Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Belle démonstration de ce que vaut l'AP qui démontre ainsi son vrai visage
et ses intentions pour le futur!
LA DESTRUCTION DE L'ETAT JUIF.
Pour ce faire, l'AP change de tactique et ne veut plus de confrontation militaire
sachant qu'elle perdra la guerre mais se projette sur l'avenir avec d'une part la
démographie qui est grandement en sa faveur et aussi sur l'appui des pays
qui sont viscèralement contre l'état juif. La guerre d'usure est entamée et nous
sommes au début de ce que souhaite les "palestiniens".
J'ai toujours écrit que j'étais contre cet état confetti qui est une ineptie et qui
sera un tremplin pour demander encore plus sur le dos d'ISRAËL.
La JORDANIE qui fait partie de la PALESTINE historique et donnée à un prince
saoudien par les britanniques pour services rendus doit revenir aux dits
"palestiniens" et la cadrature du cercle sera fermée.
CHACUN CHEZ SOI.
Si les arabes veulent être entre eux pas de problème, qu'ils aillent vivre entre eux
et quittent le territoire d'ISRAËL puisqu'ils ne cachent pas qu'ils ne veulent pas de
juifs chez eux!...
La JUDEE-SAMARIE qui porte bien son nom doit rester aux juifs.

Totalement d'accord avec vous, une fois de plus, Yvan _001. Le partage de la Palestine mandataire a, comme vous le rappelez, DEJA été effectué. Et il l'a été très tôt, par la puissance mandataire elle-même, l'Angleterre, qui a, dès septembre ( ou octobre, je ne me rappelle plus ) 1922, détaché une portion, énorme, de la Palestine sur laquelle elle avait, quelques mois plus tôt, reçu mandat de la SDN en application des recommandations de la conférence de San Remo ( 1920 ). Ce morceau, constitué par les Anglais en émirat arabe, avait été, dès 1921, offert à Abdallah, fils du chérif de La Mecque, Hussein, pour récompensé celui-ci d'abord déclenché, à l'instigation du fameux colonel Lawrence, la " révolte arabe " contre les Turcs. Abdallah ne voyait pas au départ d'un mauvais oeil la constitution ( d'ailleurs prévue par la Déclaration Balfour ) d'une entité politique juive à côté de la sienne. On peut même penser qu'il y était plutôt favorable ( cf; ses entretiens secrets avec Golda Méir ) et que c'est peut-être la raison pour laquelle il a été, trente ans avant Anouar al-Sadate, assassiné par des fanatiques islamiques.
En tout cas, l'Etat palestinien, il existe depuis 1922 : c'est la Transjordanie, renommée Jordanie. Il n'y a aucune raison d'en créer un autre, qui ne pourrait être, territorialement, qu'un Etat-croupion ( outre le fait qu'on ne voit guère se constituer une unité politique entre Fata'hland et 'Hamastan ... ) ce qui lui fournirait le prétexte rêvé

(suite) pour pratiquer à l'égard d'Israël un irrédentisme perpétuel au moyen du terrorisme et de la guerre.

Corrections : " ... pour récompenser celui-ci d'avoir ... " , et non " ... pour récompensé celui-ci d'abord ... " ...

Edmond_oo2
Nous sommes en phase et entièrement d'accord et ce que je trouve triste
c'est de voir les dirigeants israéliens dans l'acceptation des revendications
des arabes en ne sachant pas dire NON !
La grave erreur date d'après 1967 où le gouvernement de l'époque n'a pas
su ou voulu déclarer pour les territoires reconquis comme pour JERUSALEM
que la JUDEE-SAMARIE était redevenue terre d'ISRAËL.
Et surtout, profiter decette victoire pour faire partir cette population arabe chez
elle en JORDANIE.

Pour ceux que cela intéressent je vous convie de faire un tour sur:
http://www.com/watch?vGirWDAqQ&feature=PlayList&p=B8EFECBFC03D74F8&playnext=1&playnex
Vous comprendrez mieux si cela était nécessaire la façon dont l'Islam tisse sa toile.

Al-Moazzam meurt en novembre 1227. Il laisse Damas à son fils An-Nasir Dâ'ûd, un jeune homme sans expérience. Al-Kamel peut désormais songer à s’emparer de Damas et de la Palestine, et n’a plus besoin de Frédéric II pour créer un État tampon entre l’Égypte et la Syrie. En septembre 1228, Frédéric II débarque à Acre avec seulement trois mille hommes. Il est convaincu de s’emparer de Jérusalem avec l’aide de son allié al-Kamel. La situation politique a changé avec la mort d’al-Moazzam, mais al-Kamel, s’est engagé à lui livrer la ville. Par l’ambassade de Kakhreddin, les deux parties arrivent à un accord. Après un simulacre de guerre pour sauver la face d'al-Kamel auprès des musulmans, Frédéric II obtient Jérusalem, un corridor la reliant à la côte, ainsi que Bethléem, Nazareth, les environs de Saïda et la forteresse de Tibnin, à l’est de Tyr. Les musulmans gardent une présence dans la ville sainte dans le secteur du Haram ach-Charif, où sont groupés leurs principaux sanctuaires. Le traité est signé le 18 février 1229. L’empereur Frédéric II entre à Jérusalem un mois plus tard. Le monde musulman réagit à ce qu’il considère comme une trahison de la part d’al-Kamel. Al-Kamel assiège son neveu An-Nasir Dâ'ûd à Damas. La ville est prise en juin 1229. An-Nasir reçoit en compensation la Transjordanie et la forteresse de Kerak