Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Que les américain commence par ne plus supporter Abbas comme il le font et tout ira mieux, mais ils font le contraire . Obama nous demande toujours plus . Que Abbas reconnaisse l Etat juif démocratique avant de poursuivre les pourparlers, mais on il insiste abbas a nous demander autres choses ou a insister son peuple (si il ya peuple) a nous haïr a getter des pierres sur nous, a boycott nos produit et autre, mais il envoie ses malades se faire soigner chez nous gratuitement. Alors Hussein nous pensions que tu était pour la justice et neutre?

Beaucoup de choses ( mais pas tout - et ce, quels que soient les résultats ) dépendront de la configuration politique qui se dégagera, aux Etats-Unis, à partir du 3 novembre. Il n'est d'ailleurs pas dit qu'elle se dégagera immédiatement, surtout sur des questions ( de politique extérieure ) qui sont loin de constituer la préoccupation première des Américains dans l'ensemble. La victoire des républicains semble, d'après les sondages, à peu près certaine pour ce qui est de la Chambre des Représentants ; il semble qu'en revanche les démocrates devraient conserver le contrôle du Sénat. Or, pour ce qui est du blocage de certaines initiatives présidentielles en matière de défense et de politique extérieure, c'est le contrôle du Sénat qui est décisif. D'autre part, Israël bénéficie, chez les républicains, d'une cote d'amour considérablement plus marquée ( je n'ai plus les chiffres en tête, mais la différence est très importante ) que chez les démocrates. Mais une partie importante de l 'opinion et de la tradition républicaines est isolationniste. bien sûr, le rôle historique, au XXè siècle, et le poids des Etats-Unis font que l'isolationnisme n'est pas tenable. Mais c'est néanmoins une attitude récurrente et qui peut se traduire, non seulement par la volonté de désengagement militaire ( comme celui que tente Obama en Irak ), mais éventuellement par la tentation de renvoyer tout le monde dos à dos, Israéliens et " Palestiniens, par exemple.
Toutefois, la tendance au désengagement

(suite) est contrecarrée - ce sont des tendances qui se battent à l'intérieur même de chaque cerveau républicain - par un fort patriotisme et par le souci de ne pas voir infliger aux Etats-Unis des camouflets, des humiliations, des reculs. Enfin, les républicains identifient, beaucoup plus que les démocrates, Israël comme un allié indispensable et les pays musulmans comme des ennemis potentiels.

Edmond, obama, s'est scié toutes les branches, en plus il a fait appel à Michèle, son épouse, signe de la défaite sans reddition du pantin de 2008.

Maintenant c'est l'heure du plat servit froid que Bibi va resservir Hussein, il vas devoir compter sur ses amis arabes pour le sortir de ce bourbier, et là il va gouter à l'esprit de reconnaissance de ses complices dictateurs sanguinaires et ennemis d'Israël !

A l'heure où l'olp fait des courbettes aux hamas, un retournement d'abbas sera fatal pour l'olp !

Contrairement à ce que vous estimez possible, Edmond, je ne vois pas le sénat faire scission, pour pas dire sécession, avec la chambre des représentants.

Le climat politique instable en période encore plus instable vas radicaliser les votes des sénateurs, nous verrons de nombreux votes démocrates pencher vers des candidats républicains, c'est justement la force des lobbys américains face aux politiciens !

La plupart des sénateurs se confrontent désormais à des problèmes de financements engagés par les aspirations présidentielles de leur candidats et ils doivent se confronter maintenant à des résistances que se monnaient au dessus du tarif !
Eux aussi, les sénateurs, préfèrent dans ces périodes difficiles, laisser leurs places à leurs concurrents, car leurs objectifs sont irréalisables !

Maintenant obama, a par orgueil fait tout faux, il a glissé dans le piège de Bibi, sans rien n'y voir ! L'trou noir !!!!

Moshé, bonsoir. Je n'ai pas parlé de " scission " du Sénat ( " scission " d'avec quoi, d'ailleurs ? ... ) ni de " sécession " entre le Sénat et la Chambre. Rien, dans la Constitution américaine ne le permet. Et la tradition politique américaine n'a jamais été dans ce sens non plus. Comme les sondages et les projections donnent un Sénat à 51 vs 49 , ou 52 vs 48, les deux partis se marqueraient à la culotte, comme on dit, et seraient surtout capables de se paralyser mutuellement. Mais en aucun cas d'introduire une rupture majeure.
Par contre l'hypothèse que vous faites - que des sénateurs démocrates pourraient dans leurs votes ( si je vous comprends bien - car vous parlez des votes des sénateurs puis, à la ligne suivante, c'est des votes pour les candidats ( au Sénat, donc . Ou bien à la Chambre ? ... ) qu'il s'agit, semble-t-il ? ... ) se rapprocher des républicains pourrait peut-être se vérifier.

Quant aux problèmes financiers des sénateurs, je n'y crois guère, le " fund raising " ayant atteint ces derniers mois des sommets inégalés jusqu'ici.