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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient[ International ] Suède-Israël - Relations tenduesLe ministre des Affaires étrangères de la Suède, qui assure la présidence de l'Union européenne, annule une visite en Israël. La presse israélienne évoque le froid provoqué par un article controversé sur le comportement de l'armée israélienne.
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17 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 53 minutes
Du moment que les arabes envahissent le nord cela fera des arabes en moins en Israël
en effet l'expression "pois-chiches enturbannés" me fait beaucoup rire!!!!!
Viviane HAM ISRAEL HAYE , que veut dire cette expression s'il te plait ?
Je attend infiniement Rosh H'shana!!! J'adore le Miel!!!!
Shavoua Tov!
lorque vous parler et defender Israel ...Israel vous aime j 'en suis sûre et certaine ...
En France, les hordes de la CAPJPO-EuroPalestine veulent empêcher un match qui opposera les Girondins de Bordeaux à l’équipe israélienne du Maccabi Haïfa.
Les islamofascistes reprennent le sentier de la guerre et voilà que sous leur houlette, « une coordination (de la CAPJPO) se met en place dans la cité girondine pour organiser la riposte », ce qui signifie que les troupes d’Olivia Zémor préparent d’ores et déjà leurs slogans haineux et leur rhétorique anitijuive pour empêcher une rencontre sportive sur le sol français sous prétexte d’un conflit pourtant localisé au Moyen-Orient.
Qu’a donc à voir le sport, et notamment le football, avec la prétendue cause palestinienne? A en croire les partisans du boycott de tout ce qui émane de près ou de loin Israël, permettre à la dangereuse équipe du Maccabi Haïfa de jouer contre les Girondins de Bordeaux équivaudrait à opprimer le pauvre peuple palestinien. C’est en tout cas comme cela que la situation est présentée par la CAPJPO. N’est-ce pas là une énième tentative d’importation d’un conflit dans une zone et dans un domaine qui lui sont strictement étrangers ? Car pour la CAPJPO, même une inoffensive rencontre sportive est considérée comme une menace pour la sacro-sainte cause palestinienne : « Bordeaux, ses habitants, ses supporteurs de football, accepteront-ils la tenue du match, comme si de rien n’était, alors que de l’autre côté de la Méditerranée, l’armée israélienne et son gouvernement étranglent tout un peuple ? »
Et pourquoi les Bordelais, qu’ils soient ou non amateurs de football, devraient-ils boycotter un match de football ? A moins que la CAPJPO ne considère Bordeaux comme un vaste centre commercial à l’effigie de Carrefour où elle a pu jusqu’à présent sévir en toute impunité!
Alors disons-le ici bien haut : ce match doit avoir lieu. Et il aura lieu. N’en déplaise aux troupes d’Olivia Zémor, Bordeaux affrontera les Israéliens du Maccabi Haïfa dans la poule A de la Ligue des Champions 2009/2010. La CAPJPO n’empêchera pas Bordeaux de recevoir le Maccabi Haïfa pour le match aller le mercredi 30 septembre 2009. Tout comme elle n’empêchera pas le Maccabi Haïfa de recevoir Bordeaux pour le match retour le mardi 8 décembre 2009.
Source : Europalestine.
et gentille garçon!! Mais dès que quelqu-un me "cherche",alors la..............,moi je le trouve sans perdre de temps!!
Voir mon point vu avec les muzz's!!! Laila Tov Mon Chère!!
Après s’être initialement opposé à cette tactique, il a été convaincu, écrit-il, que les pressions extérieures sont « la seule manière de sauver Israël de lui-même ».
Il s’était préparé à un retour de bâton, mais pas du genre de ce qu’il a affronté ces dernières semaines : des membres de la Knesset israélienne, tous partis politiques confondus, ont demandé son renvoi immédiat ; le ministre de l’Éducation a qualifié son article de « répugnant » et la présidente de son université l’a voué aux gémonies en disant « des personnalités et des universitaires animés de tels sentiments devraient se chercher un foyer personnel et professionnel ailleurs ». Elle a ensuite laissé entendre que l’article en question pouvait être assimilé à un acte de trahison.
De toute évidence, pour ceux qui croient que faire pression sur Israël est nécessairement un acte anti-juif, le BDS - qui fait partie de ce que l’on appelle la stratégie sud-africaine - dépasse les limites.
Mais pour ceux qui le proposent, le BDS est une tactique non-violente qui peut faire pression sur Israël pour qu’il se conforme au droit international et qui aura un impact là où les efforts des gouvernements ont échoué, et échoué misérablement.
Bien que la société civile palestinienne ait lancé l’appel au BDS en 2005, celui-ci a pris son élan après l’attaque israélienne brutale contre Gaza, en décembre et janvier derniers.
Le mouvement prend indéniablement de l’ampleur, particulièrement dans le monde artistique. Des écrivains respectés comme John Berger, Eduardo Galeano et Adrienne Rich l’ont tous appuyé et plusieurs festivals de films israéliens ont été boycottés.
Récemment, quand le festival international du film de Toronto (10-19 Septembre), deuxième festival du film le plus important du monde (après Cannes), a annoncé qu’une séance spéciale de « ville à ville » célébrerait Tel-Aviv, il a menacé de dégénérer en protestations véhémentes.
Une des personnes les plus en vue qui ont soutenu l’appel au BDS est l’auteure et militante canadienne, Naomi Klein, qui connaît régulièrement un énorme succès de foule, qui jouit d’une importante couverture médiatique et dont les livres se vendent comme des petits pains lors de ses tournées de promotion dans le monde.
Quand elle a publié son dernier best-seller TThe Shock Doctrine en hébreu et en arabe, Klein a décidé que la situation politique en Israël et en Palestine appelait une approche entièrement différente.
Opposée à l’occupation israélienne, elle a décidé de ne pas signer un contrat traditionnel pour son livre avec avances et droits d’auteur. Au lieu de cela, elle a fait don de ce livre à Andalus, une maison d’édition qui travaille activement contre l’occupation. C’est le seul éditeur israélien qui se consacre exclusivement à la traduction d’arabe en hébreu, ce que sa fondatrice, Yaël Lerer, appelle « faire de l’édition un acte de résistance ».