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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLa France a peur qu’Israël ne veuille plus la paix10 Novembre 2009 - Juif.org
    Dans une interview radio, le ministre des affaires étrangères français déclare que « le désir pour la paix a complètement disparu ».
La France craint qu’Israël ne désire plus un accord de paix au Proche Orient, a déclaré mardi le ministre des affaires étrangères Bernard Kouchner, ajoutant que Paris reste profondément opposé aux constructions juives en Judée Samarie.
Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou s’est entretenu dans un étrange secret lundi avec le président américain Barack Obama et doit s’entretenir mercredi avec le président français Nicolas Sarkozy.
S’exprimant sur la radio France Inter, Kouchner a dit clairement qu’il ne s’attendait pas à un tournant majeur dans les discussions de paix israélo-palestiniennes.
« Ce qui me fait vraiment mal, et qui nous choque tous, est qu’avant il existait un grand mouvement de paix en Israël. Il y avait une gauche qui se faisait entendre et un réel désir de paix, » déclare Kouchner.
« Il me semble, et j’espère que j’ai tout à fait tord, que ce désir a complètement disparu, comme si les intéressés n’y croyaient plus, » a-t-il rajouté.
Lorsque Sarkozy a pris ses fonctions en 2007, il a redoublé d’efforts pour améliorer les relations parfois glacées avec Israël, pensant que Paris ne serait jamais un partenaire crédible dans les pourparlers de paix au Proche Orient si la France était perçue comme ayant un parti pris pour le monde arabe.
Toutefois, les relations avec le gouvernement Netanyahou n’ont pas été faciles, et la France s’est particulièrement fait entendre en exigeant qu’Israël interrompe les constructions juives en Judée Samarie.
Obama a récemment allégé les pressions américaines contre les implantations juives, appelant à faire preuve de retenue dans les constructions, là où il demandait précédemment un gel complet. Mais Kouchner ne signale aucun adoucissement dans la position française à ce sujet.
« Il y a une réelle différence d’opinion à ce sujet entre Sarkozy et Netanyahou, » rajoute-t-il.
Pour souligner ces relations parfois problématiques, Kouchner avait annulé en dernière minute un voyage en Israël et dans les territoires palestiniens le mois dernier. Aucune raison officielle n’avait été donnée, mais un diplomate français avait déclaré qu’Israël compliquait l’accès à Gaza.
Kouchner a confirmé ce mardi qu’il prévoyait une visite dans la région « dans les jours qui viennent » et dit qu’il utiliserait ce voyage pour tenter de convaincre le président palestinien Mahmoud Abbas de se représenter aux élections prévues pour le mois de janvier.
Abbas a annoncé la semaine dernière qu’il ne voudrait pas d’un nouveau mandat. La France craint que les jeunes générations de palestiniens seront moins portées à rechercher un accord de paix.
« Nous devons voir cela avec Mahmoud Abbas, » déclare Kouchner.
Deux jours après la visite de Netanyahou, le président syrien Bachar al-Assad sera lui aussi à Paris pour des discussions avec Sarkozy.
Les officiels français indiquent que les deux entretiens ne sont pas liés, cherchant à tuer toute spéculation au sujet d’un éventuel rôle d’intermédiaire entre Israël et la Syrie. Articles connexes
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Désillusion. Il n’y a pas d’autre mot pour qualifier l’Algérie d’aujourd’hui. « Qu’avons-nous fait de notre indépendance ? », s’interrogent les uns et les autres. Au sein de la population, le désenchantement est profond. On se méfie des commémorations à venir, redoutant toujours une récupération du pouvoir. « Qui aurait pu imaginer que l’Algérie en serait là aujourd’hui ? L’injustice, la misère, la corruption à grande échelle... Les vivants ont trahi les morts. Je n’ai pas autant d’amertume envers la France qu’envers les miens, car eux ont trahi les idéaux de la révolution », assène calmement Ali Hattab, professeur de médecine et fils de chahid (martyr).
« Nos parents se sont sacrifiés pour que nous puissions vivre dans un pays juste, débarrassé de la hogra (l’humiliation). Mais la hogra est toujours là. Les "purs" sont morts. Les gens du pouvoir sont les nouveaux colons de l’Algérie », lâche, désabusé, un journaliste, lui aussi fils de chahid. « L’indépendance de l’Algérie ? Nous l’avons obtenue, résume de sa voix calme et douce Abdelhamid Mehri, ancien ministre du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). La libération, elle, reste à gagner...
es qui se trouve de chez vous???Pourtant il y'a beaucoup plus Grave que les notres!!!Votre president,fait mieux si Il se occupe le sorte de sa propre pay qui se trouve sous le Cul de grenouille!!!!
-et si nous Israeliens nous voulions decider de la sorte des Colon's Françaises sur le Corse par exemple??? Que pensiez vous de cette idèe!!???