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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientBan Ki-moon: "La colonisation israélienne est illégale et doit cesser"Le secrétaire général de l'ONU est sur le terrain pour réaffirmer le soutien du Quartette à la création d'un Etat palestinien indépendant. Ban'
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alors que
"Le terrorisme palestinien sous toutes ses formes est juste DECEVANT"
En mars 2007, M. Ban a jugé « décevantes » les premières déclarations du nouveau gouvernement palestinien d'union, formé entre le Fatah et le Hamas, sur le « droit légitime » du peuple palestinien à la « résistance sous toutes ses formes ».
israël n'a jamais été un colonialiste , jérusalem et une et indivisible ! israël vit sur sa terre ancestrale , et jérusalem -est a été squattée par les héritiers de la haîne , descendants directs de l'empire ottoman , et exproprié par le roi saoudien du royaume hachémite , le roi abdallah , qui fut d'ailleurs assassiné par la suite ! sonfils , hussein dit le petit roi (on se demande pourquoi on l'appelle ainsi ) , a laissé se dégrader la palestine , laissé les palestiniens détruire les vestiges juifs , nt les pierres tombales , les synagogues , toutes les traces de la présence juive en palestine , enfin hussein , s'est vraiment comporté en petit roi , très petit d'aillleurs , il n'a pas su préserver les lieux saints de jérusalem , et surtout il a interdit aux juifs de venir prier dans les lieux saints de jérusalem !
que ban kimoon parle d'expansion juive à jérusalem est une rreur : israël est chez elle , dans sa capitale !
israël n'a pas de colonie , aucune colonie ,elle ne possède qu'un pays ,et c'est israël !
500.000 juifs vivent en judée samarie , depuis fort longtemps : partir , non ! jamais !
jérusalem a été réunifiée : jérusalem est une et indivisible et ban ki moon le sait !
jérusalem est la capitale d'israë l
aijourd'hui les trois religions monothéistes sont autorisées de prier à jérusalem , liberté inexistentes pendant le rêgne de hussein , dit le petit roi .
The truth about East Jerusalem
Ce qui va sans le dire va encore mieux en le disant.
Alors si tu désires de la clarté, évite les pointillés.
Quand tu écris: "avant les juifs a qui cette terre", alors on attend ton avis "à qui était cette terre"?
Et quand tu dis aussi :" je crois que les palestiniens nous n'ont jamais fait du mal", c'est parce qu'ils ne peuvent pas, ce n'est pas l'envie qui leur manque. A chaque fois qu'ils ont pu imiter les pires ennemis d'Israel, ils n'ont pas raté l' occasion.
Nous ne semons aucune culture de haine, c'est toi qui tente de le faire en ce moment comme le font les pro-palestiniens, si tant est que tu n'en soit pas un.
Que dit M. Ban Ki-mon de ce qui suit ? Il appelle à plus "DE RETENUE" ?!?!?!?!
Jeudi 18 mars 2010 4 18 /03 /2010 10:48
La marche des brigades Rouges-Verts
La marche des brigades Rouges-Verts
Michel Garroté
Jeudi 18 mars 2010 – 3 Nisan 5770
Dans un excellent article intitulé "La marche des brigades Rouges-Verts", Caroline B. Glick (1), le 12 mars, pour la Jewish World Review (Adaptation française de Sentinelle 5770) écrit : « L’alliance Rouges-Verts est en marche. Mercredi dernier, le Parlement Européen contrôlé par la Gauche a adopté à Strasbourg une résolution appuyant le Rapport Goldstone. Ce rapport, rappelons-le, refuse à Israël le droit à l’autodéfense en prétendant que les actions d’Israël pour se défendre contre l’agression palestinienne illégale au cours de l’opération ‘Plomb Durci’, étaient des crimes de guerre. La résolution a fait plus qu’accepter les déclarations sans fondement du rapport Goldstone. Elle a tenté de réduire au silence ceux qui essaient de faire payer le prix de sa complicité avec le jihad de la fraction Rouge dans l’alliance Rouges Verts. La résolution « exprime sa préoccupation quant aux pressions exercées sur les ONG impliquées dans la préparation du rapport Goldstone et dans le suivi des enquêtes, et appelle les autorités de tous côtés de s’abstenir de toutes mesures de restriction des activités de ces organisations ».
