Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

-et de Qua encore??

De toute façon ces territoire ont étés pris à la Jordanie, qui ne les a jamais réclamés !
Cela suite à conflit armé dans lequel la Jordanie a été reconnue comme responsable de son déclenchement !

Alors ces pipelettes de french doctor, c'est juste bon pour nourrir les poules !

Liberman est un
pragmatique lucide et incisif
l Europe qui parle en désordre et incapable d' arrêter une seule politique
est empêtrée dans divers conflits
Israël n a qu une seule conduite
la plus saine
elle consiste entre voisins a résoudre les différentset ceux
qui comme Chirac ont préfère faire croire a Arafat qu il pouvait en demande plus ont été les fossoyeurs de camp. David2000
seul Israël et son gouvernement démocratique élu
savent ce qui est bon pour leur pays
les juifs du monde pour vivre plus en paix devraient être d' abord européens ou autre et communautairement être attaches a l état juif
a défaut antisémitisme galopt et agressions de la part extras et musulmans

Il a une audace ce Liebeman qui me fait frémir de plaisir.

Oui Shaul, et son parti se renforce, si il y avait des élections aujourd'hui, il aurait 21 députés et le Likoud 33!!! les partis de droite se renforcent. Livni, en perd 2 et les travailllistes, totalement moribonds, cherchent à virer Ehud Barak!!!!!

Tunisien

Le commentaire de Razik a été modéré, quand on est poli et honnête qu´est ce qu´on dit à J.org?

PLUS FORT J´ENTENDS PAS!!!!

Mécontents et ... courageux que ça en fait peur !!! Ces deux zozos, ces Dupont et Dupond de la diplomatie, attendent d'être rentrés chez eux pour aboyer ! ! Ah bravo ! Qu'y a-t-il de plus grotesque et de plus ridicule qu'un kouchner ? - Un moratinos, parbleu ! - Et de plus ridicule et grotesque qu'un moratinos ? - Eh mais c'est bien sûr : un kouchner !

Mais tin de del, tout ce cirque pue le fric qui pue et c'est tout. n'importe quel politique s'achète avec une poignée de sucettes, laissez-les faire leurs plans foirueux, quand viendra la distribution et le partage, ils vont tous se tuer comme des serial-killers !
En ce moment c'est la course aux bakshishs, vous rappelez-vous l'affaire de sadam l'irakien et les listes de barils contres services rendus, la crise au sein de la politique française quand l'irak a été défoncée, ça va être exactement le même cirque avec assad, tout ceux qui ont protégés assad lorsqu'il a pillé les banques libanaises, ils ont tous laissés leurs blase quelque part !
Qu'est ce que vous croyez, sarko a fait 3 aller retour en syrie et reçu assad, juste pour lui serrer la main ?

Non, Moshé, ce n'est pas tout. Je dis souvent ici - mais personne, apparemment, ne le relève ni n'y prête attention - que nombre de journalistes anti -sionistes sont, très certainement, payés, achetés. Et cela vaut aussi, très probablement, pour nombre de politiciens. J'ai aussi souvent rappelé ici les noms de très hauts membres du " lobby pro-arabe du Quai d'Orsay " qui étaient payés ( vous l'évoquez, Moshé, ci-dessus ) en barils de pétrole par Saddam Hussein, : nommément, Jean-Bernard Mérimée, Serge Boisdevaix ... C'est une dimension que je ne sous-estime pas ( et je faisais, dans je ne sais plus quel post récent, allusion à ce que j'appelais des " diplomates de sportule " .
Mais : je ne pense pas que tout se réduise à des histoires de pognon. Pas plus qu'on ne saurait expliquer l'histoire de France au XVIIIè siècle sur la seule base, ni même sur la base prééminente, de l'influence politique des maîtresses du roi Louis XV. Tel ministre des Affaires étrangères de la IIIè République avait deux passions dévorantes dans sa vie : la bibliophilie et les pratiques masochistes dans les bordels ... Je ne crois pas que ni l'une ni l'autre rende compte en rien de l'évolution de la Petite Entente.

Ce sont les marxistes qui ont prétendu tout expliquer de ce qui advient dans les " superstructures " sur la base quasi exclusive des intérêts financiers, matériels, économiques. Marx lui-même avait des formulations à peine moins brutales ( " Le mode de production de la vie matérielle

(suite) conditionne " , dit-il dans la célèbre préface de sa " Contribution à la critique de l'économie politique " , le processus général de la vie intellectuelle, politique et sociale " : formule englobante et globalisante à peine nuancée par " général " et l'emploi de " conditionne " et non de " détermine " - mais il faudrait voir le texte allemand et je ne l'ai pas ).
Le principal reproche que je ferais à ce genre d'approches est que, dans ce qui peut paraître leur évidence triviale et brutale, elles squeezent à peu près complètement la dimension propre du politique.

Je prends d'autres exemples : le poids des bootleggers et des gangsters est énorme dans l'Amérique des années 20 et 30 : ils achètent ( ou font tuer ) juges et avocats, journalistes et hommes politiques. Pourtant, on ne peut leur attribuer ni la Grande Dépression , ni les choix de politique économique de Herbert Hoover. Pas davantage ne peut-on expliquer par leur influence les choix de politique économique ou de politique étrangère de Franklin D. Roosevelt.
De même ne peut-on, à mon sens, rendre compte de la politique au Proche-Orient et vis-à-vis du Proche-Orient par la seule prise en compte des histoires de bakchiches - lesquels existent, bien entendu, personne ne le niera.
Yasser Arafat aimait le pognon et en a étouffé des quantités astronomiques ; il aimait aussi les jeunes garçons entre puberté et adolescence. Ces deux aspects répugnants du personnage ne permettent cependant pas de rendre compte