Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

(suite) d'Israël, car il est obligé de tenir compte de la popularité d'Israël au sein de l'opinion publique américaine ( je n'ai plus en tête les chiffres des sondages, mais, alors que la popularité des " Palestiniens " n'atteint pas, je crois, 20 % , celle d'Israël se situe aux alentours, il me semble, de 58 % - ce qui veut dire qu'elle touche aussi une partie non négligeable de l'électorat démocrate - et que, par conséquent, Obama est obligé de ménager cette opinion, qui se dresserait s'il était porté atteinte, de manière trop flagrante, aux intérêts et à la sécurité d'Israël ).
Je crois aussi que Baraq 'Hussein Obama, faute d'être en mesure d'offrir à l'Islâm tout ce qu'il voudrait pouvoir lui donner concernant Israël et les " Palestiniens " , vient de le gratifier, en soutenant le projet de construire une mosquée à " Ground Zero " , d'un cadeau qui pourrait bien accréditer l'idée - qui se répand dans l'opinion américaine - que le président est un suppôt de l'Islâm. Et c'est une prise de position, qui, à quelques semaines des élections de mi-mandat, pourrait ( c'est en tout cas ce que l'on peut espérer ) jouer contre le parti du président, qui se serait ainsi tiré une balle dans le pied ...

Pour le reste, je partage la circonspection d'Israël Eden. Il me semble qu'il faut distinguer entre les territoires à annexer et à vider de populations qui n'y ont pas leur place ( en gros : la Judée- Samarie ) ; les territoires, israéliens depuis 1949, mais dont les groupes hostiles

(suite) doivent être expulsés ( Galilée ) - ce que j'appelle LA SOLUTION SUDETES - POZNANIE ; et enfin les zones qui doivent être neutralisées, c'est-à-dire être transformées, par des bombardements massifs ( utilisant au besoin des projectiles à uranium appauvri ,comme cela avait été fait au Kosovo et en Serbie) qui détruiraient et raseraient toutes infrastructures ( barrages et centrales, ponts, gares, ports et aérodromes, autoroutes et carrefours routiers et ferroviaires, etc., ) en une sorte de no man's land servant de glacis protecteur ( Liban au sud de Tyr ), mais qu'il n'y aurait pas lieu d'annexer ni même d'occuper si le travail avait été fait avec la même efficacité que, disons, celui .bombardiers anglais et américains sur l'Allemagne entre 1943 et 1945 ( mais je ne prêche pas pour des Dresde ou des Hiroshima !... ).

Edmond, vous oubliez la situation Pakistanaise, les crues meurtrières et l'incapacité du gouvernement et des ong ont laissées des millions de victimes dans les mains des talibans, cela ne va que grandir les rangs des fou de allah, malgré les grandes pluies il commence à faire de plus en plus chaud autour d'Islamabad !
Les talibans sont beaucoup plus agiles sur le terrain que les infrastructures du type occidental, les talibans apportent des secours à des millions de victimes et déjà que la situation était très tendue avant les crues, elle le sera encore plus quand les beaux jours reviendrons !

Les talibans pakistanais, c'est ce qui inquiète le plus les mollahs chiites et les salafistes qui soutiennent les talibans ont enfin l'impression de toucher des doigts leur graal tant chérit !

Edmond, je sais que vous n'avez jamais voulu me suivre sur cette piste, mais c'est la seule intrigue de ce puzzle, qui aura la bombe en premier ? les chiites ou les sunnites ?

J'opterai plutôt pour les sunnites et c'est ce qu'obama ne veut pas voir arriver, alors toutes ses comptines à la hussien barak obama, me font quelques peut sourirent !

Si vous croyez encore qu'un président tout seul aux USA possède quelque pouvoir que ce soit, là je pouffe ! ! !

Je pense que le pouvoir d’OBAMA est rès relatif !
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Ce projet de mosquée…un coup de PUB ?
par David Frum ( National Post )
Résumé
Les promoteurs de ce projet de mosquée sont trois hommes d'affaires arabo-américains: Sharif et Sammy el-Gamal et Nour Moussa. Ils ont un partenaire dans Feisal Abdul Rauf, écrivain et journaliste musulman . Mais ils ont besoin de 100 millions de dollars pour ce projet de mosquée …
Soho Properties a versé environ 5 millions de dollars en espèces pour acheter le bâtiment Burlington Coat usine, un bâtiment qui ne produit aucun revenu. Ils paient un loyer à détenir des droits à la construction de Con Ed, qui ne donne pas, lui non plus de revenu. Tout cela dans le milieu de la pire crise immobilière commerciale dans la région de New York qui a un avenir économique très incertain.
Vous pouvez voir pourquoi l'équipe de Gamal-Moussa serait enchantée par l'idée que des philanthropes dans le golfe Persique pourrait faire un don de 100 millions $ pour élever un grand centre islamique brillant dans le bas Manhattan.
Croyez-le ou pas, les gens riches dans le golfe Persique n’ont pas envie de se plonger dans une controverse politique des États-Unis. Alors, voici mon hypothèse pour l'avenir. L'argent ne sera pas trouvé. La mosquée ne sera pas construite.