Cette déclaration a été insérée pour défendre les organisations israéliennes soutenues par l’UE – associées de manière écrasante avec le ‘New Israel Fund’ d’extrême Gauche – qui ont tenu un rôle capital dans la fourniture à Richard Goldstone et ses associés de fausses allégations d’actions illégales de Tsahal. Ces organisations – et le ‘New Israel Fund’ – ont été légitimement investiguées en Israël après que leur rôle dans la compilation du Rapport Goldstone ait été révélé en janvier par l’organisation étudiante israélienne ‘Im Tirzu’. Israël n’est pas la seule cible de l’alliance Rouges-Verts. Ses activités s’étendent à travers le monde. Parfois, comme dans le Rapport Goldstone, la Gauche mène la charge. Parfois, comme dans le cas de l’agression par des missiles du Hamas contre Israël qui a précédé ‘Plomb Durci’, les jihadistes prennent l’initiative. En général, les jihadistes sont motivés par des attaques contre des non musulmans du fait de leur croyance religieuse qui veut que l’islam domine le monde. Et en général, la justification par la Gauche de l’agression jihadiste provient de leur foi néo-marxiste qui veut que l’Etat-nation libéral soit la racine de tout mal. Que la Gauche reconnaisse qu’en cas de succès, sa collusion avec les jihadistes conduira à la destruction de la liberté humaine est sujet à débat. Mais que la Gauche comprenne ou non les conséquences de ses actes, elle a joué un rôle clé en se faisant complice de cet objectif.
Dans la nuit de dimanche dernier au Nigeria, les jihadistes ont mené la charge. Avec la collaboration apparente de l’armée nigériane dominée par les musulmans, des gangs musulmans ont pénétré principalement dans trois villages chrétiens à côté de la ville de Jos et ont tué des civils innocents, dont des enfants, avec des machettes, des haches et des poignards. Selon des témoins oculaires, certaines victimes ont été scalpées et beaucoup ont été violées. La plupart ont été amputées des mains et des pieds, et nourrissons et enfants ont été massacrés. Le massacre était prémédité. Selon les porte-parole du gouvernement, des résidents musulmans ont été dénoncés deux jours avant l’attaque. De même, pour être sûrs que leurs victimes étaient des Chrétiens, les jihadistes leur parlaient en Fulani, langue locale parlée par les musulmans. Si les victimes répondaient en Fulani, elles étaient sauves. Sinon elles étaient frappées à mort. On aurait pu s’attendre à ce que le massacre de dimanche fasse la Une des journaux dans le monde. Mais ça n’a pas eu lieu. En fait, ce fut à peine mentionné.
Cette maigre couverture reçue sur ces évènements barbares a été accueillie dans l’obscurité et le vague. Des commentateurs et journalistes ont aussi caché l’identité des agresseurs et des victimes, dépeignant la boucherie des jihadistes sous les traits d’une « violence sectaire ». Ils ont aussi cherché à masquer sa signification en déclarant que les gangs musulmans ont décapité des nourrissons en réponse à des disputes de propriétés tribales. Jessica Olien du journal ‘the Atlantic’, ne s’est pas contentée de faire ces déclarations, mais a nié les dimensions de l’atrocité en écrivant : « A noter que la police n’a confirmé que 109 morts ». Après avoir minimisé le nombre de morts, Olien a tourné ses flèches littéraires contre les victimes en déclarant qu’elles avaient vu venir. Comme elle le dit : « Il est difficile de ne pas comparer l’attaque de la fin de semaine avec celle de janvier pendant laquelle 150 personnes de la même communauté musulmane ont été tuées brutalement. L’attaque du 7 mars a suscité une attention internationale bien plus considérable que l’incident précédent ».
