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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientPérès à Kouchner et Moratinos : il ne faut pas renoncer à la paixLors de son entretien cet après-midi avec les chefs des diplomaties française et espagnole, le président israélien Shimon Pérès a affirmé que la ''paix se heurte à de nombreux obstacles. On ne doit pas renoncer. Nous devons promouvoir la paix car l'alternative serait très difficile et dangereuse'', a-t-il ajouté. Pour sa part, Bernard Kouchner a déclaré : ''Nous sommes dans le même bateau, nous voulons la paix. Nous voulons contribuer au processus''. Et son homologue espagnol Miguel Moratinos d'ajouter : ''Nous sommes venus avec un seul objectif : aider les parties. Nous sommes optimistes car les deux parties ont émis le souhait de surmonter les obstacles''. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 31 minutes
Quelle est la signification de l'errance du juif ? Cette errance a deux valeurs :
l'une historique, qui se prolonge dans un temps et un espace réel, à mettre en relation avec la chute du royaume d'Israël et
l'autre, de fait : l'errance est le signe d'une faute, libre aux auditeurs de déchiffrer ce message et de considérer le personnage comme un imposteur, un traître dont on doit se moquer et qu'il faut rejeter.
Avec la création de l'État d'Israël en 1948 et l'établissement acquis de communautés juives dans les pays occidentaux, le juif errant n'erre plus, ou toutefois, s'il le fait, c'est au rythme de la mondialisation.
Dans le roman ( très inachevé : un seul tome sur les vingt-cinq projetés ... ), Dumas Fait de Laquedem, non seulement une figure allégorique du peuple juif, mais aussi une sorte de rebelle, révolté contre D., dont il se prétend l'égal : on est donc dans un schème manichéen, ou cathare : celui de la Gnose, qui oppose deux principes de même force, l'un, bon, l'autre, mauvais, en lutte perpétuelle. - On sait que Dumas voulait incarner Isaac Laquedem à des époques diverses de l'Histoire, lui faisant prendre les figures successives de grands fanatiques ...
Donc je t´ecoute
"Israël n'empêche en rien l'errance,"
C´est à dire?
"la Thora s'arrête à Moshé"
Oui, et donc?
"depuis notre peuple a connu plusieurs états d'errances,"
Par exemple?
"Israël pourrait nous laissé penser qu'il s'agisse d'une étape,"
Et pourquoi ca?
"il est vrai que le signe est fort,"
Quel signe?
"mais plusieurs niveaux d'errances subsistent."
Lesquels?
Signé un savant de marseille, non? lol
Peut etre y en a t'il ?
Le personnage du roman éponyme, Isaac Laquedem, résulte de la croyance chrétienne que Jésus, condamné à mort par le procurateur de Judée, Ponce Pilate, allait vers le lieu de son supplice en portant sur son dos l'instrument de celui-ci : la croix de bois sur laquelle il devait être cloué. Epuisé et assoiffé, il demande à un Juif assis sur le pas de sa porte de lui donner à boire et de lui permettre de se reposer un moment devant chez lui. Le Juif en question, Isaac Laquedem, refuse. Jésus le maudit alors et la malédiction fait qu'Isaac Laquedem et les siens ( les Juifs ) seront condamnés à errer, jusqu'à la fin des temps, sans jamais pouvoir se reposer ni se fixer nulle part.
Dumas présente Isaac Laquedem comme un révolté, qui défie D. et qui se considère comme son égal. C'est-à-dire qu'il reprend le schème cathare, manichéen, selon lequel deux principes contraires et de même force, l'un, incarnant le Bien, l'autre, le Mal, s'affrontent et s'affronteront jusqu'à la fin des temps : c'est le schème deb la Gnose.
Dumas avait l'intention d'incarner Isaac Laquedem à différents moments de l'histoire, dans des personnages historiques de révoltés et de fanatiques. La censure a fait
Bien sûr, tous ces personnages négatifs auraient été posés, chacun, comme, à chaque fois, le symbole et le témoignage de la rigidité mauvaise du peuple juif, rigidité immuable qui est celle de la Synagogue, telle que figurée dans les sculptures gothiques : conservant volontairement sur les yeux le bandeau qui l'aveugle et l'empêche de reconnaître que Jésus est bien le Messie.