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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientBarack Obama proche d'un accord de paix au Moyen-OrientBarack Obama est proche de trouver un accord Israélo-palestinien qui pourrait lui permettre de clore la période de blocage avant la fin du mois prochain, d'après des officiels Américains, Israéliens, Palestiniens, et Européens. La clé pour qu'Israël adhère est que les Etats-Unis promettent d'adopter une ligne beaucoup plus dure vis-à-vis de l'Iran et de sa supposée arme nucléaire. Les Etats-Unis, ainsi que la France et la Grande-Bretagne, comptent faire pression pour que le conseil de sécurité des Nations Unies étendent ses sanctions avec des leviers capables de paralyser l'économie iranienne. En retour, le gouvernement israélien devra adhérer à un gel partiel des constructions dans les colonies. Les détails de cet accord, qui marque un vrai progrès, sont étudiés à Londres, où le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, doit discuter avec le délégué spécial américain, George Mitchell. Netanyahou a rencontré Gordon Brown mardi 25, pour aborder les questions des colonies et du programme nucléaire iranien. Barack Obama aurait souhaité annoncer la conclusion de l'accord avant le début du ramadan, mais les négociations n'étaient pas achevées avec Israël et les pays arabes. Il compte faire son annonce avec Benjamin Netanyahou et Mahmoud Abbas à ses côtés' et le plus de leaders de pays arabes possibles (autant qu'il pourra en rassembler) et espère atteindre l'accord final de paix en deux ans: un objectif jugé irréaliste par les analystes spécialisés dans les questions de Moyen-Orient. Après la rencontre avec Gordon Brown à Londres, B. Netanyahou a exprimé ses espoirs de voir un compromis aboutir pour permettre de redonner un élan au processus de paix, et «continuer de vivre des vies normales». Brown a souligné qu'il ressortait de ces parlementations plus optimiste qu'il n'y était entré, concernant la paix au Moyen Orient. L'une des questions qui se pose est l'assentiment de la Russie et de la Chine concernant les sanctions qui seraient prises à l'égard de l'Iran en échange d'un arrêt des constructions dans les colonies de la part d'Israël. Il est probable que Moscou et Pékin s'opposent à des mesures punitives et à une volonté d'étouffer l'économie de Téhéran' des mesures qui iraient à l'encontre du consensus international trouvé jusqu'à aujourd'hui. L'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique) doit publier un rapport avant la fin de la semaine et le directeur de l'agence, Mohamed El Baradei, a subi des pressions pour rendre le rapport plus critique vis-à-vis de Téhéran. Bien que les négotiations se tiennent en privé, elles sont à un stade si avancé que la France et la Russie se sont déjà proposées pour accueillir la conférence de paix. [Lire l'article complet sur Le Guardian] (Image de une: Reuters/Benjamin Netanyahou à une conférence conjointe avec Gordon Brown à Londres) Vous souhaitez proposer un lien complémentaire sur ce sujet ou sur tout autre sujet d'actualité? Envoyez-le à infos @ slate.fr Articles connexes
4 commentaires
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Si abbas croit avoir affaire à son précédent pote olmert, il se fourre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude.
Le bureau des lamentations, où le renard abas obtenait TOUT en échange de RIEN est définitivement clos, du moins je l'espère pour Israel. Les cadeaux c'est fini, il va falloir que les palos et leur chef (pour le mom
ent) se retroussent les manches et bossent un peu plus.
Et il faudra remettre sur la table, en priorité absolue, la question de ce malheureux soldat franco-israélien Guilad Shalit, emprisonné depuis + de 3 ans, et dont personne n'a de nouvelles, sans que cela n'émeuve outre mesure la soi-disant caritative croix rouge, grande amie du croissant rouge. Ceci expliquant cela...
HAM ISRAEL HAYE (devant le gourbi d'abbas pour mieux cibler la future rencontre
Heureusement qu'il y a Quelqu'Un qui ne permettra pas que ces louphoques microscopiques fassent du mal à Son Peuple. Le fait est que ce n'est pas papa Noel et Il veut voir notre foi. Si nous montrons que nous n'avons pas peur, Il va nous aider. Sinon, pas de cadeaux, on va payer. ?qis surement, aucune des nations pourra à jamais s'emparer de la Terre qu'Il nous a donné. Ni par la guerre, ni par les concéssions stupides.
Edoardo Récanati
Son engagement [modifier]
Dans les années 1950, Abbas commence à s'impliquer fortement dans la politique palestinienne. Il part s'installer au Qatar où il occupe un rôle important dans le service civil de l'émirat en tant que directeur du personnel. Il fait rapidement fortune sans jamais abandonner son engagement envers la cause palestinienne. D'ailleurs, il se charge de recruter un grand nombre de ceux qui deviendront des personnages clés dans l'Organisation de libération de la Palestine.
Abbas est également l'un des membres fondateurs du Fatah en 1959 avec Yasser Arafat et Farouk Kaddoumi ; il s'occupe de collecter des fonds pour sa création grâce à ses relations dans le Golfe. Mais il ne rejoint le groupe armé officiellement qu'en 1961, en adoptant comme nom de guerre celui d'Abu Mazen (père de Mazen, son fils aîné). Il est de coutume dans les pays arabes de « renommer » les personnes d'une certaine maturité par un tel nom.
Durant les années 1960, 1970 et 1980, il suit Yasser Arafat dans ses divers lieux d'exil. Considéré comme modéré, il se rapproche discrètement de la gauche israélienne ,et encourage des contacts entre l'OLP et des milieux de gauche israéliens . Il s'oppose aux vues des extrémistes des différents mouvements palestiniens. Mohammed Daoud Odeh, le cerveau de la prise d'otage des athlètes israéliens lors des Jeux olympiques de Munich, affirme qu'il y est impliqué[réf. nécessaire].