Ah, c’est injuste. L’atrocité trop rapportée décrit injustement comme victimes les Chrétiens assassinés. Mais Olien sait mieux. Les musulmans ne faisaient que se venger des attaques endurées. Apparemment Olien tuerait aussi des bébés si elle était à leur place. Hélas pour Olien et sa justification érudite de la barbarie, il est loin d’être sûr que les victimes de la barbarie de janvier fussent des musulmans. Ecrivant dans le ‘Times’ britannique de jeudi dernier, la baronne Caroline Cox a déclaré que les premières victimes du massacre de janvier étaient des chrétiens, pas des musulmans. Selon Cox, des témoins oculaires des évènements de janvier « ont indiqué que les tueries ont commence quand de jeunes musulmans ont attaqué des chrétiens un dimanche, en chemin vers l’église. Des musulmans ont aussi été tués quand les agressés ont répliqué à l’attaque ».
Cox a poursuivi en disant que l’attaque de dimanche suivait un modèle désormais familier. Des attaques « sont initiées par des extrémistes bien armés, scandant des slogans militants, attaquant et tuant des chrétiens et d’autres citoyens non musulmans en détruisant des foyers et des lieux de prières ».
Lors des premières étapes des attaques, les militants emportent des cadavres vers des mosquées, où ils sont photographiés et publiés dans les media, pour créer l’impression que ce sont des victimes musulmanes. Les media internationaux ne sont que trop désireux d’accepter pour argent comptant ces fausses accusations de victimisation musulmane aux mains de leurs vraies victimes. Et de même pour leurs camarades gauchistes dans les cercles dirigeants internationaux. A la suite du massacre de dimanche dernier, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton et le Secrétaire Général de l’ONU Ban Ki Moon ont tous deux émis des déclarations ne faisant pas la distinction entre les victimes et les agresseurs. Tous deux ont appelé les « deux parties à agir avec retenue ». Selon la volonté apparente de la Gauche de masquer la nature des attaques de janvier puis de minimiser le massacre de dimanche, nous avons là un exemple de facilitation gauchiste de la violence islamiste. Au Nigeria bien sûr, les jihadistes sont les principaux acteurs et la Gauche leur simple compagne.
En Israël les rôles sont généralement inversés. Ici, c’est la Gauche qui mène les jihadistes par la main. Prenez la campagne de la Gauche contre les droits de propriété juive à Jérusalem. Dans le quartier Sheikh Jarrah / Shim’on le Saint de Jérusalem, des immeubles détenus par des Juifs ont été saisis par la Jordanie en 1948 après la conquête jordanienne de la cité. Au cours de la décennie écoulée, les propriétaires juifs ont œuvré par voie de justice pour affirmer leurs droits sur leurs immeubles et expulser les squatters arabes qu s’en étaient emparés. Jugement après jugement ont confirmé leurs droits de propriétés. Et bien sûr, il y a plus d’une décennie, les squatters ont obtenu un arrangement selon lequel ils reconnaissaient les droits de propriété des détenteurs et ceux-ci ont donné leur accord pour laisser ceux-là demeurer aussi longtemps qu’ils payaient leur loyer. Mais quand les squatters ont cessé de payer le loyer, la Gauche les a poussés à refuser l’évacuation les locaux et à tenter de relancer le litige sur l’ancien arrangement. Finalement, le dossier remonta à la Cour Suprême qui reconnut aussi les droits des propriétaires juifs et ordonna à la police d’appliquer leur jugement et d’expulser les squatters illégaux.
La police expulsa les squatters le mois dernier, des résidents juifs s’y installèrent, suivant un contrat avec les propriétaires légaux des immeubles. Depuis qu’ils se sont installés, les Juifs ont été sujets à des attaques permanentes de la part de leurs voisins arabes. Ils ont été frappés et menacés de mort.
