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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientL’AP affirme qu’elle ne reviendra pas aux négociations “dans les circonstances actuelles”Les responsables qui ont rencontré le président palestinien Mahmoud Abbas parlent aujourd’hui en termes de « désespoir total », disant qu’une atmosphère sombre pèse dans le bureau du président.
Cela arrive après que le secrétaire général de la ligue arabe, Amr Moussa, a déclaré mercredi soir, à la fin d’une réunion d’urgence tenue au Caire, que le président palestinien lui a notifié qu’il ne reprendra pas les pourparlers indirects avec Israël.
« Le président palestinien a décidé de ne pas entrer dans ces pourparlers pour le moment, » a déclaré Moussa lors d’une conférence de presse tenue après avoir discuté avec Abbas au téléphone. « La partie palestinienne n’est pas disposé à tenir des négociations dans les circonstances actuelles. »
Après l’annonce de Moussa, l’agence de presse Reuters a signalé que les négociations avaient déjà pris fin.
Des responsables de l’Autorité Palestinienne ont dit qu’il régnait une atmosphère de choc et d’indignation suite au nouveau plan de construction annoncé par Israël à Jérusalem Ramat Shlomo. Selon eux, malgré les efforts continus pour reprendre les pourparlers de ‘reprise de confiance’, « Israël a choisi d’humilier les palestiniens et la communauté internationale par cette décision. »
Un haut fonctionnaire palestinien a déclaré : « l’AP préfère ne pas entreprendre ces pourparlers du tout, mais la pression arabe et internationale, ainsi qu’une réelle volonté de reprendre ces discussions, nous conduisent à cette décision (momentanée). »
L’AP a déclaré qu’en l’absence d’un engagement clair d’Israël envers les Etats-Unis sur un gel de toutes les constructions, y compris à Jérusalem Est, les négociations indirectes ne reprendront pas.
Dans ce contexte, de nombreuses personnes regarderont le discours du vice-président américain Joe Biden à l’université de Tel Aviv jeudi. Ce sera la dernière apparition publique de Biden en Israël avant de continuer vers Amman en Jordanie. De là, il retournera aux Etats-Unis.
Biden a sévèrement critiqué la récente décision d’Israël d’autoriser les 1600 nouveaux logements à Ramat Shlomo, au nord de Jérusalem. Articles connexes
144 commentaires
| Membre Juif.org
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Je suis pas mal sur Facebook des forums pro palos...Certains se sentiront bien quand "toute les palestine" sera libérée. Voilà qui donne idée de ce qu'ils souhaitent à Israël !! Sont pas content quand je leur dit qu'elle aurait pu être libre en 48
Cette gaffe aura comme conséquence le renforcement international anti-Israëlien!!!
comment voulez-vous faire la paix avec un peuple qui eleve ses propres enfants dans la haine du juif ......
Et cerise sur le gateau, l'obamination a reussi a faire l'unité des Israeliens (meme de kadima),ceci n'est pas un petit exploit
Et meme les Juifs americains,du moins ,ceux qui sont + préocupes par Israel que l'avortement,semblent sortir de leur léthargie
Je n'épiloguerai pas sur les buts à court terme de cette provocation ( redorer le blason d' 'Hussein Obama auprès de ses co-religionnaires- et l'on voit bien comment l'entend la racaille islamique, particulièrement dans la Vieille Ville : comme une incitation à multiplier ses attaques - s'auréoler, auprès des membres de soin parti démocrate, du moins auprès de l'aile radicale de ce parti, d'une " victoire " , au moins une , en politique extérieure ). Il me paraît toutefois que c'est le but à moyen terme de cette provocation qui est le plus grave il ne s'agit de rien de moins, à mon sens, que de commencer un travail d'érosion d'une opinion publique américaine jusqu'ici de plus en plus favorable à Israël. Ce but - saper peu à peu la position d'Israël dans l'opinion publique américaine, délégitimer Israël auprès des Américains - Obama et ses séides pensent pouvoir l'atteindre peu à peu en fais
Il n'est toutefois pas acquis pour 'Hussein Obama que ses grosses ficelles lui garantissent le succès ( l'édito du très influent " Wall Street Journal " semble au contraire montrer une défiance croissante de certains milieux pour la politique pro-musulmane d'Obama ). Huit mois ( ce qui est long, surtout si, dans cet intervalle, l'Iran parvenait à achever la construction de l'arme nucléaire - ce qui ferait qu'Israël, le dos au mur, ne pourrait plus atermoyer ) nous séparent des " mid-term elections " : si la tendance qui prévaut depuis plusieurs mois dans l'opinion américaine se confirmait dans les urnes, 'Hussein Obama ( dont un très récent sondage indique que, si des élections présidentielles avaient lieu aujourd'hui, il les perdrait ) risquerait de voir ses élans pro-Islâm freinés par un Congrès qui ne serait plus à sa main. Il lui faut donc faire vite ( mais cette précipitation est contradictoire, jusqu'à un certain point, avec l'objectif de faire " tourner " l'opinion publique sur Israël - renversement qui ne peut être acquis en quelques jours ... sauf ... effet Zimmermann ou effet Pearl Harbor ). Et tel est aussi certainement le point de vue de ce que j'appelle
Mais le fait, pour Obama - et peut-être de manière plus frappante encore pour Joe Biden et Mme Clinton - de parler à Israël sur un ton très dur ( pratiquement jamais utlisé jusqu'ici - et qui est le pendant, et le complément, de la fameuse photo où l'on pouvait voir ' Hussein Obama " recevoir " Benyamin Netanyahu les pieds sur son burlingue ) prouve aussi qu'à l'approche des mid-term elections, le haut establishment démocrate a choisi de serrer les rangs en se rapprochant de l'importante aile gauchiste ( " radical " ) du parti démocrate.