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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientBarak va supplier pour une extension du gelLes habitants des implantations décomptent les minutes avant la fin du gel de la construction, mais le ministre de la défense Ehoud Barak, qui est revenu de New York dans la nuit, devrait implorer le premier ministre Benyamin Netanyahou et le cabinet de le prolonger.
Barak, qui a passé son week-end dans une série de réunions avec des responsables américains et palestiniens pour tenter d’éviter une impasse dans les pourparlers de paix, devrait demander à Netanyahou d’ordonner que le gel de la construction se poursuive, au moins pendant deux ou trois mois.
Les palestiniens ont jusqu'à pressent refusé toutes les propositions de compromis que Barak a proposé. La demande pour une prolongation de trois mois à être reprise par des éléments internationaux.
Des sources à Jérusalem ont déclaré samedi qu’à la lumière de la situation des pourparlers de paix et de la pression internationale, « la balle est dans le camp de Netanyahou. Il a une décision à prendre, reprendre la construction dans les implantations ou étendre le gel. »
Barak, quant à lui, est prévu d’expliquer à Netanyahou et au cabinet ministériel que les pourparlers de paix sont peu susceptibles de survivre a un renouvellement des constructions dans les implantations, leur assurant que si les palestiniens faisaient des problèmes pendant les négociations, la construction pourrait reprendre a tout moment.
Aucune solution n’a été trouvée pour le moment, et selon diverses sources « le dimanche est critique » pour l’avenir du processus de paix. Le procureur Yitzhak Molcho, chef de l’équipe de négociation israélienne, est resté aux Etats-Unis et continuera ses réunions avec des responsables américains et de l’AP pour parvenir à une solution.
Le président palestinien Mahmoud Abbas, de son côté, a demandé que les ministres des affaires étrangères des pays arabes se réunissent en Egypte pour discuter des pourparlers de paix. Abbas devrait ensuite rencontrer plusieurs responsables européens en France.
Même si le gouvernement se prononce contre la recommandation de Barak, les actions prévues par les habitants de Judée Samarie ont peu de chances, selon un ministre israélien, d’avoir un impact réel : « ils peuvent tenir quelques cérémonies, mais Abbas devrait pouvoir gérer des photos que quelques bulldozers qui n’ont pas de signification réelle. »
« Aucune véritable construction ne débutera dimanche. C’est simplement un peu de bruit sans réel effet sur l’avenir. La question est plutôt ce qui se passera lorsque le ministère de la construction et du logement demandera au ministre de la défense d’approuver des projets dans la région… En tout état de cause, si nous voyons des constructions réelles dans les prochains jours, alors ce sera un signe pour Abbas, que le gel des construction a vraiment pris fin. »
Actuellement, il y a 2 000 logements qui ont été approuvés pour êtres construits en Judée Samarie. Néanmoins, il est estimé que toute construction de facto aura lieu sur une échelle beaucoup plus petite, alors que certains des permis, donnés avant la décision prise sur le gel, pourraient êtres examinés.
Toujours est-il que des sources à Jérusalem déclarent que le véritable catalyseur pour toute rupture définitive des pourparlers de paix serait la reprise des constructions à Jérusalem Est.
« Netanyahou sera celui a qui il sera demandé d’approuver toute construction a Jérusalem Est, pas Barak, » a déclaré un responsable politique. « S’il décide de poursuivre la politique actuelle de refuser les constructions qui lui sont soumises, cela voudra dire que le gel est prolongé. Jérusalem est l’argument décisif ici. » Articles connexes
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Heureusement tout est bien maintenant .
Merci de m'informer si il y a un problème, et si oui, lequel.
Chabat shalom à toutes et tous.
AM ISRAEL HAY
Quand la connection internet fonctionne, le probleme ne peut venir que du site, en attendant faut prendre son mâle (ou sa femelle) en patience.
Le pauvre il souffre, faut lui expliquer:
Un nouvel arrêt de la Cour suprême offre la possibilité à des associations représentants des colons de prendre possession de dizaines de maisons supplémentaires du quarter de Sheikh Jarah, à Jérusalem-est. Dans la décision rendue avant-hier, les juges Yoram Dantziger, Miriam Naor et Esther Hayut, ont rejeté à l’unanimité l’appel de Palestiniens qui revendiquaient la propriété d’un large terrain dans l’ouest du quartier, un secteur qui jusqu’ici n’était pas au centre de la lutte politique qui se déroule dans le quartier. Les magistrats ont établi que l’Administrateur général des biens ainsi que d’autres organismes, dont les représentants des colons, ont pu prouver qu’ils étaient les propriétaires du terrain. Cette décision signifie que des organisations de droite pourront entamer des procédures visant à expulser les dizaines de familles qui vivent sur le site et y promouvoir des projets de construction.
Sheikh Jarah fait depuis un an l’actualité, suite à la lutte de mouvements de gauche israélo-palestiniens contre la « judaïsation » du quartier. Jusque là cependant cette lutte concernait principalement sur la partie orientale du quartier d’où ont d’ores et déjà été expulsées trois familles tandis que vingt-cinq familles supplémentaires sont menacées d’expulsion.
à suivre...
En 1997, deux organismes palestiniens se sont portés devant le tribunal affirmant que les terrains où se sont installés les Juifs au 19ème siècle ne leur avaient pas été vendus mais loués et que les Palestiniens en étaient restés les propriétaires. En 2006, le tribunal de district de Jérusalem avait rejeté la requête des organisations palestiniennes et avant-hier, la Cour suprême a rejeté leur appel./.
Remarquez, même lorsque des proprietaires prouvent que c´est bien leur propriété, quand c´est des israeliens, on appelle ca des "colons" meme sur un site comme l´ambassade de France
http://www.ambafrance-il.org/REVUE-DE-PRESSE-Mardi-28-septembre.html