Dans le même temps, la Gauche a transformé le dossier des squatters arabes illégaux en une cause fameuse. La semaine dernière, des milliers de gauchistes ont tenu une manifestation antisémite à l’extérieur de l’ensemble d’immeubles, exigeant que les Juifs soient chassés de leurs foyers. L’argument, bien sûr, est qu’autoriser des Juifs à exercer leurs droits de propriété légale en résidant paisiblement dans un quartier à prédominance arabe est une « provocation » inacceptable. Les squatters arabes tentant de voler la propriété, d’autre part, sont des « victimes ».
Plutôt que de décrire les protestataires comme des antisémites entretenant la violence contre des Juifs commettant le seul le crime de vivre légalement là où l’ont choisi, les media locaux et internationaux ont dépeint les manifestants comme « activistes pacifistes », et « activistes des droits de l’homme ». En tournant la réalité à l’envers et se faisant les champions de la cause des jihadistes contre les droits de l’homme de leurs victimes, les manifestants gauchistes sont adulés par leurs camarades dans les media et les chancelleries du monde occidental. Le Département d’Etat a dit qu’il était « inacceptable » que des Juifs s’installent dans leurs foyers.
De même, l’ONU s’est précipitée pour accepter la prétention de la Gauche que les droits de l’homme exigent le déni des « droits de propriétés des Juifs du fait de leur ethnicité. Leur chef du processus de paix, Richard Miron a dit : « Je déplore profondément les actions totalement inacceptables d’Israël suite auxquelles les forces de sécurité israéliennes ont évincé des familles de réfugiés palestiniens… pour permettre à des colons juifs de prendre possession de leurs propriétés ». C’est par un commentaire déprimant aujourd’hui que les porte-parole des démocraties et supposés champions des droits de l’homme déclarent publiquement qu’assurer aux Juifs une protection équitable selon la loi serait une contrainte inacceptable pour leurs voisins intolérants. Mais la notion que des Juifs disposent d’un droit égal d’acheter et de posséder une propriété dans des zones de Jérusalem d’où ils furent illégalement victimes d’un nettoyage ethnique par les Jordaniens en 1948 est désormais une grande cause pour la Gauche. Et on ne peut que présumer que les jihadistes vont bientôt aller de l’avant – à la satisfaction de leurs camarades gauchistes – contre les Juifs innocents de Jérusalem.
Cela nous amène aux évènements qui ont entouré la visite du vice président Joseph Biden en Israël récemment. Le premier jour de sa visite, suivant une décision de routine, le Comité de planification et de construction de Jérusalem approuva des projets de construction de 1.600 logements dans le quartier de Ramat Schlomo à Jérusalem. Ramat Schlomo est un quartier avec plus de 20.000 résidents situé entre les quartiers encore plus peuplés de Ramot et de Sanhedriya. Selon une perspective israélienne, c’est sans plus de controverse que Yad Eliyahu à Tel Aviv ou Hadar à Haïfa.
Mais pas selon la perspective des Rouges. Quelques instants seulement après que la décision a été annoncée, la Gauche l’utilisa comme preuve de la vénalité d’Israël. Pour avoir approuvé la construction de nouvelles maisons dans sa capitale, le gouvernement a été condamné à plusieurs reprises. Les Palestiniens et la Ligue arabe ont pris le train en marche. Et maintenant, du fait de l’attaque de la Gauche anti-Israël, toute personne assassinée à Jérusalem – ou partout ailleurs pour cette raison – sera négligée comme le produit d’une colère musulmane pleinement justifiée.
En observant l’accusation de la Gauche, menée dans ce cas par les media israéliens écumant de rage, Biden changea vivement d’avis. L’homme qui était venu en Israël pour une offensive de charme ne pouvait plus cacher la vérité sur les véritables sympathies du gouvernement Obama. Après avoir déclaré son amour et sa fidélité immortels pour Israël quelques heures seulement auparavant, Biden changea de registre et accusa Israël de « saper » les perspectives de paix. Mercredi matin en se référant à sa condamnation de la décision d’Israël de construire des foyers dans sa capitale, Biden déclara : « Parfois, seul un ami peut livrer la plus dure des vérités ». Et au moins dans ce cas, il a raison.
