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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientTurquie : Erdogan envisage une visite à GazaLe Premier ministre turc RecepTayyip Erdogan envisage actuellement de se rendre à Gaza afin de briser le siège imposé par Israël. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 26 minutes
جالاوي يكشف عن تنظيم أكبر قافلة إغاثة لغزة
فلسطين اليوم- وكالات
بالتزامن مع استمرار المظاهرات الغاضبة في أنحاء العالم للتنديد بمجزرة أسطول الحرية ، كشف النائب السابق في البرلمان البريطاني جورج جالاوي السبت عن تنظيم أكبر قافلة إغاثة برية وبحرية في أغسطس / آب المقبل تضم آلاف المتضامنين لكسر الحصار عن غزة.
وكانت عواصم أوروبية من بينها لندن وباريس شهدت السبت مظاهرات حاشدة للتنديد بالمجزرة التي ارتكبها قراصنة صهاينة ضد "أسطول الحرية".
Traduction Google :
Galloway révèle l'organisation le plus grand soulagement du convoi à Gaza
Palestine Aujourd'hui - Agences
Dans le cadre de la poursuite des manifestations de colère dans le monde entier à condamner la flotte massacre de la liberté, l'ancien député du Parlement britannique George Galloway samedi l'organisation du secours convoi plus grand de la terre et la mer en août prochain avec des milliers de militants de la paix pour briser le siège sur Gaza.
Les capitales européennes comme Londres et Paris ont vu des manifestations de masse samedi à dénoncer le massacre commis par les sionistes contre les pirates "de la flotte de la liberté."
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plus ou moins la même chose sur le site des frères musulmans ( en anglais ) :
http://www.ikhwanweb.net/article.php?id=25047
Va vers la Paix Israel.
En huit jours, Erdogan a réussi à récupérer l'aura du Califat au profit de la Turquie. Chapeau ! ( Bien sûr, tous les pacifisto-gaucho-machin n'y ont vu que du feu et se sont fait joyeusement manipuler. Mais c'est là le côté plaisant de l'affaire !
Mais cette nouvelle situation, ce nouvel équilibre politique au Proche-Orient n'est pas sans dangers.
J'ai craint, pour ma part, il y a une semaine, une confrontation militaire immédiate entre la Turquie et Israël. Et je n'ai probablement pas été le seul à le craindre. Loin de là.
Mais Erdogan semble jouer plus finement et plus à moyen terme. Car ce que la crise de la flottille vient de faire apparaître en pleine lumière, c'est qu'au Moyen-Orient beaucoup de ce qui se passe ressortit à une sorte de jeu de rôles, ou de poker menteur, dans lequel on ne serait pas à tout coup obligé de faire tapis pour rafler la mise.
D'où la nécessité, pour les leaders du shî'isme révolutionnaire ( Khameneî, Ahmadinejad et Cie ) de relancer la mise s'ils ne veulent pas, en quelques semaines, tout perdre du capital politique qu'ils avaient, à force de menaces, de rodomontades et de provocations, réussi à constituer.
La question est ( nul doute qu'on en débatte, en ce moment même, dans le cénacle mahdiste ) : comment ? Par quels moyens ? jusqu'où et à quel prix ?
Erdogan a fait mine de rechercher un affrontement sur le terrain
Cette leçon, assez magistralement administrée, il faut le reconnaître, est cuisante pour Téhéran.
D'une part se trouve, je crois, confirmée l'idée que j'ai émise ici à plusieurs reprises : qu'il ne peut y avoir deux crocodiles dans le même marigot et que le nouveau positionnement de la Turquie conduit inéluctablement à une rivalité politique avec l'Iran :à terme, il ne peut y avoir place pour deux puissances prétendant chacune à l'hégémonie dans cette région du monde.
D'autre part, la situation est telle depuis une semaine qu'elle pourrait déboucher, à très brève échéance ( le temps étant compté, puisque la " fenêtre d'opportunités " ouverte le 21 janvier 2009 se refermera, vraisemblablement, le 3 novembre ), sur une surenchère dans laquelle on se déplacerait constamment du terrain politique au terrain militaire - et du terrain militaire au terrain politique. c'est dire qu'on est entré, en quelque sorte, dans une phase de " guerre de mouvements "où l'Iran ( mais aussi la Turquie ) risquent de ne pas pouvoir se contenter d'exploiter une image de marque, mais vont devoir, à un moment ou à un autre, fournir des gages réels et non plus seulement proclamés ...
Et c'est là que se trouve, pour Israël, le danger.
Car - si l'on exclut a priori le choix ( qui serait ravageur pour Téhéran ) de l'immobilisme, une fois dépassée la phase de stupeur dans laquelle Téhéran se trouve encore plongée -
Et comment le faire autrement qu'en relançant sur le terrain ? - C'est-à-dire non pas peut-être, dans un premier temps, par l'usage de la bombe ( mais nul doute que les événements récents ne poussent Téhéran à passer sans retard aux toutes dernières phases : miniaturisation et assemblage ) , mais plus vraisemblablement en poussant en avant le Hezbollah, par exemple.
L'été s'annonce donc plus dangereux que jamais.
La réponse à cette question permettrait de mieux cerner l'objectif exact de cette super-flottille qu'on nous annonce pour août. Mais, d'ores et déjà, cette annonce permet de voir que la surenchère à laquelle je pensais dans mes posts précédents est bel et bien enclenchée.