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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbbas réclame un retour aux lignes de 67Les dernières concessions accordées par Israël aux Palestiniens ne les ont pas incités, bien évidemment, à se montrer plus conciliants. Bien au contraire, ils semblent encore plus intransigeants et présentent de nouvelles exigences, comme en témoignent les déclarations du chef de l’AP Mahmoud Abbas. Lors d’un congrès du comité central de l’Olp, qui s’est tenu [...]
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Dernière mise à jour, il y a 51 minutes
Mais que " cède " , en réalité, Netanyahu ? - Il a très bien intégré le fait que toute cette politique était avant tout, et pour l'essentiel, une affaire de mots : " Words ... words ... words ... " . Et c'est peut-être cela qu'il faut entendre pour interpréter ses déclarations, ses tours, détours et retours verbaux : à ministre du verbe, ministre du verbe et demi !
En 1950 la Knesset a établi Jérusalem comme capitale de l'état d'Israël. L'armistice signé un an olus tôt avec la Jordanie ne fixe pas les frontières entre les parties, mais seulement les lignes de démarcation militaire, à l'issue du conflit de 1948. A la demande de la partie arabe, cet Accord stipule qu'il n'est pas destiné à prédéterminer les droits d'aucune partie dans la résolution du conflit. En d'autres termes, lors de l'éclatement de la Guerre des six Jours, les lignes de 1967 n'avaient aucun statut diplomatique.
Le 5 juin 1967, le 1er ministre Lévi Eshkol a envoyé un message au roi de Jordanie Hussein lui précisant qu'Israël n'attaquerait pas la Jordanie, à moins que celle-ci ne l'attaque. La Jordanie a néanmoins attaqué Israël.
Après les conquêtes de la guerre des six jours de 1967, des dirigeants israéliens se sont inquiétés que les lignes d'armistice de 1949 puissent être considérés comme des frontières permanentes :
Ces accords d'armistice ne devaient rester que temporaires avant des négociations de traité de paix qui ne furent pas signés dans les années suivantes. À l'exception des accords israélo-libanais, les autres accords établissaient clairement (à la demande insistante des pays arabes) que les frontières fixées ne constituaient pas des frontières permanentes ou de jure. C'est dans ce sens que des précautions ont été mentionnées dans les accords signés pour que les lignes établies ne soient pas considérées autrement qu'à des fins militaires.
Le Premier ministre Golda Meir considéra que les frontières d'avant 1967 étaient si dangereuses que les accepter relèverait de la "trahison" de la part d'un dirigeant israélien (New York Times, 23 décembre 1969).
le Premier ministre Menahem Begin décrivit comme un "suicide national pour Israël" de revenir aux lignes d'avant 1967.