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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientTensions Israël-Turquie : l'ambassadeur israélien convoqué pour explicationsLes relations israélo-turques sont une fois de plus mises à mal. Au lendemain de la convocation de l'ambassadeur turc à Tel-Aviv au ministère israélien des Affaires étrangères, c'est au tour de la diplomatie turque de convoquer l'ambassadeur israélien à Ankara pour s'expliquer sur ''les humiliations'' infligées à son plénipotentiaire en Israël. Articles connexes
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François Fillon a déclaré mardi aux députés UMP que l'interdiction du voile intégral devait "passer par une résolution" parlementaire fixant "les principes", "des textes législatifs et des décisions réglementaires pour appliquer ces principes", selon des témoins.
"La position du gouvernement a été exprimée par le président de la République lors du Congrès à Versailles (en juin dernier): la burqa n'est pas la bienvenue en France. L'objectif, c'est de faire en sorte que la burqa n'ait pas sa place en France", a déclaré le Premier ministre lors de la réunion hebdomadaire, à huis clos, du groupe UMP à l'Assemblée, selon plusieurs témoins.
Ses propos ont été confirmés par l'entourage du Premier ministre.
L'interdiction du port du voile intégral "doit passer par une résolution (disposition non contraignante) suffisamment ferme pour fixer les principes ainsi que des textes législatifs et des décisions réglementaires pour appliquer ces principes", a-t-il annoncé.
En préambule de cette réunion, le chef de gouvernement a rappelé avoir "été quasiment le seul au gouvernement en 2003 à défendre dès le début la loi sur le voile à l'école" (adoptée en 2004, ndlr). "L'égalité des chances et la protection des jeunes filles, ce combat, c'est mon combat", a lancé M. Fillon.
"Il faut que la mission parlementaire aille à son terme au plus vite, ça n'empêche pas les uns et les autres d'exprimer les positions", a tempéré le Premier ministre.
Les conclusions de la mission d'information parlementaire, mise en place à l'été et présidée par le communiste André Gerin, sont attendues fin janvier.
Quant au futur texte de loi, "sur le contenu, sur les sanctions, sur la compatibilité avec la constitution et la jurisprudence européenne, il y a débat", selon M. Fillon.
"Le débat sera tranché après les régionales", a-t-il encore déclaré.
Le secrétaire général du parti majoritaire Xavier Bertrand a ensuite lui aussi approuvé le principe d'une résolution assortie d'une loi, selon des témoins de la réunion de mardi matin.
Le patron des députés UMP, Jean-François Copé, plaide depuis l'automne pour une loi d'interdiction et a même annoncé, le 22 décembre, le dépôt d'une proposition de loi UMP en ce sens pour les prochains jours, qui serait débattue après les régionales. Une démarche critiquée dans les rangs de l'UMP.
La résolution, qui a notamment été défendue par le ministre du Travail Xavier Darcos, est inscrite dans la Constitution de la Ve. Elle permet aux parlementaires de s'exprimer solennellement sur une question de leur choix. Elle a longtemps été limitée aux questions liées à l'Union européenne, avant d'être élargie à tous les sujets lors de la révision constitutionnelle de 2008.
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