Lire l’intégral en anglais
http://fullcomment.nationalpost.com/2010/08/10/david-frum-is-the-ground-zero-mosque-a-publicity-stunt/

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ma chere helene desole de te contredire
Ali ibn Abi-Talib, la figure centrale du septième siècle pour l'islam chiite, aurait prédit quand le monde prendra fin, rappelle le chroniqueur Amir Taheri : un "grand homme noir" commandant "la plus forte armée sur la terre" va prendre le pouvoir "à l'ouest ». Il portera "un signe clair" du troisième imam Hussein et Ali dit, du grand homme noir: "les chiites ne devrait avoir aucun doute qu'il est avec nous".



Un iranien à Téhéran, porte un badge de sport de Barack Obama. ( Hasan Sarbakhshian)

Barack Hussein en arabe signifie "la bénédiction de Hussein." En persan, Obama signifie "Il [est] avec nous». Ainsi, le nom du président américain élu, lorsqu'il est combiné avec ses attributs physiques et la géographie, donnent à penser que la fin des temps est proche - précisément ce que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a prédit.

Mais revenons sur terre, la réaction musulmane à la victoire de Obama est plus mitigée que l'on pourrait s'y attendre.

Les islamistes américains sont ravis, un groupe de protection, l'American Muslim Taskforce sur les droits civils et les élections, a estimé que, avec l'élection de Obama, «Notre nation est montée ….à de nouveaux sommets majestueux." Siraj Wahhaj, Al-Hajj Talib Abdur Rashid, le Council on American Islamic Relations, le conseil musulman des affaires publiques, la Société islamique d'Amérique du Nord, le Cercle islamique d'Amérique du Nord, et l'Alliance musulmane en Amérique du Nord ont répondu avec la même exubérance.

Le Hamas, et les mouvements islamistes en Egypte, en Jordanie, en Iraq, Inde, Indonésie et les Philippines sont ravis de l'élection de Obama. Robert Spencer du Jihad Watch généralise et dit que les djihadistes dans le monde islamique ont montré « une joie sans mélange." Le New York Times estime la réaction du public au Moyen-Orient surtout "euphorique". John Esposito de l'Université de Georgetown met l'accent sur le monde musulman souhaitant la bienvenue à Obama comme un «président. internationaliste"

Les réactions que cite Roland ( merci, Roland, de tout ce travail ) montrent clairement que, pour une majorité d'organisations islamistes, il n'y avait aucune ambiguïté dans cette élection : la taqiyya ( dissimuler, par exemple - jusqu'au jour de l'investiture en tout cas - son second prénom ; brouiller les pistes quant à ses origines, ses études, ses liens avec les " radicaux " blancs et noirs ) n'était que pour tromper la masse de l'opinion américaine ( et celle des Européens, qui continuent d' " y " croire et en redemandent ... ) : pour les musulmans, les choses étaient claires bien avant le discours du Caire : c'est un allié et un frère musulman qu'ils avaient installé au coeur même du système du " Grand Satan " pour le faire imploser.

Merci Roland et Edmond, je continue à vous lire avec beaucoup d'intérêt !

E preIdent des USA est noir et musulman par son père c est ainsi dans le Coran mais c est l'Amérique profonde qui se rend compte que on lui a menti et la suite des événements est a venir !!!!!!!

Le problème n'est évidemment pas qu'Obama soit noir. Quand il a été élu, beaucoup ont fait taire leurs réticences suscitées par le peu de ce qu'on savait de certaines de ses fréquentations ( comme celle pendant plus de vingt ans du révérend Jeremiah Wright ) en se disant qu'après tout cette élection marquait le couronnement de la longue marche pour les Droits Civiques ( dans laquelle, ou à l'appui de laquelle, ne l'oublions pas, de nombreux Juifs américains avaient joué un rôle important ) : après le poste de Chef de l'Etat-Major ( le général Colin Powell ), après celui de Secrétaire d'Etat ( Mme Condoleeza Rice ), la haute fonction de Président de la République était exercée par un Noir.
Puis il y eut ces faits étonnants : le tout premier coup de fil du Président de l'Etat le plus puissant du monde avait été, non pas pour le Secrétaire Général des Nations Unies, non pas pour Vladimir Poutine, ,ni pour Hu Jintao, ni pour le pape, ni pour l'Union Européenne ou le Japon, mais pour un ancien agent soviétique, responsable d'actes terroristes comme le massacre des athlètes israéliens à Munich en 1972, ou celui d'adolescents et d'enfants deux ans plus tard à Ma'alot. C'était là manifester un sens des vraies valeurs et de ce qui importait vraiment.
Puis on l'a vu fléchir le genou devant le roi d'Arabie. Puis ce fut le discours du Caire, bourré d'inepties historiques et plus que tendancieux dans sa manière de créditer l'Islâm d'un rôle béminent dans les progrès de l'humanité.

(suite) Puis ce furent le harcèlement d'Israël, à tout propos et à tout instant ; les avanies et les humiliations publiquement infligées à Benyamin Netanyahu.
Il y eut encore le renvoi à l'Angleterre du buste de Winston Churchill qui ornait le Bureau Ovale depuis des décennies : manière de signifier que, de la lutte commune contre le nazisme, Baraq 'Hussein Obama n'avait plus rien à f ... tre.
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Ainsi vit-on que l'on avait cru élire un Noir et que l'on avait, en fait, porté au pouvoir un radical tiers-mondiste dont les idéaux n'avaient pas grand-chose à voir avec ceux de Martin Luther King, mais beaucoup avec ceux des " Black Panthers " les plus racistes, voire de la " Nation de l'Islâm " et des " Weathermen " ou du Juif antisémite Noam Chomsky.