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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbbas : pas question de reconnaître Israël comme un état juifLe président palestinien Mahmoud Abbas a soutenu vendredi que l'Autorité palestinien ne signera aucun accord qui requiererait la reconnaissance d'Israël en tant qu'Etat juif. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 45 minutes
L'ETAT JUIF IL N'Y AURA PAS UN ETAT ISLAMIQUE EN JUDEE-SAMARIE!
Qui se font soigner en ISRAËL lorsque les médecins "palestiniens" sont dépassés par
le problème posé par leurs malades arabes? Les hopitaux juifs!
Mêmes ceux de GAZA...
Lorsque l'on voit comme je l'ai vu à Jérusalem, chrétiens, orthodoxe, musulmans et juifs
déambuler dans cette merveilleuse vliie sans problème et en toute liberté, est-ce que
l'on pouvait dire la même chose avant 1967 au temps des jordaniens ?
Lorsque l'on voit aussi, comment toutes les religions autres qu'islamiste être persécuté au
point de quitter les pays musulmans avec la peur au ventre comme les juifs .
"je pense que c'est une population importée avec la complicité des etats arabes;CE QUE J'ECRIS LA EST IMPORTANT"
Examinons maintenant le texte de la Charte de l'OLP :
1 / L'invention du Peuple Palestinien :
Dans un premier temps la charte va inventer la notion de Peuple Palestinien, alors que jusqu'à maintenant il était parlé d'Arabes vivant en Palestine, arabes aux origines diverses : syrienne, libanaise, bédouine, égyptienne, soudanaise, libyenne auxquels nous pouvons rajouter divers minorités turques, circaucasiennes, arméniennes, kurdes, druzes, berbères, grecque, maltaise, chypriote, etc.…. Rappelons que les divers mouvements arabes de la Palestine n'avaient pu trouver d'unité, car ils se définissaient avant tout soit comme syriens, soit comme égyptiens, soit comme bédouins mais pas comme palestiniens, seuls jusqu'en 1947 les Juifs se disaient palestiniens… humour de l'histoire.
Donc la Charte va commencer par établir, définir le Peuple Palestinien et la Palestine dans les sept premiers de ses articles :
(..)
Cela dit, l'article 7 va sortir de son chapeau une historicisation de la Palestine :
(..)
Nous pouvons apprécier l'expression de "donnée indiscutable" qui est pour le moins contestable pour quiconque s'est penché sur l'histoire. Cet article avec les précédents seront la base de toute une propagande inventant la Palestine et le Peuple Palestinien.
Article en entier
http://www.drzz.info/article-l-invention-de-la-cause-palestinienne-48249595.html
La pierre angulaire a toute discution en vue de vivre en bon voisinage est la reconnaissance mutuelle dans le respect de l autre
SI LA LIGUE ARABE VEUX REELEMENT QUE LES PALESTINIENS VIVENT ENFIN CE VOISINAGE EN PAIX
ILS DEVRAIENT ENCOURAGER TIUS LES ETATSDS ARABES ET LES PALESTINIENS POURQUILS FRANCHISSENT L ETAPE SANS LAQUELLE LA SITUATION SERA LA MEME DANS 1000 ANS
Israel, Eden TRATNER
multiculturalité et abolition de la Loi du Retour
Yoav Stern
Haaretz, 28 février 2007
Les députés arabes pourront faire invalider toute proposition de loi qui porterait atteinte aux droits de la minorité arabe : c’est ce que prévoit la proposition de Constitution pour Israël élaborée récemment par l’association « Adalah » [Centre juridique pour les droits de la minorité arabe en Israël]. Selon cette proposition, publiée ici pour la première fois, Israël serait défini comme « Etat bilingue et multiculturel » et non comme Etat juif. En outre, les groupes de la majorité et de la minorité se partageront les organes du pouvoir.
La Constitution qui est proposée abolit les caractéristiques juives d’Israël, mais permet à la majorité juive de préserver son caractère par le biais d’institutions hébraïques d’enseignement et de culture. Elle abolit en outre la Loi du Retour et stipule que pourra devenir citoyen de l’Etat toute personne arrivée ici pour raisons humanitaires, sans considération de religion. Chez « Adalah », on insiste sur le fait que, contrairement à la situation existante dans laquelle la loi israélienne se préoccupe de la question de savoir « qui est juif ? », la proposition de Constitution discute de la question de savoir « qui est citoyen ? ».
Al-Seddik, accusé par le régime syrien d’être un faux témoin dans l’assassinat de Rafic Hariri, est poursuivi par Damas. Il s’est réfugié pendant plusieurs mois en France, où il affirme avoir échappé à plusieurs tentatives d’assassinat menées, selon lui par, son ancien employeur. Il a quitté la France pour disparaitre pendant de longs mois, avant de refaire surface aux Emirats arabes unis. Il serait actuellement en Australie, en attendant de témoigner devant le Tribunal international pour le Liban.
Al-Seddik affirme « détenir les preuves de la culpabilité de la Syrie et du Hezbollah dans l’assassinat de Hariri », en février 2005, et à ce titre, il vient de faire l’objet d’un « mandat d’arrêt » délivré par la justice syrienne, le 03 octobre 2010. Damas poursuit en effet 33 personnes, dont 26 Libanais parmi lesquels figurent des députés et anciens députés, des journalistes, des officiers et des juges, ainsi que des proches conseillers du Premier ministre Saad Hariri. Figurent également sur la liste le magistrat allemand Detlev Mehlis, deux journalistes koweïtiens et l’ancien ambassadeur du Liban en France, Johny Abdo...
A ce stade, l’hypothèse développée par Al-Seddik semble peu probable. Mais, à y regarder de plus près, il devient aisé de conclure que rien n’empêche l’Iran, la Syrie et le Hezbollah, menacés par la justice internationale, d’exploiter le réseau Al-Qaïda, au du moins son nom devenu un « label », pour menacer l’Europe et la contraindre à abandonner le Tribunal spécial pour le Liban. D’autant plus que Téhéran et Damas ont longtemps manipulé les islamistes d’Al-Qaïda, fussent-ils Sunnites, pour déstabiliser l’Irak (où 90% des kamikazes transitaient par le territoire syrien), le Yémen et l’Arabie saoudite. La République islamique d’Iran a également soutenu, armé et financé les Taliban en Afghanistan pour empêcher les Américains de stabiliser le pays. Les Gardiens de la Révolution ont également hébergé et protégé plusieurs membres de la famille Ben Laden depuis leur fuite de Tora Bora.
En effet, pour « acheter la paix » avec les rebelles d’Al-Houthi, actifs dans le nord du Yémen et soutenus par l’Iran, l’Arabie saoudite a cédé à la Syrie en exerçant des pressions sur ses alliés libanais (les souverainistes)et fait des concessions à Damas tant politiques qu’économiques. En contrepartie, Riyad comptait sur un soutien syrien au candidat Allawi en Irak, face à Al-Maliki, soutenu par Téhéran. Les Saoudiens espéraient également que Damas prenne ses distances avec Téhéran. Mais fidèle à ses traditions, le régime syrien a engrangé les bénéfices sans rien céder, ni au Liban, ni en Irak. Aujourd’hui, il va encore plus loin en exerçant le chantage au terrorisme sur l’Europe et plus particulièrement sur la France.
Pour mieux comprendre la politique syro-iranienne, il convient de relire notre éditorial du 22 septembre 2009 : Comment éviter une défaite militaire occidentale en Afghanistan, en Irak, et dans toute la région ?