Ainsi, dans l’esprit de cette disposition, on doit dire : quand ceux qui prétendent soutenir la paix et les droits de l’homme joignent leurs forces avec l’alliance Rouges-Verts, ce qu’ils soutiennent vraiment c’est l’intolérance, la violence, le meurtre et en définitive, la destruction de la liberté humaine. Que la Gauche reconnaisse la signification de ses actes ou non, il est temps qu’elle soit tenue responsable de l’apologie du jihad alors que les jihadistes sont en faveur de son exécution ».
http://www.drzz.info/article-la-marche-des-brigades-rouges-verts-46916166.html
Jewish World Review March 12, 2010 / 26 Adar 5770
The march of the Red-Green brigades
By Caroline B. Glick
http://www.JewishWorldReview.com | The Red-Green alliance is on the march.
On Wednesday, the leftist-controlled European Parliament in Strasbourg passed a resolution endorsing the Goldstone Report. That report, it will be recalled, denies Israel's right to self-defense by alleging that Israel's actions to defend itself from illegal Palestinian aggression during the course of Operation Cast Lead were war crimes.
The resolution did more than accept the Goldstone report's baseless claims. It sought to silence those who are trying to make the Red portion of the Red-Green alliance pay a price for its abetment of jihad. The resolution, "expresses its concern about pressure placed on NGOs involved in the preparation of the Goldstone report and in follow-up investigations, and calls on authorities on all sides to refrain from any measures restricting the activities of these organizations."
This statement was inserted to defend the EU-supported Israeli organizations — overwhelmingly associated with the far-Left New Israel Fund — that took a lead role in providing Richard Goldstone and his associates with false allegations of illegal actions by IDF forces. Those organizations — and the New Israel Fund — have rightly been the subject of scrutiny in Israel after their role in compiling the Goldstone Report was revealed in January by the Israeli student organization Im Tirzu.
Israel is not the only target of the Red-Green alliance. Its operations span the globe. Sometimes, as in the case of the Goldstone report, the Left leads the charge. Sometimes, as with the case of the Hamas-led missile offensive against Israel that preceded Cast Lead, the jihadists move first. In general, jihadists are motivated to attack non-Muslims by their religious belief that Islam must dominate the world. And in general, the Left's justification of jihadist aggression stems from its neo-Marxist faith that the liberal nation-state is the root of all evil. Whether the Left recognizes that if successful, its collusion with jihadists will lead to the destruction of human freedom is subject to debate. But whether or not the Left understands the consequences of its actions, they have played a key role in abetting this goal.
In Nigeria on Sunday night, the jihadists led the charge. With the apparent collaboration of the Muslim-dominated Nigerian army, Muslim gangs entered three predominantly Christian villages around the city of Jos and killed innocent civilians, including children with machetes, axes, and daggers.
According to eyewitness reports, some victims were scalped and many were raped. Most had their hands and feet chopped off. Infants and children were among the butchered.
The massacre was premeditated. According to government spokesmen, Muslim residents were tipped off two days prior to the attack. So too, to ensure their victims were Christians, the jihadists addressed them in Fulani, the local language spoken by Muslims. If the victims responded in Fulani they were saved. Otherwise they were hacked to death. Sunday's massacre could have been expected to lead the news worldwide. But it didn't. Indeed, it was barely noted.
That scant coverage the barbarous events received was itself plagued by obscurity and vagueness. Commentators and reporters alike hid the identities of the aggressors and the victims, characterizing the jihadist butchery as "sectarian violence." They also sought to obfuscate its significance claiming that the Muslim gangs decapitated infants in response to tribal property disputes.
Jessica Olien at the Atlantic, not only made these claims, but brushed off the dimensions of the atrocity writing, "It's worth noting that police have confirmed only 109 dead."
After minimizing the death toll, Olien turned her literary daggers on the victims claiming that they had it coming. As she put it, "It's hard not to compare the weekend's attack with one in January in which 150 people from the same Muslim community responsible for Sunday's attack were brutally killed. The attack on March 7th drew considerably more international attention the previous incident."
