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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientTensions avec la JordanieLes violences sur le Mont du Temple, provoquées par des émeutiers arabes, ont suscité la colère des Jordaniens qui considèrent qu’Israël en est responsable. D’après le journal Al Quds Al Arabi, le gouvernement jordanien aurait adressé un message virulent aux autorités israéliennes dans lequel il aurait menacé de renvoyer l’ambassadeur d’Israël à Amman, Yaakov Rosen. [...]
8 commentaires
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Il y a 3 heures - Kountrass
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2 Mai 2025 - Le Figaro
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28 Juillet 2014
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27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
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Dernière mise à jour, il y a 11 minutes
Qu'en pensez-vous, 'haverim, 'haverot ?
Je partage à 100% votre analyse. Il est clair que les mois à venir seront (je crois...en fait... j'en suis sûr ) décisifs pour l'avenir d'Israël.
Pour "desserrer" les tensions, et participer au processus de paix dans la région, la jordanie serait bien avisée de faire rentrer dans son giron ses "frères/soeurs" soi-disant palestiniens, en réalité JORDANIENS, au lieu de les massacrer dès qu'ils (les palos) pointent leur museau sur un millimètre du territoire jordanien (lui aussi créé de toutes pièces).
Et lorsque les jordaniens massacrent les palestiniens ("septembre noir"), personne ne bronche dans la communauté internationale, et pas de rapport goldstone ou autre, contre le "royaume hachémite" alaors que lorsqu'Israêl se défend légitimement contre ces barbares, tout le monde met son grain de sel pour le critiquer.
Quant aux risques d'un prochain affrontement, bien d'accord avec votre analyse, Edmond, Hilda, Jean-Claude.
AM ISRAEL HAY
Est-ce un hasard ? Pour ma part, je ne le pense pas !
Il faut ajouter que la démarche sinueuse du président Obama n'arrange pas les choses, et peut être interprétée par les adversaires d'Israël comme de l'hésitation à aller " jusqu'au bout des choses " si la situation l'imposait.
En dépit de quelques difficultés de dernière heure, la Turquie et l’Arménie ont donc effectué un pas spectaculaire sur le chemin de la réconciliation. Les ministres des Affaires étrangères ont signé ce samedi soir à Zurich un accord ouvrant la voie au rapprochement des deux pays.
Ahmet Davutoglu et Edouard Nalbandian étaient entourés d’une impressionnante brochette de diplomates venus apporter parrainage et soutien. Etaient présents, la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, le ministre russe des Affaires étrangères, Serguei Lavrov, le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, le secrétaire général du Conseil de l’UE, Javier Solana ainsi que la ministre suisse des Affaires étrangères Micheline Calmy-Rey.
Prévu en fin d’après midi l’événement a été retardé, l’Arménie contestant la teneur du discours que devait prononcer son homologue turc. On a alors craint la rupture. Mais tout rentrait dans l’ordre en début de soirée grâce une ferme intervention de la secrétaire d’Etat américaine.
Un pas vers la paix dans le sud du Caucase
Cet instant d’inquiétude passé, les paraphes étaient apposés sur les deux accords conformément à l’attente.
La Commission européenne s'est félicitée samedi des accords de normalisation des relations arméno-turques, y voyant un pas vers la résolution des conflits dans toute la région du sud du Caucase.
Tuerie ou génocide? La guerre des mots
La signature ce samedi à Zurich d'un accord de normalisation des relations entre la Turquie et l'Arménie implique la création d'une commission historique chargée d'étudier « de manière scientifique et impartiale » les massacres d'Arméniens de 1915. La Turquie reconnaît qu'entre 300 000 et 500 000 Arméniens ont été tués par les Ottomans. En revanche, ces massacres et déportations ont fait plus d'un million et demi de morts, selon l'Arménie qui les qualifient de « génocide », terme que les Turcs n’ont jamais reconnu.
Ce mot de « génocide » pèse depuis un siècle sur les deux pays. Les Turcs contestent ce terme, car il implique des massacres planifiés et exécutés d'une façon systématique. Officiellement, Ankara se contente donc de parler de « tueries » ou d'un « prétendu génocide arménien ». Aujourd'hui, un citoyen turc doit toujours craindre d'être poursuivi par la justice s'il ose parler de « génocide ».
Evidemment, cela hante les relations entre la Turquie et l'Arménie. Mais derrière ce conflit historique se cachent d'autres enjeux. Car la reconnaissance du génocide ouvrirait la voie à des demandes de dommages et intérêts et, par la suite, à des indemnisations, comme l'Allemagne a dû les payer après la Shoah.
Mais la Turquie sait très bien qu'elle a beaucoup à y gagner. Ankara peut tout à fait espérer qu'une reconnaissance du génocide faciliterait son adhésion à l'Union européenne.
Pour l’UE et les Nations unies, un génocide
Le Parlement européen a reconnu le génocide arménien en 1987. Des pays, surtout ceux où vivent les Arméniens en exil, ont fait de même: la France, la Slovaquie, la Grèce, la Pologne, mais aussi la Suède ou les Pays-Bas. D'autres pays, comme le Royaume-Uni et l’Etat d’Israël, refusent toujours de considérer les massacres comme un génocide.
Et pourtant, dans différents rapports, les Nations unies ont reconnu le génocide des Arméniens, tout comme celui des Juifs, des Tutsis au Rwanda et des Bosniaques à Srebrenica.