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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientIsraël refuse de libérer certains cadres du HamasDes sources palestiniennes proches des négociations sur l’échange de prisonniers contre Guilad Shalit ont déclarés au journal al-Sharq al-Aswat que « le Hamas est enclin à accepter le deal. » Les litiges au sein même du Hamas persistent sur la libération de certains cadres du groupe terroriste.
Israël refuse de libérer certains cadres du groupe terroriste Hamas actuellement emprisonnés en Israël pour des raisons de sécurité, selon une information publiée par le journal londonien al-Aswat al-Sharq.
Des sources palestiniennes connues pour êtres fiables et proches des négociations ont déclaré au journal que « le Hamas est enclin à accepter l’accord sur l’échange de centaines de prisonniers palestiniens contre le soldat Guilad Shalit. »
Ces sources n’ont pas dit combien de prisonniers palestiniens devront êtres libérés dans le cadre de cet accord.
Selon le journal, il y a un désaccord au sein même du Hamas si oui ou non l’accord peut être effectué s’il ne comprend pas la libération de cadres du Hamas actuellement détenus dans les prisons israéliennes.
Apparemment, le Hamas ne s’oppose pas à l’exil permanent de ces « hauts fonctionnaires. » La même source déclare que « les cadres supérieurs du Hamas emprisonnés en Israël, comme Abbas al-Sayyad, Ibrahim Hamed, Abdel Nasser Issa et Abdallah Barghouti, parmi les plus importants, pensent que cet accord est leur seule chance d’êtres libérés et que laisser leurs noms en dehors de l’accord le dévaluerait. »
Un groupe de parents israéliens endeuillés qui ont perdu des membres de leurs familles dans des attentats terroristes, dirigé par le groupe «Les Trois Pères » de Haïfa, a annoncé mercredi son plan de lancer une campagne contre la libération de centaines de terroristes en échange de Guilad Shalit.
Dans une déclaration faite par les parents, ils font une attaque sans précédent contre le premier ministre Benyamin Netanyahou, demandant qu’une commission d’état soit créée pour enquêter sur la conduite du gouvernement israélien dans ce qu’ils appellent « les négociations du Hamas et l’affaire de la reddition. »
« Si il libère les pires des assassins, ceux qui ont tué nos enfants, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour renverser le gouvernement Netanyahou, » ont menacé les parents. Articles connexes
77 commentaires
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Hou la la, mon coeur est à gauche mais ma droite est méchante, il ne faut pas me chercher, vous me trouverais sur votre chemin. Je suis loin d'être un gentil toutou, au diable la varice, je suis très suceptible que je démare au quart de tours, prenez garde.
J'aime tout ce qui est juste et bien fait, à partir de là, ci quelqu'un me monte sur mes orteilles, je lui arrache les Cacahuettes. c'est mon caractère, coulé dans un moule à l'Israëlienne.
Shavoua Tov lé koulam, Shimon.
Mais le sentiment déchirant de la paternité peut-il abolir toute autre considération ? Peut-on effacer de son esprit l des questions cruciales telles que : libérer mille Samir Kuntar en échange de Guilad, n'est-ce pas prendre par avance la responsabilité des crimes terroristes que ces loups, remis en liberté, pourraient accomplir ? N'est-ce pas fournir à l'avance, à tout terroriste, la certitude que, quelque horribles soient les crimes qu'il pourrait commettre, de toute façon, ils n'entraineraient au pire, pour lui, que quelques années de prison en attendant les nouveaux chantages que permettraient de nouvelles prises d'otages ?
Un père, une mère, peuvent ne penser qu'à leur enfant : nul n'ira leur jeter la pierre, trop heureux de ne pas se trouver dans leur situation.
Mais un gouvernement ? N'e'st-il pas comptable de l'avenir ? Sa responsabilité s'arrête-elle là où le porte la vague émotionnelle ? Mille " Samir Kuntar " en liberté, assoiffés de faire couler à nouveau lme sang juif : est-ce une éventualité que l'on puisse prendre à la légère ?
Un gouvernement doit prendre en charge, au-delà de l'émotion, fût elle la plus déchirante, le " bien commun " - dans le présent ; et pour l'avenir.
Moi j'aurais bien une solution: "On ne vous en donne que trois en échange, et c'est bien payé, les 997 autres serviront d'exemple: vous avez 24 heures pour relacher Guilad SHALIT, passé ce délai, 500 parmi les 997 restants seront éxécutés, pour exemple, le lendemain 100 autres. Dépêchez vous messieurs du Hamas, il ne vous reste que 4 jours, Le premier jour: 100 autres, le deuxième jour: 100 autres, le troisième jour 100 autres. Le dernier et quatrième jour: Il ne vous reste que 24 heure pour sauver les 97 derniers, et recevoir les trois prévus en échange de Guilad SHALIT, sans quoi passé ce terme, nous en feront le Samson National du temps et dirons qu'il a tué 1000 philistins des temps modernes en 5 jours".
il faut accepter l'echange avant que le hamas change d'avis.