Ah, so unfair. The over-reported atrocity unfairly portrays murdered Christians as victims. But Olien knows better. The Muslims were simply retaliating for the attacks they suffered. Apparently Olien would kill babies too if she were in their shoes.
Sadly for Olien and her erudite justification of barbarism, it is far from clear that the victims of January's violence were Muslims. Writing in the London Times on Thursday, British Baroness Caroline Cox claimed that the primary victims of January's slaughter were Christians, not Muslims.
According to Cox, eyewitnesses to the events in January "indicated that the killings began when Muslim youths attacked Christians on a Sunday morning on their way to church. Muslims were also killed as those under attack began to fight back."
Cox continued that Sunday's attack followed a now familiar pattern. Attacks "are initiated by well-armed Muslim extremists, chanting militant slogans, attacking and killing Christian and other non-Muslim citizens and destroying homes and places of worship."
"In the early stages of the attack, the Muslim militants take corpses to mosques, where they are photographed and released to the media, creating the impression that these are Muslim victims."
The international media are only too willing to accept these false accusations of Muslim victimization at the hands of their actual victims at face value. And so are their leftist comrades in international governing circles.
In the wake of Sunday's massacre, US Secretary of State Hillary Clinton and UN Secretary General Ban Ki Moon, both issued statements making no distinction whatsoever between the victims and the aggressors. Both called for "both sides" to act with "restraint."
In the Left's apparent willingness to hide the nature of January's attacks and then underplay Sunday's massacre, we have an example of Leftist facilitation of jihadist violence. In Nigeria of course, the jihadists are the main actors and the Left are merely their help-mates.
In Israel the roles are generally reversed. Here it is the Left that leads the jihadists by the hand. Take the Left's campaign against Jewish property rights in Jerusalem. In the Sheikh Jarrah/Shimon Hatzaddik neighborhood in Jerusalem, buildings owned by Jews were seized by Jordan in 1948 after the Jordanian conquest of the city. For the past decade Jewish property owners have been working through the courts to assert their rights to their buildings and remove the Arab squatters who took them over.
Court after court upheld their rights to their property. And, indeed, more than a decade ago, the squatters reached a settlement in which they acknowledged the owners' property rights and the owners agreed to let the squatters stay so long as they paid rent. But when the squatters stopped paying rent, the Left pushed them to refuse to vacate the premises and try to relitigate the old settlement. Finally, the case made it to the Supreme Court which also recognized the rights of the Jewish owners and ordered the police to enforce their ruling and remove the illegal squatters.
The police removed the squatters last month and within hours, Jewish residents moved in, in accordance with an agreement with the buildings' lawful owners. Since they moved in, the Jews have been under constant attack from their Arab neighbors. They have been beaten and threatened with murder.
In the meantime, the Left has turned the case of the illegal Arab squatters into a cause celebre. Last week, thousands of leftists staged an anti-Semitic demonstration outside the compound demanding that the Jews be removed from their homes. The argument, of course, is that allowing Jews to exercise their legal property rights by peacefully residing in a predominantly Arab neighborhood is an unacceptable "provocation." The Arab squatters attempting to steal the property, on the other hand, are "victims."
Rather than characterize the protestors as anti-Semites who are stoking violence against innocent Jews for their crime of lawfully living where they choose, the local and international media have described the demonstrators as "peace activists," and "human rights activists." For turning reality on its head and championing the cause of jihadists against the human rights of their victims, these leftist demonstrators are lionized by their comrades in the media and in the chanceries of the Western world. The State Department said it was "unacceptable," that Jews moved into their homes.
So too, the UN raced to accept the Left's claim that human rights demand the denial of Jews' property rights due to their ethnicity. Its peace process boss Richard Miron said, "I deeply deplore the totally unacceptable actions by Israel in which Israeli security forces evicted Palestinian refugee families… to allow settlers to take possession of their properties."
