l’Autorité qui ont été formées par le général américain Keith Dayton.
Le message était bien assimilé à Ramallah qui est déterminé à nettoyer la zone .Les policiers d’Abbas ont réussi à abattre Abdullah Majid Dudin, le commandant régional du Hamas et l’un des hommes-clés de la Résistance Islamique à l’ouest du Jourdain. Mohamed Saman, le commandant du Hamas pour le nord de la Samarie, qui a été neutralisé à Qalqiliya, était aussi un homme dangereux et très recherché par la police palestinienne.
La coordination entre l’AP et l’Etat hébreu et deux actions de ce genre, avec objectif commun – couper la tête aux cellules terroristes – et modus operandi similaire, ne peuvent en effet pas être le fruit du hasard. D’après l’autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, cette opération s’inscrit dans le cadre de la lutte renforcée des autorités contre les miliciens du Hamas en Judée Samarie impliqués dans la fabrication d’explosifs et les transferts de fonds à Gaza.
L’Autorité Palestinienne semble pour une fois sérieuse dans la lutte contre le terrorisme .Suite aux échanges de coup de coups de feu entre Hamas et Fatah à Qalqiliya, l’Autorité palestinienne a décrété le couvre-feu partiel dans la ville. Mais les islamistes armés, membres des brigades Ezzedine Al-Qassam, ont défié la police de Mahmoud Abbas à Qalqiliya, au nord de la Judée Samarie. Les islamistes et leurs commanditaires à l’étranger s’acharnent à maintenir le cap de l’absurde. Ils règnent ainsi sur un champ de ruines, hanté par des administrés hagards, sans aucun moyen.
Le Hamas islamiste, qui a délogé en juin 2007 du territoire les forces fidèles à M. Abbas à la faveur d’un sanglant coup de force, est responsable d’une série de crimes révélant des groupes criminels hors la loi. Ces racailles se conduisent exactement comme les nazis avant leur prise de pouvoir ; les commandos de la mort : les bûchers (1942- 1945).
HAM ISRAEL HAYE (et que les palos rentrent ENFIN chez eux, en Jordanie. On verra alors si le "roitelet", flanqué de sa "merveilleuse épouse people" (qui a aussi intérêt à porter des talons plats, pour être "à la hauteur" de son nabot de mari), aura la même patience qu'Israêl. Wait and see)