Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

si c'est mazouz qui s'occupe de liberman ça va être chaud ...

ce mazouz est un anti sioniste de premiere, un digne membre de shalom arshav

Oui Buffalo soldier et c'est justement cela que je crains!!! il a lui meme déclaré que cette affaire était politique et hélas, j'ai bien peur qu'in ne gêne pas mal de gens, étant donné tout ce que l'on peut entendre sur certaines chaines de radios Juives et à l'étranger!!! d'ailleurs, il faut remarquer que les voeux de certains sont exaucés, lorsque certains refusent de le recevoir, l'on s'abstient de l'envoyer là où son poste l'oblige à être!!! et c'est à présent Barak qui cumule les 2 fonctions, il suffit de prendre un air dégoûté et de faire un grand geste de la main, comme si Lieberman était un pestiféré!!! mais bon sang, c'est lui, le ministre des Affaires étrnagères!!! qu'on se le dise!!! c'est fou comme l'on peut manquer de respect à Israël, tout comme ce Solana et bien d'autres, qui osent donner un ultimatum à un pays souverain:" vous avez ce laps de temps pour vous décider, dans le cas contraire, l'on disposera de certains morceaux de votre pays pour les distribuer en cadeau!!!" c'est la première fois, je crois que l'on entend une énormité pareille!!!! il ne faut rien céder, sinon, cela deviendra pire!!!!

De toute façon, même si Avigdor Lieberman était empêché d'agir par ceux qui, en Eretz, sont les " correspondants " Shalom Akhshav " de Rahm Emanuel, le poids parlementaire d' " Israël Beiténou " n'en serait pas changé pour autant et il ne tiendrait qu'à Bibi de bien montrer qu'il ne désavoue nullement les alliances conclues et qu'il n'a pas l'intention de se laisser imposer un changement de coalition : ni par Obama; ni par Sarko; ni par Solana. Pour cela un moyen très simple : que l'éventuel successeur de Lieberman aux Affaires étrangères soit du même parti : par exemple l'excellent vice-ministre des Affaires étrangères, Dany Ayalon.

Le référendum sur le Golan en route

Le Premier ministre a donneé son feu vert pour que se réunisse demain la une commission spéciale, dirigée par le président de la coalition, Zeev Elkin, et dont l’objectif est de remettre sur les rails le fameux référendum sur le Golan. Si les députés, qui sont également membres des Commissions parlementaires de la Knesset et des Loi, se mettent d’accord, il sera alors possible de redémarrer là où les choses s’étaient arrêtées la fois précédente, et de présenter la Loi de Référendum directement en 2e et 3e lectures. Selon cette loi, toute concession territoriale sur le Golan dans le cadre d’un accord avec la Syrie, nécessiterait l’adhésion d’au moins 61 députés de la Knesset.

MMmouais ... Je ne suis pas député à la Knesset ... Mais ne peut-on envisager la disposition suivante : " Toute cession de territoire sous contrôle israélien devra recevoir l'approbation d'au moins 500 députés de la Knesset " ?

D'accord avec Edmond. Même sans connaissance des lois israéliennes, un peu de précaution serait absolument indispensable. A voir en détail entre députés israéliens à la Knesset (si possible sans les arabes israéliens).

Trop de démocratie tue la démocratie, surtout quand on a des pervers en face de soi qui ne respectent pas les mêmes règles, et n'appliquent que LES LEURS.

HAM ISRAEL HAYE (en protection "écran total" pour Israêl et sa population)

100 nouveaux olims de france arrivent aujourd'hui et ils discutent du Golan encore et encore...

Le chef de l’équipe de négociations palestinienne, Saeb Arekat, a exprimé clairement les positions de l’AP au sujet de la construction à Jérusalem. Il a déclaré que le Premier ministre Netanyahou savait pertinemment qu’il n’y aurait aucune paix entre Israël et les Palestiniens « si Jérusalem-Est ne devenait pas la capitale de l’Etat palestinien ». Il a estimé que les propos tenus dimanche matin par Netanyahou nuisaient aux efforts déployés en faveur de cette paix.

Les Américains réclament l’interruption de la construction d’un hôtel, dans le quartier de Sheikh Jerah’, à Jérusalem. L’ambassadeur d’Israël à Washington Michael Oren a été convoqué en fin de semaine au Département d’Etat pour s’entendre dire que les travaux devaient cesser immédiatement. Il est question d’un projet privé sur un terrain appartenant au millionnaire juif américain Erwin Moskowitz. Oren aurait répondu qu’Israël construisait depuis quarante ans à Jérusalem comme dans la Arava et que « la situation n’était pas comparable à celle des implantations ».

Obama se trompe d'époque : le temps où Jérusalem était sous protectorat et sous autorité d'une puissance mandataire étrangère est terminé. Depuis le 14 mai 1948, très précisément. S'il veut faire tourner la roue de l'Histoire à l'envers, comme on dit, il lui faudra envoyer des troupes d'occupation à Jérusalem. Et, outre le fait que ce n'est pas acquis d'avance ( je suis même prêt à parier qu'un pareil projet se heurterait, au Conseil de Sécurité, à un veto ... russe ... ), je lui souhaite bien du plaisir s'il s'y risquait ...