It is a depressing commentary on our times that spokesmen of democracies and supposed champions of human rights are willing to state publicly that granting Jews the equal protection of the law is an unacceptable imposition on their bigoted neighbors. But the notion that Jews have an equal right to buy and own property in areas of Jerusalem from which they were illegally ethnically cleansed by the Jordanians in 1948 is now a great cause of the Left. And one can only assume that the jihadists will soon make their move — to the gratification of their leftist comrades — against the innocent Jews of Jerusalem.
This brings us to the events surrounding US Vice President Joseph Biden's visit to Israel this week. On the first day of his visit, as a matter of routine governance, the Jerusalem Planning and Building Committee approved plans to build 1,600 housing units in Jerusalem's Ramat Shlomo neighborhood. Ramat Shlomo is a neighborhood with over 20,000 residents located between the even more populous Ramot and Sanhedriya neighborhoods. From an Israeli perspective, it is just as uncontroversial as Yad Eliyahu in Tel Aviv or Hadar in Haifa.
But not from a Red perspective. Just moments after the decision was announced, the Left used it as proof of Israeli venality. For approving the construction of new homes in its capital, the government was condemned again and again. The Palestinians and the Arab League jumped on the bandwagon. And now, owing to the Left's anti-Israel onslaught, anyone murdered in Jerusalem — or anywhere else for that matter — will be dismissed as a product of fully justified Muslim anger.
Observing the Leftist charge, led in this case by the frothing-at-the-mouth Israeli media, Biden moved swiftly. The man who came to Israel on a charm offensive could no longer hide the truth about where the Obama administration's true sympathies lay. After declaring his undying love and fidelity to Israel just hours before, Biden switched gears and condemned Israel for "undermining," prospects for peace.
Wednesday morning as he referred to his condemnation of Israel's decision to build homes in its capital, Biden said, "Sometimes only a friend can deliver the hardest truth." And at least in this case, he is correct.
And so, in the spirit of that sentiment, it must be said: When those who purport to support peace and human rights join forces with the Red-Green alliance what they are actually supporting is bigotry, violence, murder and ultimately, the destruction of human freedom. Whether the Left recognizes the significance of its actions or not, it is time that it be held as accountable for its defense of jihad as the jihadists are for carrying it out.
© 2009, Caroline B. Glick
JWR contributor Caroline B. Glick is the senior Middle East Fellow at the Center for Security Policy in Washington, DC and the deputy managing editor of The Jerusalem Post.
http://www.jewishworldreview.com/03
Les " Palestiniens " nous ont fait, nous font et nous feront tout le mal possible - à la mesure de leurs moyens, qui n'ont jamais été ceux d'un grand pays industriel comme l'était l'Allemagne nazie. Mais précisément, vous semblez ignorer que leur leader vénéré, dans les années vingt, trente, quarante du siècle dernier ( ensuite le relais fut pris par son neveu, Yasser Arafat ), Hadj Amin el-Husseini, était un nazi fervent, qu'il a levé deux divisions de SS musulmans et qu'il est intervenu auprès des dirigeants nazis pour qu'ils n'atténuent en rien la mise en oeuvre de l'Endlösung. Faute d'avoir les moyens techniques de tuer des Juifs par millions, les " Palestiniens " savent fort bien, aujourd'hui comme hier, s'allier avec ceux qui détiennent ces moyens : hier, Hitler ; aujourd'hui, Ahmadinejad. Mais je suis d'accord avec vous sur un point : nous ne sommes pas exempts de torts ni d'erreurs. Par exemple, nous avons eu tort, en 1967, de ne pas annexer immédiatement et en totalité la Judée-Samarie et de ne pas en expulser les occupants arabes ( tout comme, vingt ans plus tôt, avaient su le faire les Tchèques, par exemple, avec les populations allemandes des Sudètes ). Je suis de ceux qui pensent que si une révolte arabe éclatait à l'instigation de l'Iran et du Hezbollah,
Winston Churchill aurait été un criminel ?!
Pour M. Ban Ki-mon : tapez "attentats"... et parlez-nous de votre plan de match pour la sécurité d'Israël
http://www.youtube.com/user/infolivetv#g/search